Plus votre salaire est élevé, moins vous dormez
Un salaire élevé vous satisfait peut-être davantage financièrement, mais demandez-vous tout de même quelle est la valeur de votre temps de sommeil…
Pince-toi et Pince-moi sont sur un bateau, Pince-toi tombe à l’eau. Qui reste-t-il sur le bateau? Cette comptine d’enfants comme une métaphore de la vie au bureau en période de restructuration.
Une fois les collègues partis, la vie au bureau n’est plus tout à fait la même: d’abord se pose la question de la culpabilité. Pourquoi eux et pas moi ? Et puis l’inévitable : serais-je le suivant? Et enfin qui va faire son travail ?
« Nous en sommes à notre 4e ou 5e restructuration. Depuis 2001, elles se sont succédées et je ne sais plus à combien on en est» explique un employé de Sabena Technics à Zaventhem. «Nous étions 2400 travailleurs à la liquidation de Sabena et nous serons 720 employés en avril 2010 », précise-t-il. «Il y a plusieurs attitudes dans la manière de vivre ces restructurations à répétition. Vu que le travail doit continuer, certains se dépêchent de capter tout le know how des collègues qui vont partir. Et d’autres refusent de reprendre le travail de ceux qui sont licenciés. Mais c’est une minorité. Une chose est sûre: nous avons perdu le feu sacré ici tout le monde fait son boulot, mais la motivation n’est plus au rendez-vous. Heureusement, nous continuons à nous tenir les coudes. Un grand nombre de personnes se disent : « Après tout, dans ces conditions, mieux vaut être,les prochains à partir ».
Chez Swift, à la Hulpe, suite à une restructuration Lean mise en place par l’entreprise de consultance McKinsey, les licenciements perlés se sont succédé depuis le printemps dernier. Une centaine de personnes sont parties. Le même nombre est concerné en 2010. « Il est très difficile de travailler dans ces conditions, car les licenciements ont lieu par vague, service par service» nous explique un employé de Swift. «La tension monte entre collègues. La confiance et la solidarité ont disparu et chacun travaille dans la peur de nouveaux licenciements » explique-t-il. « Le management a perdu sa crédibilité auprès des employés. Nous étions un personnel très motivé dans une entreprise qui traditionnellement, soignait particulièrement ses employés. Aujourd’hui, tout cela a volé en éclats. Dans ce contexte, certains jouent le jeu et d’autres attendent d’être licenciés. Personnellement, je suis très en colère, car il ne s’agit pas de sauver l’entreprise, mais seulement qu’elle gagne plus d’argent. Si ça continue, dans cette ambiance, il va y avoir des démissions. »
(fr)
3 octobre 2011Pince-toi et Pince-moi sont sur un bateau, Pince-toi tombe à l’eau. Qui reste-t-il sur le bateau? Cette comptine d’enfants comme une métaphore de la vie au bureau en période de restructuration.
Une fois les collègues partis, la vie au bureau n’est plus tout à fait la même: d’abord se pose la question de la culpabilité. Pourquoi eux et pas moi ? Et puis l’inévitable : serais-je le suivant? Et enfin qui va faire son travail ?
« Nous en sommes à notre 4e ou 5e restructuration. Depuis 2001, elles se sont succédées et je ne sais plus à combien on en est» explique un employé de Sabena Technics à Zaventhem. «Nous étions 2400 travailleurs à la liquidation de Sabena et nous serons 720 employés en avril 2010 », précise-t-il. «Il y a plusieurs attitudes dans la manière de vivre ces restructurations à répétition. Vu que le travail doit continuer, certains se dépêchent de capter tout le know how des collègues qui vont partir. Et d’autres refusent de reprendre le travail de ceux qui sont licenciés. Mais c’est une minorité. Une chose est sûre: nous avons perdu le feu sacré ici tout le monde fait son boulot, mais la motivation n’est plus au rendez-vous. Heureusement, nous continuons à nous tenir les coudes. Un grand nombre de personnes se disent : « Après tout, dans ces conditions, mieux vaut être,les prochains à partir ».
Chez Swift, à la Hulpe, suite à une restructuration Lean mise en place par l’entreprise de consultance McKinsey, les licenciements perlés se sont succédé depuis le printemps dernier. Une centaine de personnes sont parties. Le même nombre est concerné en 2010. « Il est très difficile de travailler dans ces conditions, car les licenciements ont lieu par vague, service par service» nous explique un employé de Swift. «La tension monte entre collègues. La confiance et la solidarité ont disparu et chacun travaille dans la peur de nouveaux licenciements » explique-t-il. « Le management a perdu sa crédibilité auprès des employés. Nous étions un personnel très motivé dans une entreprise qui traditionnellement, soignait particulièrement ses employés. Aujourd’hui, tout cela a volé en éclats. Dans ce contexte, certains jouent le jeu et d’autres attendent d’être licenciés. Personnellement, je suis très en colère, car il ne s’agit pas de sauver l’entreprise, mais seulement qu’elle gagne plus d’argent. Si ça continue, dans cette ambiance, il va y avoir des démissions. »
(fr)
3 octobre 2011Plus de 440.000 utilisateurs recoivent nos astuces
Un salaire élevé vous satisfait peut-être davantage financièrement, mais demandez-vous tout de même quelle est la valeur de votre temps de sommeil…
Les jeunes sont l'avenir de la société, mais également du marché de l’emploi. En revanche, leurs attentes ne correspondent pas toujours à celles des employeurs.
Voulez-vous absolument obtenir ce job ? Il vous faudra vous démarquer des autres candidats. La règle d'or pour du bon CV : un scénario fascinant.
Jamais auparavant la distance entre collègues n'avait été aussi grande.
Commencez-vous par effectuer les tâches que vous préférez le plus mais qui ne sont pas du tout une priorité ?
De nos jours, un travailleur belge sous contrat d'employé à temps plein gagne en moyenne un salaire brut de 3.783 euros par mois.
Se reposer chez soi, avoir une vie équilibrée, se vider l’esprit… N'est-ce pas tout ce dont nous avons envie ? Et pourtant, nous sommes occupés en permanence.
Beaucoup de métiers traditionnels disparaissent ou sont remplacés par des versions plus modernes. Les temps changent et nos besoins aussi.
Toute personne débutant dans le secteur du tourisme gagne un salaire mensuel brut moyen de 2.308 euros.
Plus de 440.000 utilisateurs recoivent nos astuces
La crise du coronavirus a-t-elle un impact majeur sur votre travail au point que vous souhaitez chercher un autre emploi, même dans un autre secteur ?
A certains endroits, comme par exemple les hôpitaux, vous entendez aussi parler l'arabe ou le berbère.
Quelle est la plus grande question piège que l’on peut vous poser lorsque vous postulez pour un job ?
Un entretien d'embauche est éprouvant pour les nerfs. Même si vous avez beau être extrêmement bien préparé, le stress peut prendre le dessus.
« Des salariés qui perdent leur implication au sein de leur entreprise : personne ne profite d’une telle situation. »
La manière dont nous organisons nos vacances et le nombre de jours auxquels nous avons droit pourraient être impactés par l’épargne-carrière.
Les joueurs de football populaires, les hommes d'affaires richissimes et les stars de la pop internationale connaissent tous une certaine forme de succès.
La surabondance d’informations en tout genre, le stress, la course contre la montre, tout cela nous amène des tas de pensées et d’émotions indésirables.
Le coronavirus provoque non seulement de nombreuses souffrances humaines, mais il perturbe et contamine également l'économie mondiale.