Quelles villes sont-elles les mieux adaptées au travail à distance ?

L'index, élaboré par la plateforme de location en ligne Nestpick, prend en compte 16 facteurs liés au travail à distance tels que les coûts, les infrastructures, les taxes, les libertés, la sécurité et la qualité de vie.

Différences

Certaines villes diffèrent considérablement les unes des autres en matière de travail à distance. Selon l'index, le loyer des télétravailleurs numériques est le plus élevé à San Francisco (1.736 euros) et le plus bas à Rio De Janeiro (119 euros). Les impôts sont les plus élevés à Bruxelles (47%) alors que vous n’en payerez pas à Dubaï (0%). Au niveau du cadre juridique des nomades digitaux, Berne obtient le score le plus élevé et Istanbul le plus bas. Enfin, la connexion Internet est la meilleure à Reykjavik et la moins bonne à Marrakech.

Sachez également que c'est à Auckland (Nouvelle-Zélande) et à Helsinki que vous bénéficierez de la plus grande liberté. Ces deux villes sont également les plus sûres, contrairement à Shanghai qui arrive en bas du classement. En matière de soins de santé, ceux-ci obtiennent les scores les plus élevés à Toronto et les plus bas à Bali. Enfin, alors que la météo est la plus clémente à Las Palmas, elle est plus capricieuse à Bangkok.

Bruxelles

Melbourne occupe la première place de l'index et est suivie par Dubaï, Sydney et Tallinn. Ces quatre villes proposent désormais des visas spéciaux pour les travailleurs à distance. Le top dix est complété par Londres, Tokyo, Singapour, Glasgow, Montréal et Berlin.

La ville de Paris arrive en 36ème position, Amsterdam se classe 65ème et Bruxelles ferme la marche en terminant à la 72ème place (sur 75).

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(wv/eh)