Les effets secondaires de la crise économique, liés au marché du travail, expliquent que moins d’individus soient engagés. Conséquences : il y a aussi moins de travailleurs non expérimentés au travail. En outre, Tempo-Team en fait le constat, il y a moins de travail pendant la crise, surtout dans les entreprises de production, et la pression diminue, ce qui réduit le nombre d’accidents.
En quoi la crise joue le plus sur les accidents du travail ? Elle génère une surabondance de candidats. L’employeur peut en conséquence choisir le plus qualifié pour le joh. Le nombre d’accidents baisse ainsi plus fort pendant les années de crise que pendant les périodes de conjoncture élevée.
Le nombre d’accidents du travail diminue partout de manière ininterrompue depuis le début des années 90. Fin des années 80, on en enregistrait encore près de 300 000. Aujourd’hui, ce chiffre est réduit de moitié. Les entreprises sont toujours plus conscientes de la nécessité d’une sécurité sur et autour du lieu de travail. En outre, le nombre de professions à risques continue de diminuer.
Selon les experts en sécurité de Tempo-Team, une politique proactive de prévention des risques prend place sur le lieu de travail, elle vise des modifications de comportement. Elle se combine à une série de facteurs propres à une conjoncture faible, en faveur de la sécurité au travail.
« Nous investissons en priorité dans l’accompagnement des managers opérationnels, des chefs et des responsables d’équipe. Nous sommes convaincus que la prévention au travail basée sur l’exemple est la plus efficace. Avec cette approche, nos scores sont les meilleurs du secteur et les missions d’intérim chez Tempo-Team courent moins de risques d’accident. Cette tendance est encore renforcée par la crise qui souligne l’intérêt de mieux marier le travail et le travailleur. Ce dernier est un point d’attention majeur pour l’avenir », explique Glenn Nuytemans, Conseiller en prévention et Risk Manager chez Tempo-Team.
(nm/sc) - Sources : Tempo-Team
8 janvier 2014
Les effets secondaires de la crise économique, liés au marché du travail, expliquent que moins d’individus soient engagés. Conséquences : il y a aussi moins de travailleurs non expérimentés au travail. En outre, Tempo-Team en fait le constat, il y a moins de travail pendant la crise, surtout dans les entreprises de production, et la pression diminue, ce qui réduit le nombre d’accidents.
En quoi la crise joue le plus sur les accidents du travail ? Elle génère une surabondance de candidats. L’employeur peut en conséquence choisir le plus qualifié pour le joh. Le nombre d’accidents baisse ainsi plus fort pendant les années de crise que pendant les périodes de conjoncture élevée.
Le nombre d’accidents du travail diminue partout de manière ininterrompue depuis le début des années 90. Fin des années 80, on en enregistrait encore près de 300 000. Aujourd’hui, ce chiffre est réduit de moitié. Les entreprises sont toujours plus conscientes de la nécessité d’une sécurité sur et autour du lieu de travail. En outre, le nombre de professions à risques continue de diminuer.
Selon les experts en sécurité de Tempo-Team, une politique proactive de prévention des risques prend place sur le lieu de travail, elle vise des modifications de comportement. Elle se combine à une série de facteurs propres à une conjoncture faible, en faveur de la sécurité au travail.
« Nous investissons en priorité dans l’accompagnement des managers opérationnels, des chefs et des responsables d’équipe. Nous sommes convaincus que la prévention au travail basée sur l’exemple est la plus efficace. Avec cette approche, nos scores sont les meilleurs du secteur et les missions d’intérim chez Tempo-Team courent moins de risques d’accident. Cette tendance est encore renforcée par la crise qui souligne l’intérêt de mieux marier le travail et le travailleur. Ce dernier est un point d’attention majeur pour l’avenir », explique Glenn Nuytemans, Conseiller en prévention et Risk Manager chez Tempo-Team.
(nm/sc) - Sources : Tempo-Team
8 janvier 2014Plus de 440.000 utilisateurs recoivent nos astuces
En principe, vous devez, en tant que travailleur, supporter le coût de vos déplacements quotidiens de votre domicile à votre lieu de travail.
Vous buvez une tasse de café à 07h00 du matin et faites du sport le soir ? Etes-vous prêt à métamorphoser votre emploi du temps ?
"En réalité, la critique doit être considérée comme un cadeau", explique Karolien Embo, coach de carrière chez Passion for Work.
Dans la plupart des cas, vous ne choisissez vos collègues et, si vous n’avez pas de chance, vous serez agacés par certains de leurs agissements.
Un salaire élevé est-il important à vos yeux ? Postulez dans l'industrie chimique et pharmaceutique.
Les techniciens et les ingénieurs sont une denrée rare dans de nombreux secteurs. Certaines professions sont encore plus recherchées que d'autres.
Vous avez votre diplôme en poche et êtes fin prêt à faire vos premiers pas sur le marché de l’emploi... ou presque.
De plus en plus d'entreprises permettent à leurs collaborateurs d’avoir leur mot à dire au sujet de leur package salarial.
L'argent ne fait pas le bonheur, mais toute personne travaillant dur souhaite être récompensée pour ses efforts.
Plus de 440.000 utilisateurs recoivent nos astuces
Travailler au quotidien comporte son lot d’émotions les plus intenses. La 'règle des 20 minutes' vous permettra d’y remédier.
Votre contrat se termine normalement à la date de fin qui y figure mentionnée.
L'employé belge moyen gagne 3.783 euros brut par mois. Telle est l’observation ressortant de la dernière édition du Baromètre des salaires Jobat.
Un emploi temporaire avec option sur un contrat à durée indéterminée : voici la dernière tendance sur le marché du travail.
Et si quelqu'un publie une annonce pour le job de vos rêves, serez-vous directement prêt à poser votre candidature ?
Les réunions à distance (depuis votre bureau à domicile, par exemple) peuvent être très utiles, pour autant que tout se passe comme sur des roulettes.
De nos jours, les entreprises adoptent une approche assez flexible pour répondre à la grave pénurie de travailleurs sur le marché de l’emploi.
Selon le Baromètre des salaires Jobat, le Belge gagne en moyenne 3.783 euros brut par mois.
Bon nombre de personnes commencent à chercher un nouvel emploi parce qu’elles ne sont pas ou plus satisfaites de leur emploi actuel.