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Pour analyser les cas ci-dessous, nous nous sommes aidés du travail de fin d’études "L'impact des médias sociaux sur les licenciements par les entreprises" de Carolien Baetens, avec le professeur Erik Henderickx (Université d'Anvers) comme promoteur et Lieven Van Nieuwenhuyze (Accent) en tant que co-promoteur.
Un employé était l’administrateur d'une page Facebook avec le même nom et le même logo que la société pour laquelle il travaillait. Celui-ci y a posté un certain nombre de commentaires irrespectueux, agressifs et même menaçants à l’égard du directeur ainsi qu’à certains collègues du magasin. Cependant, le juge n'a toutefois pas invoqué de licenciement pour faute grave car l'employé n'avait pas configuré la page lui-même et n'en était qu'un administrateur. Le travailleur a également prétendu ne pas savoir que la page revêtait un caractère public.
Une cuisinière a écrit des commentaires racistes à propos d’un collègue chargé du nettoyage dans une discussion sur Facebook. Elle a immédiatement déclaré qu’il s’agissait d’une réaction à chaud et qu’elle n’était en aucun cas raciste et n’avait de problème avec personne.
Si les critiques d'un travailleur vont trop loin, sont insultantes et ternissent le propre nom de son entreprise, son employeur peut exiger un licenciement pour faute grave. Dans le cas ci-dessus, ce fut une démission 'normale'. Le fait qu'il y ait un climat tendu et une situation électrique était due à des circonstances atténuantes.
L'employé licencié avait une fonction managériale dans une société cotée en bourse. Il a publié une série de liens vers des articles de presse sur son profil Facebook quelques heures après la publication des résultats semestriels de l'entreprise. Ces liens ont été postés avec des remarques négatives et dénigrantes au sujet de la direction. Le Tribunal du travail a accordé une démission pour faute grave car ce n'était pas la première fois que cet employé publiait de tels commentaires sur son profil Facebook. Vu sa fonction managériale, l’entreprise attendait plus de discrétion de sa part. Le timing a également eu une certaine importance : les messages sont apparus quelques heures après l'annonce des résultats semestriels, au moment où l'entreprise essayait de rassurer les marchés financiers. Le tribunal a décidé que c'était une erreur par rapport à la loyauté élémentaire dont un travailleur doit faire preuve à l’égard de son employeur.
Un manager de la stratégie de communication de Toyota a posté le message suivant sur son compte Twitter: "Je déteste Toyota et tout ce que cette marque représente". Son licenciement pour faute grave en fut la conséquence logique.
La personne a justifié avoir posté son message suite à un état d'esprit nerveux résultant d'un changement de médicament. Elle était en incapacité de travail depuis 7 mois pour cause de dépression et venait de découvrir qu'elle était enceinte. Lorsque le service des ressources humaines l'a contactée pour vérifier la date de son certificat médical, elle a posté le message en question.
Le tribunal du travail a constaté que le message présentait un manque général de respect pour l'employeur. La personne a affirmé ne pas savoir que le message était accessible au public mais le juge ne l’a pas crue car elle était manager de la stratégie de communication et devait donc être au courant du fonctionnement de Twitter et du caractère public des messages.
(eh/jy) – Source : MARK Magazine
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