Une personne sur cinq suit des formations, c'est bien trop peu
Notre pays a du pain sur la planche en matière d’apprentissage continu.
En quoi consiste votre job ?
Nous faisons tout ce qu’une unité d’intervention fait dans une zone de police locale, mais à l’aéroport : surveillance, contrôle de sécurité, suivre le trafic, intervenir en cas de vol et d’accidents. Il y a beaucoup de vols rapides aux aéroports. Nous menons beaucoup d’actions contre ce type de vols et les taxis pirates (des chauffeurs de taxi sans autorisation). Nous venons justement d’avoir une fusillade avec l’un d’entre eux. Nous surveillons aussi les VIP qui atterrissent et décollent : des ministres, des présidents, le roi, le prince, et nous veillons au grain lors des transports d’argent. Nous assurons aussi le gardiennage du stand de la police fédérale lors du Jobday à l’aéroport.
J’ai eu une belle carrière. Le travail à la police est intéressant et je le referais certainement si c’était à refaire. C’est le message que je lancerais aux candidats potentiels. Mon fils est aussi allé dans la police. Il a toujours vu que je pouvais bien en vivre.
Que pensez-vous de vos revenus ?
C’est un beau salaire, mais il faut tenir compte que l’on exerce un métier à risques. On nous insulte souvent, les gens ont peu de respect pour la police. Nous devons régulièrement faire des heures supplémentaires. Si vous additionnez tout cela, nous ne sommes réellement pas beaucoup payés.
Changeriez-vous de métier pour gagner plus ?
Non. Je suis arrivé ici en 2006. J’ai d’abord travaillé pour une zone de police locale. C’est bien ici, je resterai jusqu’à ma pension. Mais ce n’est pas l’endroit idéal pour des agents débutants. Les tâches sont administratives, telle la surveillance. Dans une zone de police normale vous avez plus d’actions et vous pouvez vous faire votre expérience. Le travail ici est plus monotone. L’adrénaline ne vous monte pas comme lorsque l’on vous appelle dans une zone de police locale pour un vol ou un accident grave. Des disputes de ménages de voisins, cela n’arrive pas non plus.
Parvenez-vous à économiser ?
Oui dans la mesure du possible, car j’aime voyager et je dépense beaucoup pour cela.
Quel est votre coût le plus important ?
Les factures d’énergie, le gaz et l’électricité, faire les courses et le carburant pour la voiture.
Qu’est-ce que vous n’aimez pas du tout payer ?
Des produits de luxe, je n’ai pas une voiture chère par exemple. Elle doit être conviviale pour moi, pas plus.
Quelle est la dépense qui vous fait plaisir ?
Les voyages. En septembre, je vais à Mexico. J’aime aussi aller boire une pintje. Je dépense aussi de l’argent pour les saunas. Je vais volontiers à la mer et j’aime y manger des moules, par exemple.
Imaginez que vous recevez une grosse somme. Que faites-vous avec ?
J’achèterais une seconde voiture, pour la facilité. Et puis je réserverais une croisière ou un voyage dans un pays exotique comme Bali ou les Seychelles. Et je donnerais de l’argent à mes enfants et petits enfants pour qu’ils n’aient plus de souci à se faire.
24 juillet 2012En quoi consiste votre job ?
Nous faisons tout ce qu’une unité d’intervention fait dans une zone de police locale, mais à l’aéroport : surveillance, contrôle de sécurité, suivre le trafic, intervenir en cas de vol et d’accidents. Il y a beaucoup de vols rapides aux aéroports. Nous menons beaucoup d’actions contre ce type de vols et les taxis pirates (des chauffeurs de taxi sans autorisation). Nous venons justement d’avoir une fusillade avec l’un d’entre eux. Nous surveillons aussi les VIP qui atterrissent et décollent : des ministres, des présidents, le roi, le prince, et nous veillons au grain lors des transports d’argent. Nous assurons aussi le gardiennage du stand de la police fédérale lors du Jobday à l’aéroport.
J’ai eu une belle carrière. Le travail à la police est intéressant et je le referais certainement si c’était à refaire. C’est le message que je lancerais aux candidats potentiels. Mon fils est aussi allé dans la police. Il a toujours vu que je pouvais bien en vivre.
Que pensez-vous de vos revenus ?
C’est un beau salaire, mais il faut tenir compte que l’on exerce un métier à risques. On nous insulte souvent, les gens ont peu de respect pour la police. Nous devons régulièrement faire des heures supplémentaires. Si vous additionnez tout cela, nous ne sommes réellement pas beaucoup payés.
Changeriez-vous de métier pour gagner plus ?
Non. Je suis arrivé ici en 2006. J’ai d’abord travaillé pour une zone de police locale. C’est bien ici, je resterai jusqu’à ma pension. Mais ce n’est pas l’endroit idéal pour des agents débutants. Les tâches sont administratives, telle la surveillance. Dans une zone de police normale vous avez plus d’actions et vous pouvez vous faire votre expérience. Le travail ici est plus monotone. L’adrénaline ne vous monte pas comme lorsque l’on vous appelle dans une zone de police locale pour un vol ou un accident grave. Des disputes de ménages de voisins, cela n’arrive pas non plus.
Parvenez-vous à économiser ?
Oui dans la mesure du possible, car j’aime voyager et je dépense beaucoup pour cela.
Quel est votre coût le plus important ?
Les factures d’énergie, le gaz et l’électricité, faire les courses et le carburant pour la voiture.
Qu’est-ce que vous n’aimez pas du tout payer ?
Des produits de luxe, je n’ai pas une voiture chère par exemple. Elle doit être conviviale pour moi, pas plus.
Quelle est la dépense qui vous fait plaisir ?
Les voyages. En septembre, je vais à Mexico. J’aime aussi aller boire une pintje. Je dépense aussi de l’argent pour les saunas. Je vais volontiers à la mer et j’aime y manger des moules, par exemple.
Imaginez que vous recevez une grosse somme. Que faites-vous avec ?
J’achèterais une seconde voiture, pour la facilité. Et puis je réserverais une croisière ou un voyage dans un pays exotique comme Bali ou les Seychelles. Et je donnerais de l’argent à mes enfants et petits enfants pour qu’ils n’aient plus de souci à se faire.
24 juillet 2012Plus de 440.000 utilisateurs recoivent nos astuces
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