Plaidoyer pour une transparence salariale
Horaires de travail flexibles ou collègues formidables, tels sont les atouts proposés par les patrons pour attirer de nouveaux talents.
Au total, ce sont environ 320 millions d’euros (subsides, sponsoring et rente de monopole) que la Loterie Nationale réinjecte chaque année dans la société. Les subsides représentent à eux seuls plus de 185 millions d’euros. Un montant qui fait de la Loterie Nationale le “premier mécène de Belgique”. Dans les faits, ce sont bien sûr les joueurs qui alimentent cette manne financière dont bénéficient divers projets (bonnes causes).
La Loterie Nationale perpétue ainsi une tradition. “Depuis 1934, nous soutenons et épaulons les organisations qui mettent en place des projets humanitaires, sociaux, sportifs, culturels ou scientifiques”, explique Chris Luypaert, l’une des responsables Subsidy Strategy & Return Management, qui travaille à la Loterie Nationale depuis près de 44 ans. Le rendement social constitue aussi la raison d’être historique des loteries. Les petits investissements spontanés d’un nombre élevé de personnes peuvent créer une grande solidarité et faire une différence au sein de la société. Il suffit de penser aux hospices qui ont été créés à la fin du Moyen Âge ou aux travaux de reconstruction après les inondations à Ruisbroek dans un passé plus récent.
La redistribution des bénéfices fait partie des tâches fondamentales de la Loterie Nationale. “Cette mission est fixée par la loi”, confirme Chris Luypaert. “27,4 % du montant des subsides à distribuer part directement vers les Communautés”, explique-t-elle. Elle démonte ainsi d’emblée l’idée selon laquelle la Loterie Nationale finance uniquement des organismes fédéraux.
Le pourcentage restant est quant à lui versé à des organisations représentatives de l’ensemble du pays. Citons notamment Child Focus, la Fondation Roi Baudouin, le Comité Olympique et Interfédéral Belge (COIB) et le Belgian Paralympic Committee (BPC), la Croix-Rouge de Belgique (les deux sections linguistiques), le Palais des Beaux- Arts de Bruxelles (Bozar), le Centre Antipoisons, Parents d’Enfants Victimes de la Route (PEVR), Europalia, Mémoire d’Auschwitz, des projets de prestige national et un grand nombre d’autres organisations.
Un large éventail d’initiatives sont lancées dans de nombreux domaines : coopération au développement, fonds des calamités, sport (de haut niveau), lutte contre la pauvreté et le sans-abrisme, intégration et participation sociales. “Les subsides que nous versons chaque année aux Communautés renforcent d’ailleurs cette diversité : accueil des personnes âgées, bien-être des personnes handicapées, enseignement spécialisé, jeunesse et sport, familles, tourisme, etc.”, précise Chris Luypaert.
La plupart des bonnes causes qui bénéficient du soutien de la Loterie Nationale ne réalisent pas encore suffisamment que c’est le joueur qui est le réel bienfaiteur. Nous tenons à renforcer cette prise de conscience, affirme Roland Louski, responsable Regulatory Affairs à la Loterie Nationale.
Indépendamment de cette volonté, la Loterie Nationale ambitionne aussi de donner la parole à ses joueurs. “Nous menons par exemple une étude d’impact afin de sonder les préférences du joueur pour savoir quel type de bonnes causes il veut soutenir”, explique Chris Luypaert.
“Cette étude nous montre également qu’il aimerait avoir plus d’impact et participer davantage.” La Loterie Nationale souhaite donc impliquer davantage encore les joueurs dans la redistribution des bénéfices. “Le Lottery Club, qui totalise déjà plus de 280 000 inscriptions, constitue un instrument pour renforcer cette implication.”
La redistribution des bénéfices s’inscrit dans la politique en matière de CSR, ou Corporate Social Responsibility, de la Loterie Nationale, pour laquelle elle a récemment mis sur pied un groupe de travail composé de représentants de divers départements. “Ce faisant, les collaborateurs se familiarisent à leur tour avec les questions de CSR, ce qui fait une grande différence”, observe Roland Louski.
La durabilité constitue un volet essentiel de cette politique. Elle se concrétise par une réduction de la consommation de papier et des émissions de CO2 ou encore par l’implication des travailleurs dans des initiatives sociales. “Mais je mettrais aussi en avant notre volonté de protéger le mieux possible les consommateurs, nos joueurs, et de leur donner confiance dans notre principe du jeu sûr et responsable. Cette mission fait également partie de la CSR”, affirme Roland Louski.
Enfin, la CSR a aussi un impact sur les futurs collaborateurs. “Nous constatons que le profil des candidats évolue”, conclut Roland Louski. “Nos concitoyens, notamment les jeunes, aspirent plus que jamais à travailler pour une entreprise qui a un objectif et une vision. Un employeur qui contribue réellement à la création d’une société meilleure.”
(as)
16 mars 2018Au total, ce sont environ 320 millions d’euros (subsides, sponsoring et rente de monopole) que la Loterie Nationale réinjecte chaque année dans la société. Les subsides représentent à eux seuls plus de 185 millions d’euros. Un montant qui fait de la Loterie Nationale le “premier mécène de Belgique”. Dans les faits, ce sont bien sûr les joueurs qui alimentent cette manne financière dont bénéficient divers projets (bonnes causes).
La Loterie Nationale perpétue ainsi une tradition. “Depuis 1934, nous soutenons et épaulons les organisations qui mettent en place des projets humanitaires, sociaux, sportifs, culturels ou scientifiques”, explique Chris Luypaert, l’une des responsables Subsidy Strategy & Return Management, qui travaille à la Loterie Nationale depuis près de 44 ans. Le rendement social constitue aussi la raison d’être historique des loteries. Les petits investissements spontanés d’un nombre élevé de personnes peuvent créer une grande solidarité et faire une différence au sein de la société. Il suffit de penser aux hospices qui ont été créés à la fin du Moyen Âge ou aux travaux de reconstruction après les inondations à Ruisbroek dans un passé plus récent.
La redistribution des bénéfices fait partie des tâches fondamentales de la Loterie Nationale. “Cette mission est fixée par la loi”, confirme Chris Luypaert. “27,4 % du montant des subsides à distribuer part directement vers les Communautés”, explique-t-elle. Elle démonte ainsi d’emblée l’idée selon laquelle la Loterie Nationale finance uniquement des organismes fédéraux.
Le pourcentage restant est quant à lui versé à des organisations représentatives de l’ensemble du pays. Citons notamment Child Focus, la Fondation Roi Baudouin, le Comité Olympique et Interfédéral Belge (COIB) et le Belgian Paralympic Committee (BPC), la Croix-Rouge de Belgique (les deux sections linguistiques), le Palais des Beaux- Arts de Bruxelles (Bozar), le Centre Antipoisons, Parents d’Enfants Victimes de la Route (PEVR), Europalia, Mémoire d’Auschwitz, des projets de prestige national et un grand nombre d’autres organisations.
Un large éventail d’initiatives sont lancées dans de nombreux domaines : coopération au développement, fonds des calamités, sport (de haut niveau), lutte contre la pauvreté et le sans-abrisme, intégration et participation sociales. “Les subsides que nous versons chaque année aux Communautés renforcent d’ailleurs cette diversité : accueil des personnes âgées, bien-être des personnes handicapées, enseignement spécialisé, jeunesse et sport, familles, tourisme, etc.”, précise Chris Luypaert.
La plupart des bonnes causes qui bénéficient du soutien de la Loterie Nationale ne réalisent pas encore suffisamment que c’est le joueur qui est le réel bienfaiteur. Nous tenons à renforcer cette prise de conscience, affirme Roland Louski, responsable Regulatory Affairs à la Loterie Nationale.
Indépendamment de cette volonté, la Loterie Nationale ambitionne aussi de donner la parole à ses joueurs. “Nous menons par exemple une étude d’impact afin de sonder les préférences du joueur pour savoir quel type de bonnes causes il veut soutenir”, explique Chris Luypaert.
“Cette étude nous montre également qu’il aimerait avoir plus d’impact et participer davantage.” La Loterie Nationale souhaite donc impliquer davantage encore les joueurs dans la redistribution des bénéfices. “Le Lottery Club, qui totalise déjà plus de 280 000 inscriptions, constitue un instrument pour renforcer cette implication.”
La redistribution des bénéfices s’inscrit dans la politique en matière de CSR, ou Corporate Social Responsibility, de la Loterie Nationale, pour laquelle elle a récemment mis sur pied un groupe de travail composé de représentants de divers départements. “Ce faisant, les collaborateurs se familiarisent à leur tour avec les questions de CSR, ce qui fait une grande différence”, observe Roland Louski.
La durabilité constitue un volet essentiel de cette politique. Elle se concrétise par une réduction de la consommation de papier et des émissions de CO2 ou encore par l’implication des travailleurs dans des initiatives sociales. “Mais je mettrais aussi en avant notre volonté de protéger le mieux possible les consommateurs, nos joueurs, et de leur donner confiance dans notre principe du jeu sûr et responsable. Cette mission fait également partie de la CSR”, affirme Roland Louski.
Enfin, la CSR a aussi un impact sur les futurs collaborateurs. “Nous constatons que le profil des candidats évolue”, conclut Roland Louski. “Nos concitoyens, notamment les jeunes, aspirent plus que jamais à travailler pour une entreprise qui a un objectif et une vision. Un employeur qui contribue réellement à la création d’une société meilleure.”
(as)
16 mars 2018Horaires de travail flexibles ou collègues formidables, tels sont les atouts proposés par les patrons pour attirer de nouveaux talents.
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