Puis-je recevoir mon bonus sous forme d’options sur action?
Mon employeur ne veut pas payer mon bonus en liquide, mais sous forme de stock-options. Est-ce possible ?
L’entité 'Duo For a Job' de Gand a trouvé un bureau permanent dans le centre-ville. Ce système de coaching intergénérationnel est également présent à Bruxelles, Anvers et Liège. Il fait désormais partie des canaux de recrutement destinés à un groupe cible bien spécifique. "Notre objectif est de créer 45 nouveaux duos en 2018", explique Marion Cahen, coordinatrice de 'Duo For a Job' à Gand.
"En 2019 nous voulons atteindre le nombre de 100 duos. En tant que mentor, vous supervisez seulement une personne à la fois. Nous sommes ravis de constater que, après 6 mois passés à former un jeune, 91% de nos mentors souhaitent renouveler l’expérience. En effet, vous retirez beaucoup de satisfaction d’un tel projet. Si vous travaillez pour une entreprise, vous marquerez des points auprès de votre employeur grâce à votre rôle de mentor. Une start-up de Gand nous a récemment approché en vue d’une éventuelle collaboration. Des entreprises comme Bpost et BNP Paribas Fortis offrent à leurs employés la possibilité de devenir des mentors."
"Pour tisser des liens entre un mentor et un chercheur d’emploi, nous utilisons une liste de critères. Quels sont vos traits de caractère, vos compétences, vos expériences professionnelles et qui connaissez-vous ? Tous ces éléments ont de l’importance. Nous comptons actuellement un total de 620 mentors issus de 90 secteurs. IT, éducation, industrie, RH,..."
Contrairement à ce que vous pourriez penser, le mentor occupe une position centrale au sein de 'Duo For a Job'. "Nous investissons en vous, nous vous formons en matière de réseaux sociaux, nous rédigeons votre CV et vous le transmettez à votre mentoré. Nous avons tant des mentors professionnellement actifs qu'à la retraite. Votre mission commence par une formation de quatre jours. Certaines personnes n'aiment pas cela mais, après coup, cela s'avère toujours une excellente expérience de networking."
"Les mentors se voient régulièrement. C'est une communauté que nous entretenons grâce à diverses activités. Nous organisons deux intervisions par programme de six mois et celles-ci durent une après-midi. Les mentors se retrouvent pour raconter leurs histoires et faire part de leurs expériences. Nous apportons ensuite le savoir-faire provenant de notre travail avec le millier de duos que nous avons déjà formés."
"L'engagement est élevé", explique Marion Cahen. "Donner quelque chose en retour à la société après une carrière réussie peut paraître cliché mais c'est ce dont il est question. Nous attirons des professionnels avec de l'expérience et du savoir-faire qui veulent donner de leur temps et se rendre utiles. Ils assument une responsabilité sociale en guidant les jeunes demandeurs d’emploi issus de l'immigration."
"Nous ne travaillons pas avec les demandeurs d'asile car leurs conditions de séjour sont encore trop précaires. Notre communauté est un groupe diversifié : cela va de personnes sans formation à une doctoresse en science venant de Russie que nous avons récemment accueillie. Tous partagent leurs environnements culturels respectifs. Grâce à leur mentor, ils bénéficient de la pratique d’une langue et cela leur permet de mieux maitriser le néerlandais, le français ou l’anglais."
Après six mois (ou moins si cela se passe bien), le duo est dissous. Comment mesurer le succès des missions ? "Les mentors prennent six mois pour saisir les compétences, les objectifs d'emploi et les rêves des mentorés. Ils se voient chaque semaine et apprennent les uns des autres. Cette relation de confiance unique est à la base du succès du duo. Le succès se mesure au niveau de l'emploi après la mission et celle-ci double généralement les possibilités d'emploi. Nous analysons aussi le succès au sens large. Quel est le degré d’autonomie du chercheur d’emploi ? Il s'agit d'une expérience de vie fantastique où les deux participants apprennent les uns des autres. Nous remarquons que les mentors et leurs 'élèves' gardent souvent contact après six mois."
(eh/ll) - Foto: Duo For a Job – Plus d’informations : www.duoforajob.be
31 juillet 2018L’entité 'Duo For a Job' de Gand a trouvé un bureau permanent dans le centre-ville. Ce système de coaching intergénérationnel est également présent à Bruxelles, Anvers et Liège. Il fait désormais partie des canaux de recrutement destinés à un groupe cible bien spécifique. "Notre objectif est de créer 45 nouveaux duos en 2018", explique Marion Cahen, coordinatrice de 'Duo For a Job' à Gand.
"En 2019 nous voulons atteindre le nombre de 100 duos. En tant que mentor, vous supervisez seulement une personne à la fois. Nous sommes ravis de constater que, après 6 mois passés à former un jeune, 91% de nos mentors souhaitent renouveler l’expérience. En effet, vous retirez beaucoup de satisfaction d’un tel projet. Si vous travaillez pour une entreprise, vous marquerez des points auprès de votre employeur grâce à votre rôle de mentor. Une start-up de Gand nous a récemment approché en vue d’une éventuelle collaboration. Des entreprises comme Bpost et BNP Paribas Fortis offrent à leurs employés la possibilité de devenir des mentors."
"Pour tisser des liens entre un mentor et un chercheur d’emploi, nous utilisons une liste de critères. Quels sont vos traits de caractère, vos compétences, vos expériences professionnelles et qui connaissez-vous ? Tous ces éléments ont de l’importance. Nous comptons actuellement un total de 620 mentors issus de 90 secteurs. IT, éducation, industrie, RH,..."
Contrairement à ce que vous pourriez penser, le mentor occupe une position centrale au sein de 'Duo For a Job'. "Nous investissons en vous, nous vous formons en matière de réseaux sociaux, nous rédigeons votre CV et vous le transmettez à votre mentoré. Nous avons tant des mentors professionnellement actifs qu'à la retraite. Votre mission commence par une formation de quatre jours. Certaines personnes n'aiment pas cela mais, après coup, cela s'avère toujours une excellente expérience de networking."
"Les mentors se voient régulièrement. C'est une communauté que nous entretenons grâce à diverses activités. Nous organisons deux intervisions par programme de six mois et celles-ci durent une après-midi. Les mentors se retrouvent pour raconter leurs histoires et faire part de leurs expériences. Nous apportons ensuite le savoir-faire provenant de notre travail avec le millier de duos que nous avons déjà formés."
"L'engagement est élevé", explique Marion Cahen. "Donner quelque chose en retour à la société après une carrière réussie peut paraître cliché mais c'est ce dont il est question. Nous attirons des professionnels avec de l'expérience et du savoir-faire qui veulent donner de leur temps et se rendre utiles. Ils assument une responsabilité sociale en guidant les jeunes demandeurs d’emploi issus de l'immigration."
"Nous ne travaillons pas avec les demandeurs d'asile car leurs conditions de séjour sont encore trop précaires. Notre communauté est un groupe diversifié : cela va de personnes sans formation à une doctoresse en science venant de Russie que nous avons récemment accueillie. Tous partagent leurs environnements culturels respectifs. Grâce à leur mentor, ils bénéficient de la pratique d’une langue et cela leur permet de mieux maitriser le néerlandais, le français ou l’anglais."
Après six mois (ou moins si cela se passe bien), le duo est dissous. Comment mesurer le succès des missions ? "Les mentors prennent six mois pour saisir les compétences, les objectifs d'emploi et les rêves des mentorés. Ils se voient chaque semaine et apprennent les uns des autres. Cette relation de confiance unique est à la base du succès du duo. Le succès se mesure au niveau de l'emploi après la mission et celle-ci double généralement les possibilités d'emploi. Nous analysons aussi le succès au sens large. Quel est le degré d’autonomie du chercheur d’emploi ? Il s'agit d'une expérience de vie fantastique où les deux participants apprennent les uns des autres. Nous remarquons que les mentors et leurs 'élèves' gardent souvent contact après six mois."
(eh/ll) - Foto: Duo For a Job – Plus d’informations : www.duoforajob.be
31 juillet 2018Mon employeur ne veut pas payer mon bonus en liquide, mais sous forme de stock-options. Est-ce possible ?
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