La réalité virtuelle présente lors de salons de l'emploi
Ce qui semblait être de la science-fiction il y a peu de temps est désormais devenu une norme : postuler et recruter via la réalité virtuelle ou 'VR'.
Johan Dedecker travaille à la SNCB dans le service de recherche qui s'occupe notamment de l'achat et de l'entretien du matériel roulant. Selon lui, c'est un travail très intéressant. En plus de la polyvalence au niveau des technologies, la SNCB n'a pas d'égal en Belgique. "Nous touchons à tout : hydraulique, mécanique, électromécanique, électronique, pneumatique, etc."
De plus, la barre est placée très haut. "Il est de notre devoir de tirer le meilleur parti de la technologie. Nous devons donc travailler quelles que soient les circonstances. Les exigences en matière de fiabilité sont très élevées."
Selon Johan Dedecker, un atout de la SNCB en tant qu'employeur est qu'il y a beaucoup d'espace et de liberté pour organiser son propre travail. "Vous recevez des responsabilités et les possibilités d'évolution sont présentes tant horizontalement que verticalement. De plus, il s'agit d'un employeur géographiquement dispersé et qui permet de travailler près de chez soi. Enfin, mon salaire est comparable à ce que je gagnerais dans le secteur privé."
Agé de 33 ans, Johan appartient plutôt à la jeune génération de la SNCB. "La pyramide des âges est inversée au sein du secteur des chemins de fer. D'ici une dizaine d'années, de nombreux collègues prendront leur retraite. Les remplacer sera un défi de taille. Nous avons donc besoin de nouvelles personnes. L'arrivée de jeunes talents offre de nombreuses possibilités de développement."
La SNCB est une entreprise de taille et relativement visible depuis le monde extérieur. "Elle est parfois perçue négativement, à tort ou à raison", nuance Johan Dedeker. "Nous faisons les titres de l'actualité mais avons également de nombreux clients. Notre image est parfois démodée aux yeux de certains mais je pense qu'ils ont tort. Les gens n'ont pas conscience que les jobs sont très intéressants, surtout au niveau technique", conclut-il.
Enfin, il y a aussi les collègues. "Il règne un fort sentiment d'appartenance à la SNCB. Tout le monde est fier de travailler pour un tel employeur."
(eh/jy) – Source : MARK Magazine
15 décembre 2016Johan Dedecker travaille à la SNCB dans le service de recherche qui s'occupe notamment de l'achat et de l'entretien du matériel roulant. Selon lui, c'est un travail très intéressant. En plus de la polyvalence au niveau des technologies, la SNCB n'a pas d'égal en Belgique. "Nous touchons à tout : hydraulique, mécanique, électromécanique, électronique, pneumatique, etc."
De plus, la barre est placée très haut. "Il est de notre devoir de tirer le meilleur parti de la technologie. Nous devons donc travailler quelles que soient les circonstances. Les exigences en matière de fiabilité sont très élevées."
Selon Johan Dedecker, un atout de la SNCB en tant qu'employeur est qu'il y a beaucoup d'espace et de liberté pour organiser son propre travail. "Vous recevez des responsabilités et les possibilités d'évolution sont présentes tant horizontalement que verticalement. De plus, il s'agit d'un employeur géographiquement dispersé et qui permet de travailler près de chez soi. Enfin, mon salaire est comparable à ce que je gagnerais dans le secteur privé."
Agé de 33 ans, Johan appartient plutôt à la jeune génération de la SNCB. "La pyramide des âges est inversée au sein du secteur des chemins de fer. D'ici une dizaine d'années, de nombreux collègues prendront leur retraite. Les remplacer sera un défi de taille. Nous avons donc besoin de nouvelles personnes. L'arrivée de jeunes talents offre de nombreuses possibilités de développement."
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Enfin, il y a aussi les collègues. "Il règne un fort sentiment d'appartenance à la SNCB. Tout le monde est fier de travailler pour un tel employeur."
(eh/jy) – Source : MARK Magazine
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