Pas reçu d’augmentation ? 4 questions à poser
Félicitations ! Vous avez finalement osé demander à votre patron de discuter d'une éventuelle augmentation salariale.
Je suis téléconsultant pour le call center Sitel, je m’occupe des appels entrants, le casque toute la journée sur les oreilles. J’accueille les revendeurs français de Bouygues Telecom pour le compte de Nokia. Mon champ d’intervention est assez réduit : diagnostiquer avec le revendeur si le gsm en panne peut être remis en route, s’il est bon pour la casse ou s’il doit être envoyé en réparation.
100% des appels doivent être traités, ce qui exige que nous soyons en permanence en nombre suffisant pour répondre à tous. Il y a donc aussi des moments creux dans la journée. On peut discuter entre collègues, mais nos conversations sont parfois décousues : on commence entre deux appels, le téléphone sonne et on embraye avec le client. C’est étrange mais on s’y habitue.
Je gagne 1700 euros net par mois. Mon package salarial comprend en plus des chèques repas, le remboursement des frais de transport, une assurance soins de santé. Pour moi, c’est un bon salaire.
Oui, je m’y sens à ma place, j‘aime communiquer. Mes « soft skills »s sont bons. Je traite mes clients comme je voudrais être traité. La partie technique m’intéresse un peu moins. Nous avons de toute façon des formations à chaque nouvel appareil qui sort. Et une fois que l’on connaît le principe, le reste, ce n’est que des détails entre un modèle et l’autre.
Les horaires variables et les régimes de travail flexibles sont un réel avantage. Grâce au crédit temps, j'ai pu me rendre trois mois en Afrique. Et l'allocation de l’ONEM est appréciable. Cet hiver, je pars un mois prêter assistance à mes parents près de Nantes.
Franchement non, ce n’est pas l’argument déterminant. Il faudrait qu’il y ait beaucoup de points positifs, j’aurais du mal à reproduire ailleurs mes avantages actuels. Et puis, la question des langues et la proximité jouent aussi.
Il m’est déjà arrivé d’avoir envie de démissionner car je vivais des moments plus difficiles au boulot, mais comme dans d’autres aspects de ma vie, j’ai constaté que ces moments-là n’étaient jamais très longs.
Me lever le matin avec un réveil (rires). Donc lorsque je commence à 11h, c’est parfait. Et puis, les call centers sont très impersonnels, il y a beaucoup de sous-traitance, en première ligne, nous ne savons bien sûr pas tout, mais nos chefs non plus ne sont pas toujours en contact avec leurs clients. Avec une partie de la solution, nous ne pouvons pas toujours répondre aux problèmes qu’on nous pose.
Les voyages, la culture, les CD et le vin ; je suis un épicurien.
Les PV, ceux de vitesse me mettent hors de moi, lorsque les limitations n’ont aucun sens. Exemple : être verbalisé enroulant à 98 kms/heure à la place de 90 sur une autoroute déserte, la nuit…Où est le danger dans ces conditions ?
Je ne mets pas mon ambition dans ma profession, mais dans mon évolution intérieure. C’est une autre forme de travail. J’ai besoin de temps pour méditer et réaliser mes objectifs personnels.
(fr)
24 juillet 2012Félicitations ! Vous avez finalement osé demander à votre patron de discuter d'une éventuelle augmentation salariale.
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