Les indépendants sont économes en matière de vacances
Le travailleur indépendant belge prend en moyenne 19 jours de congés par an. 6% des travailleurs indépendants ne partent jamais en vacances.
Le chômage sévit toujours et atteint nos revenus, notre épargne et nos conditions de vie. Mais ce n’est pas la seule issue possible pour ceux qui s’accrochent avec détermination et ténacité. Même maintenant.
Selon une enquête réalisée par Accenture auprès de grandes entreprises américaines, la moitié de celles-ci seraient prêtes à engager d’ici un an ou deux. Mais pas comme avant. Pas massivement. On ne sait jamais ce que l’économie peut réserver. Et pas n’importe qui. Des collaborateurs qui leur apportent une spécialité, la maîtrise des technologies avec une autre expertise à côté.
Voici 7 attitudes bonnes à suivre par qui veut sortir ou garder la tête hors de l’eau dans une économie austère.
Côté entreprise, le défi sera d’axer les engagements autour de projets et de préférer les contrats intérimaires assortis des avantages des temps pleins, ce pour tout niveau de fonction. L’entreprise pourra ainsi faire fluctuer ses volumes d’effectif sans les dépenses ni le traumatisme d’un licenciement massif. Elle pourra déplacer ses compétences en interne au gré des besoins de l’organisation.
Le collaborateur-type de cette entreprise ? Ambitieux, ouvert à des carrières multi jobs et multi disciplines, il ne sera plus attaché à une relation long terme et durable avec l’employeur, mais appréciera de faire un break entre deux emplois.
Les secteurs recherchés regorgent de candidats sans emploi. Il s’agit désormais de sortir du lot pour décrocher le job convoité par 150 autres candidats. Exceller dans un domaine ne suffit plus, il faut désormais réunir pas moins de deux ou trois compétences différentes. Exemples : l’IT et le planning stratégique, ou les ventes et la logistique. Au plus vous réunissez de domaines d’excellence, au plus l’entreprise a des raisons de vous engager.
Elles sont impossibles à décrire sur votre CV, elles s’acquièrent avec l’expérience, la prise de responsabilités, ou le goût du risque. Il s’agit de l’intuition, de la capacité à décider sous la pression, de l’aisance dans les contacts, de l’aptitude à résoudre des problèmes…Ces qualités humaines sont de plus en plus demandées, en complément des aptitudes technologiques. Comment les acquérir ? Auprès de ceux qui les ont acquises ou par des projets qui vous font apprendre de nouvelles choses. Rendez-les tangibles pour votre employeur en donnant la parole à des références et prouvez par des exemples les résultats hors du commun que vous avez obtenus.
Ne vous attachez pas à votre job ni à votre titre, concentrez-vous sur vos compétences, celles que vous pouvez exercer dans votre secteur mais aussi dans un autre, sans doute moins saturé. Convainquez l’employeur de la richesse que vous apportez à l’entreprise, en venant d’un autre secteur voire d’une autre discipline.
Les outils statistiques foisonnent aujourd’hui et sont à la portée de tous. Ce n’est pas votre truc ? Demandez une formation ou soyez autodidacte. On peut tout mesurer, les chiffres des ventes, le trafic web, le retour sur investissement, les préférences du consommateur... et votre propre performance. Au plus vous la maîtrisez, au plus vous pouvez agir pour l’améliorer.
Le marché de l’emploi se rétrécit ? Des voies se ferment devant vous ? Réagissez ! Demandez-vous pourquoi. Votre esprit inquisiteur, votre curiosité naturelle, votre capacité de vous étonner vous feront rencontrer d’autres personnes, découvrir de nouvelles opportunités, aller plus loin que vous ne pensiez…
Comptez sur vous-même, construisez-vous des compétences techniques pour vous affranchir des autres et surtout ne vous attachez pas à votre emploi actuel. Rien n’est acquis, vus ignorez comment tournera votre enterprise demain… Et si vous avez un peu de temps entre deux emplois, accueillez cela avec bonheur. C’est peut-être une aubaine.
Source : Rick Newman pour US News Money
(sc)
1 septembre 2010Le chômage sévit toujours et atteint nos revenus, notre épargne et nos conditions de vie. Mais ce n’est pas la seule issue possible pour ceux qui s’accrochent avec détermination et ténacité. Même maintenant.
Selon une enquête réalisée par Accenture auprès de grandes entreprises américaines, la moitié de celles-ci seraient prêtes à engager d’ici un an ou deux. Mais pas comme avant. Pas massivement. On ne sait jamais ce que l’économie peut réserver. Et pas n’importe qui. Des collaborateurs qui leur apportent une spécialité, la maîtrise des technologies avec une autre expertise à côté.
Voici 7 attitudes bonnes à suivre par qui veut sortir ou garder la tête hors de l’eau dans une économie austère.
Côté entreprise, le défi sera d’axer les engagements autour de projets et de préférer les contrats intérimaires assortis des avantages des temps pleins, ce pour tout niveau de fonction. L’entreprise pourra ainsi faire fluctuer ses volumes d’effectif sans les dépenses ni le traumatisme d’un licenciement massif. Elle pourra déplacer ses compétences en interne au gré des besoins de l’organisation.
Le collaborateur-type de cette entreprise ? Ambitieux, ouvert à des carrières multi jobs et multi disciplines, il ne sera plus attaché à une relation long terme et durable avec l’employeur, mais appréciera de faire un break entre deux emplois.
Les secteurs recherchés regorgent de candidats sans emploi. Il s’agit désormais de sortir du lot pour décrocher le job convoité par 150 autres candidats. Exceller dans un domaine ne suffit plus, il faut désormais réunir pas moins de deux ou trois compétences différentes. Exemples : l’IT et le planning stratégique, ou les ventes et la logistique. Au plus vous réunissez de domaines d’excellence, au plus l’entreprise a des raisons de vous engager.
Elles sont impossibles à décrire sur votre CV, elles s’acquièrent avec l’expérience, la prise de responsabilités, ou le goût du risque. Il s’agit de l’intuition, de la capacité à décider sous la pression, de l’aisance dans les contacts, de l’aptitude à résoudre des problèmes…Ces qualités humaines sont de plus en plus demandées, en complément des aptitudes technologiques. Comment les acquérir ? Auprès de ceux qui les ont acquises ou par des projets qui vous font apprendre de nouvelles choses. Rendez-les tangibles pour votre employeur en donnant la parole à des références et prouvez par des exemples les résultats hors du commun que vous avez obtenus.
Ne vous attachez pas à votre job ni à votre titre, concentrez-vous sur vos compétences, celles que vous pouvez exercer dans votre secteur mais aussi dans un autre, sans doute moins saturé. Convainquez l’employeur de la richesse que vous apportez à l’entreprise, en venant d’un autre secteur voire d’une autre discipline.
Les outils statistiques foisonnent aujourd’hui et sont à la portée de tous. Ce n’est pas votre truc ? Demandez une formation ou soyez autodidacte. On peut tout mesurer, les chiffres des ventes, le trafic web, le retour sur investissement, les préférences du consommateur... et votre propre performance. Au plus vous la maîtrisez, au plus vous pouvez agir pour l’améliorer.
Le marché de l’emploi se rétrécit ? Des voies se ferment devant vous ? Réagissez ! Demandez-vous pourquoi. Votre esprit inquisiteur, votre curiosité naturelle, votre capacité de vous étonner vous feront rencontrer d’autres personnes, découvrir de nouvelles opportunités, aller plus loin que vous ne pensiez…
Comptez sur vous-même, construisez-vous des compétences techniques pour vous affranchir des autres et surtout ne vous attachez pas à votre emploi actuel. Rien n’est acquis, vus ignorez comment tournera votre enterprise demain… Et si vous avez un peu de temps entre deux emplois, accueillez cela avec bonheur. C’est peut-être une aubaine.
Source : Rick Newman pour US News Money
(sc)
1 septembre 2010Le travailleur indépendant belge prend en moyenne 19 jours de congés par an. 6% des travailleurs indépendants ne partent jamais en vacances.
La psychologue du comportement néerlandaise Chantal van der Leest étudie depuis des années le comportement des gens sur leur lieu de travail.
Vous est-il déjà arrivé d’acheter discrètement une tenue en ligne lorsque vous étiez au bureau ? Vous n'êtes pas le/la seul(e).
Sympathiques, mauvais, drôles, malhonnêtes, telles sont les qualités que peuvent revêtir les patrons.
Vous cherchez un nouvel emploi ? Vous savez dès lors à quel point un entretien d'embauche peut être stressant.
Même si ces deux étapes fondamentales peuvent sembler évidentes, la coach de carrière Annelies Quaegebeur remarque qu’elles sont souvent oubliées par les candidats.
Tout employé fournissant des efforts supplémentaires pendant la crise du coronavirus bénéficie d’une récompense ou d’une rémunération supplémentaire.
En jouant aux échecs, vous développez des compétences qui vous aident à progresser dans votre carrière. Cela vous semble-t-il étrange ?
Vous cherchez toujours l’algorithme magique qui vous permet de déduire votre salaire net de votre rémunértion brute ? Explications...
L'employé belge moyen gagne 3.783 euros brut par mois. Telle est l’observation ressortant de la dernière édition du Baromètre des salaires Jobat.
Toutes les infirmières ne travaillent pas dans des hôpitaux. Sachez qu’il existe une demande croissante d'infirmiers(-ères) en entreprise.
Alors que les gens sont appelés à rester le plus possible chez eux en cette période de crise du coronavirus, Niels Willems (30 ans) travaille au quotidien à l’extérieur.
L'une des principales raisons pour lesquelles les gens quittent leur emploi est qu'ils ne s'entendent pas avec leur manager ou leur patron.
Se disputer au travail peut avoir des conséquences non négligeables sur une carrière professionnelle.
« Des salariés qui perdent leur implication au sein de leur entreprise : personne ne profite d’une telle situation. »
Avec l'amélioration de la situation sanitaire, nous sommes dès à présent autorisés à retourner au bureau un jour par semaine.
L'allocation familiale est un montant mensuel payé par la caisse d'allocations familiales à laquelle votre employeur est affilié.
Vous vous sentez souvent fatigué au travail ? Votre productivité diminue drastiquement après la pause lunch ? La réponse se trouve peut-être dans votre assiette !