Quelle est la clé pour garder les jeunes talents à bord de votre navire ?
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Les meilleurs parents sont ceux qui s’impliquent et fixent des objectifs élevés, mais en même temps qui respectent l’autonomie de leurs enfants. Ces derniers, dans leur vie future, académique, psychologique et sociale, feront mieux que les autres.
Ce que l’on attend des parents essentiellement, est certes de cultiver la motivation. Les jeunes enfants seraient plus motivés de réaliser des choses toujours plus difficiles s’ils ne reçoivent pas trop de louanges sur leur intelligence et leur talent. Ces enfants vont se lancer des défis afin de les dépasser (et non pour être primés), qu’ils attendent le succès ou non.
Carol Dweck, psychologue à la Stanford University, mène une expérience remarquable. Elle demande à de jeunes enfants de réaliser dans une pièce un puzzle simple. Pour la plupart, ce n’est pas d’une grande difficulté. Ensuite Dweck explique à certains enfants - pas à tous – comme ils sont intelligents. Ce qui est sans doute surprenant, c’est que ce sont les enfants qui ne sont pas complimentés qui sont le plus motivés à réussir des puzzles de plus en plus compliqués. Ils développent plus de confiance en eux et progressent davantage dans la résolution de puzzles. Le défi serait en effet lié au risque de perdre leur statut d’enfant ‘intelligent’.
D’autres enquêtes arrivent à la même conclusion et correspondent à ce que Madeline Levine a pratiqué il y a déjà 25 ans. L’essentiel pour la croissance d’un enfant est de développer des traits de caractère comme l’autonomie, la confiance en soi et le sens des réalités. Lorsque votre enfant y arrive, félicitez-le et poursuivez. Si vous vous ingérez trop souvent et pour rien dans sa vie, votre enfant finira par se sentir mal par rapport à lui-même (s’il est jeune) et sera fâché contre vous (une fois adolescent).
Autre caractéristique d’une éducation réussie : laisser les enfants être indépendants et limiter ses interventions au minimum. Cela stimule la motivation, la confiance en soi, le sens des réalités, l’orientation résultats et cela les rend aussi plus heureux.
Concrètement ? Il ne serait pas sain pour les parents de suivre tous les jours le travail de leurs enfants, les pousser à écrire ou leur téléphoner constamment pour les contrôler. Une fois que vous leur avez appris quelque chose, restez-en là. En tant que parent, toute intervention supplémentaire serait contre productive.
Mais l’extrême inverse, nier, n’est pas non plus bon, naturellement. Sur le plan des devoirs à domicile, il vous est facile de savoir si vous appliquez ou non la bonne méthode. Lorsqu’un enfant ne veut pas faire un devoir, un bon parent veillera à ce qu’il s’attable et s’y mette. Pas parce qu’autrement, l’enfant ne serait pas un bon élève mais parce qu’il est important d’apprendre et d’avoir une bonne discipline de travail.
Ce n’est pas non plus sain d’aider l’enfant et de faire son devoir avec lui, ce n’est pas ainsi qu’il pourra s’en sortir tout seul. Certains parents s’approprient les succès scolaires de leur progéniture, comme s’ils l’avaient accompli avec eux (« nous allons décrocher ce diplôme »). Si la motivation et la récompense viennent toujours de l’extérieur (des parents), votre enfant ne développera pas de personnalité propre.
Rester à distance de vos enfants et les laisser faire des erreurs est un des plus gros défis de l’éducation. Lorsque les parents apprennent à leurs tout petits à marcher, ils concèdent de les voir d’abord tomber de nombreuses fois avant qu’ils ne puissent faire leurs premiers pas tout seuls. Les punir à ce moment-là ou les rattraper est clairement déconseillé. C’est la même chose pour la vie plus tard. La tâche d’un enfant est de grandir, et la vôtre est de garder vos angoisses sous contrôle, ainsi vous n’entravez pas son chemin vers l’autonomie.
Naturellement, les risques d’erreur ont une autre importance chez les enfants plus âgés et les teenagers. Aux parents de bien distinguer les moments où faire confiance à leurs enfants et ceux où un accompagnement plus actif est nécessaire. Car le rythme selon lequel l’enfant grandit en dépend.
Un parent qui s’immisce à outrance et intervient de trop se comporte ainsi de peur de voir son enfant malheureux. Mais ce n’est pas la bonne attitude. C’est en apprenant à commettre des fautes et en tolérant les échecs sur la voie du succès que nous accédons au bonheur, que l’on soit enfant ou adulte.
Les enfants nous ont vite compris. Si vous voulez prôner des valeurs à vos enfants, commencez par les appliquer vous-même. Le mieux que vous puissiez faire est de leur montrer l’exemple d’une vie d’adulte réussie. Les parents plus malheureux auront tendance à consoler plus vite.
(sc) - Sources : Express.be & Nytimes.com
Madeline Levine est consultante et auteur entre autres de ‘Teach Your Children Well : Parenting for Authentic Success’.
28 août 2012Plus de 440.000 utilisateurs recoivent nos astuces
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