La Belgique recherche au moins 25.000 infirmières
La mère de toutes les professions en pénurie est l'infirmière. Non seulement dans le secteur de la santé lui-même, mais aussi parmi tous les emplois.
Je travaille actuellement comme réceptionniste et assistante de direction. Je suis la remplaçante du patron quand il n'est pas là. Pour le reste, je m'occupe de tout et notamment des fonctions de réceptionniste : accueillir les invités/clients, répondre aux questions et résoudre des problèmes, réserver des salles de réunion ou de conférence, répondre à des e-mails, etc.
J'ai travaillé en tant que directrice adjointe dans un grand hôtel pendant 14 ans. Lorsque l'hôtel a été repris, j’ai quitté le navire pour travailler comme traductrice indépendante pendant un certain temps. J'ai ensuite officiée comme consultante en ressources humaines chez Deloitte & Touche pendant 4 ans.
Après cela, j'ai développé ma propre entreprise pendant 10 ans. Il s’agissait d’une herboristerie avec toutes sortes d'herbes et d'épices médicinales et culinaires. Suite à des soucis de santé, je fus malheureusement contrainte à mettre un terme à cette aventure. Après une période de réhabilitation de dix-huit mois, j'ai recommencé à postuler et cet emploi a croisé mon chemin. Je suis donc de retour là où tout a commencé.
Oui, mais les journées de travail sont parfois trop longues et cela impacte considérablement ma qualité de vie et mon équilibre vie privée-vie professionnelle. Un horaire fait de longues journées peut s’avérer très stressant et affecter sérieusement la vie privée d'une personne.
Pour être honnête, je le trouve beaucoup trop bas compte tenu de mes expériences professionnelles. Je suis payée comme une jeune diplômée, ce qui n’est pas toujours évident.
Oui, et si possible dans un autre secteur où travailler le week-end ou pendant des journées interminables n’est pas une évidence. J’aimerais par-dessus tout redevenir indépendante. Malheureusement, ce n'est plus une option pour le moment et je ne me vois plus relancer une nouvelle entreprise.
38 heures.
Non, c’est tout simplement impossible avec ma rémunération actuelle.
Mon loyer. Je paie actuellement 785 euros par mois pour mon appartement. Ce montant est indexé chaque année et les aliments de base deviennent aussi beaucoup plus chers au fil des années. Je dois sans cesse supprimer davantage de produits de ma liste de courses.
À court terme, je serai contrainte de déménager dans un appartement avec une seule chambre au lieu de deux. Cela m’attriste profondément.
Bien sûr, mais je ne peux pas mettre de l'argent de côté.
Aux esthéticiennes et aux visites dans les centres de manucure. Je pense que c'est vraiment de l'argent jeté par les fenêtres.
La bonne nourriture (rires). Malheureusement, je peux rarement voire jamais aller au restaurant mais je suis déjà très contente d’avoir la chance de pouvoir me cuisiner de bons petits plats dans mon appartement.
Je pratiquerais mes passions (astrologie, blogging, écriture), je voyagerais beaucoup, je louerais ou achèterais un appartement plus grand, je veillerais à ce que mon fils et mon petit-fils ne manquent de rien et j’aiderais les personnes/enfants/animaux en difficulté...
(eh/ll)
DISCLAIMER
Jobat n’est pas responsable de l’exactitude des informations données ci-dessus. Elles ont été obtenues lors d’un entretien personnel avec la personne en question. Certaines informations ne sont peut-être plus correctes ou d’actualité. Elles donnent néanmoins une idée de la rémunération qui correspond à tel travail ou telle fonction.
10 mai 2019La mère de toutes les professions en pénurie est l'infirmière. Non seulement dans le secteur de la santé lui-même, mais aussi parmi tous les emplois.
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