« Et un jour, mon rêve s’est réalisé »
Bayrta a pu réaliser son rêve de vivre et travailler au Québec grâce aux Journées Québec.
Qu’est-ce qui fait la différence entre un environnement de travail où les employés s'engagent avec enthousiasme et vont de l’avant et un lieu de travail où la frustration et le stress inhibent la productivité ? Avec l’aide du coach et consultant Hendrik Hellemans (coachingplanet.be), nous avons répertorié sept facteurs clés qui caractérisent la différence entre un leader et un patron (ou, dans certains cas, gestionnaire). Attention, tous deux doivent être en mesure de fournir des résultats.
Un leader ...
Un leader met les travailleurs au centre de l’attention. "Les patrons attachent plus d'importance aux rapports et aux statistiques qu’aux personnes qui se cachent derrière. Ils appliquent la politique du 'bâton' pour pousser les employés à livrer de meilleurs résultats au sein de l'organisation", explique Hendrik Hellemans. "En revanche, le leader inspire les gens en leur donnant des occasions de grandir et de se développer dans leur travail."
Selon Hendrik Hellemans, le leader comptera d’abord sur la bonne volonté de ses collaborateurs au lieu de mettre en place son autorité en tant que capitaine du navire. "Un patron qui veut faire valoir son autorité utilisera rapidement un autre ton dans sa manière de parler, sera plus insistant, plus agressif et purement orienté sur les tâches", poursuit Hendrik Hellemans.
Un leader aborde les défis et les revers de façon plus flexible. Les leaders ont une image positive d’eux-mêmes et de leurs attentes pour l'avenir. Ils se disent qu'ils peuvent faire la différence. Le patrons s’attardent plus sur les processus, les structures et les systèmes. "Souvent, ils sont plus susceptibles de voir un défi ou un revers comme immuable et auront tendance à se contenter d’un statu quo."
Il y a une différence entre juste faire des choses et bien faire les choses. Les leaders se préparent à ce qu’ils devront faire dans le futur. "Ils sont proactifs et ont une vision à long terme contrairement aux patrons qui ne font que résoudre les problèmes et sont réactifs. Pour mener leurs missions à bien, ils sont souvent allergiques aux risques et recherchent la stabilité."
Les leaders sont respectueux dans leurs relations avec les autres et gagnent le respect de leurs employés. "Ils rendent à César ce qui est à César, apprécient et reconnaissent les initiatives et les succès de leurs employés."
Les patrons optent pour un régime autocratique et, lorsque les chiffres sont incertains, font plus preuve de colère que de respect. "Une équipe harmonieuse et efficace doit savoir que son patron veille sur elle et célébrera ses succès comme il se doit", affirme Hendrik Hellemans. "En cas de doute sur la confiance et l'intégrité des supérieurs, les travailleurs font preuve d’incertitude, hésitent, et en ont marre de leurs patrons."
Un leader vend son idée et pousse ses employés à découvrir comment faire pour y arriver. "Tandis qu'un patron indiquera simplement quand et comment mettre en œuvre son idée. Un patron autoritaire ne laisse pas de place à l'initiative et à la participation. Il ne stimule pas ses employés à penser par eux-mêmes, ce qui les rend indifférents et tue leur motivation à petit feu…"
Un leader prend toute les responsabilités finales pour son compte, surtout quand quelque chose ne va pas. "Les leaders apprennent des erreurs et les voient comme un processus d'apprentissage. Ils laissent place à l'échec et défendent leurs employés."
Selon Hendrik Hellemans, nous en avons marre de nos patrons parce que ces derniers veulent toujours trouver un coupable en cas de problème. "Ils cherchent la faute et la personne qui en est responsable. Une accusation, un avertissement ou, dans le pire des cas, un licenciement en sont les résultats et le patron peut ainsi se débarrasser de toute responsabilité."
Lisez aussi : Les 10 qualités d'un bon patron
(eh/jy) – Source : MARK Magazine
6 mai 2021Bayrta a pu réaliser son rêve de vivre et travailler au Québec grâce aux Journées Québec.
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