Quand vaut-il mieux abandonner que persévérer ?
Supposons que vous travaillez sur un projet depuis des mois. L'abandon est-il encore et toujours considéré comme un échec ?
Fin 2012, le vice président de General Electric, John Krenicki quitte la firme américaine. The Wall Street Journal dévoile qu’il reçoit par mois quelque 72.510 euros et ce, jusque 2022. Du moins, s’il s’en tient à sa convention de rupture et qu’il ne travaille pas pendant les trois prochaines années pour un concurrent de General Electrics.
Que Krenicki ne puisse pas travailler auprès d’un concurrent, ne veut pas du tout dire qu’entretemps il ne puisse gagner par lui-même encore plus d’argent et se faire donc engager ailleurs.
D’après The Wall Street Journal, en janvier 2013, il commencerait en tant que ‘senior operating partner’ auprès de la société privée Clayton, Dubilier & Rice, pour qui vraisemblablement il ne travaillera pas pour une bouchée de pain.
Comme nous le savons déjà entretemps, ce n’est pas inhabituel que les administrateurs sortants touchent une indemnité royale pour quitter leur ex employeur. De telles conventions font partie depuis longtemps des usages en entreprise, bien que les indemnités de départ aient ces dernières années fort rétréci.
Source : Huffingtonpost
21 août 2012Plus de 440.000 utilisateurs recoivent nos astuces
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