Cinq conseils de carrière en or destinés aux techniciens
En tant que technicien, vous n’avez pas à vous soucier de votre métier ni de votre avenir.
Le travail de groupe rendrait bête, accroîtrait les inhibitions et serait contre-productif, c’est que vient de démontrer une récente étude américaine basée sur la technologie des neurosciences.
Les membres d’un groupe ayant un statut social inférieur aux autres ou le croyant, verraient diminuer leur quotient intellectuel (QI) par le simple fait de travailler en groupe. Par peur de mal faire, ils perdraient confiance dans un environnement compétitif qui les inhibe. Particulièrement les femmes dont on sait qu’elles ont à capacités égales moins confiance en elles. C’est ce qu’ont relevé des scientifiques en utilisant l’imagerie par résonance magnétique pour mieux comprendre les processus cérébraux et les incidences de leur perception sur nos capacités intellectuelles.
Read Montague dirige le laboratoire d'imagerie cérébrale de Virginia Tech (USA). Il explique : " Il a suffi que nous confrontions en groupe des individus dotés du même QI à leurs performances respectives sur des tâches cognitives pour voir les capacités de certains à résoudre des problèmes drastiquement chuter. Le feedback et la pression sociale ont un effet significatif. »
Cette étude rendrait donc bancale l’idée selon laquelle nous pouvons mesurer le QI de manière fiable indépendamment des interactions sociales de l’individu.
Les parents de famille nombreuse savent bien qu’il faut souvent insister pour laisser les plus faibles s’exprimer afin d’éviter qu’ils ne se renferment ou ne perdent davantage confiance en eux.
Pour Philippe Meirieu, Professeur en sciences de l’éducation à l’université Lumière de Lyon qui a mené plusieurs travaux dans les années 80, l’idée ne surprend guère. Le travail de groupe ne produit pas de miracle, même si certains le mystifient. Le groupe ayant tendance à provoquer une « division du travail », à renforcer chacun dans un rôle préétabli, à marginaliser les apprentissages et à se structurer selon les logiques d’attraction-répulsion à l’égard du leader et du bouc émissaire souvent tout désigné!
Le groupe semble en tout cas accentuer la concurrence entre collaborateurs voire entre équipes, et il est légitime de penser que l’on risquerait en favorisant le travail en groupe, valorisé par ailleurs, de passer à côté du potentiel de certains talents. Faut-il, dès lors renoncer à tout « travail de groupe » ? Sans doute pas puisque par ailleurs la complémentarité des compétences serait source de progrès, selon d'autres études.
Un travail de préparation est certainement nécessaire pour fixer les règles du jeu, enfin du travail, en veillant à une rotation des rôles, à l’évaluation des acquis et moins de la tâche, à la gestion des conflits et en évitant le conformisme…
(sc), Sources : lemonde.fr, newsring.fe, research.vtc.vt.edu
6 avril 2012Le travail de groupe rendrait bête, accroîtrait les inhibitions et serait contre-productif, c’est que vient de démontrer une récente étude américaine basée sur la technologie des neurosciences.
Les membres d’un groupe ayant un statut social inférieur aux autres ou le croyant, verraient diminuer leur quotient intellectuel (QI) par le simple fait de travailler en groupe. Par peur de mal faire, ils perdraient confiance dans un environnement compétitif qui les inhibe. Particulièrement les femmes dont on sait qu’elles ont à capacités égales moins confiance en elles. C’est ce qu’ont relevé des scientifiques en utilisant l’imagerie par résonance magnétique pour mieux comprendre les processus cérébraux et les incidences de leur perception sur nos capacités intellectuelles.
Read Montague dirige le laboratoire d'imagerie cérébrale de Virginia Tech (USA). Il explique : " Il a suffi que nous confrontions en groupe des individus dotés du même QI à leurs performances respectives sur des tâches cognitives pour voir les capacités de certains à résoudre des problèmes drastiquement chuter. Le feedback et la pression sociale ont un effet significatif. »
Cette étude rendrait donc bancale l’idée selon laquelle nous pouvons mesurer le QI de manière fiable indépendamment des interactions sociales de l’individu.
Les parents de famille nombreuse savent bien qu’il faut souvent insister pour laisser les plus faibles s’exprimer afin d’éviter qu’ils ne se renferment ou ne perdent davantage confiance en eux.
Pour Philippe Meirieu, Professeur en sciences de l’éducation à l’université Lumière de Lyon qui a mené plusieurs travaux dans les années 80, l’idée ne surprend guère. Le travail de groupe ne produit pas de miracle, même si certains le mystifient. Le groupe ayant tendance à provoquer une « division du travail », à renforcer chacun dans un rôle préétabli, à marginaliser les apprentissages et à se structurer selon les logiques d’attraction-répulsion à l’égard du leader et du bouc émissaire souvent tout désigné!
Le groupe semble en tout cas accentuer la concurrence entre collaborateurs voire entre équipes, et il est légitime de penser que l’on risquerait en favorisant le travail en groupe, valorisé par ailleurs, de passer à côté du potentiel de certains talents. Faut-il, dès lors renoncer à tout « travail de groupe » ? Sans doute pas puisque par ailleurs la complémentarité des compétences serait source de progrès, selon d'autres études.
Un travail de préparation est certainement nécessaire pour fixer les règles du jeu, enfin du travail, en veillant à une rotation des rôles, à l’évaluation des acquis et moins de la tâche, à la gestion des conflits et en évitant le conformisme…
(sc), Sources : lemonde.fr, newsring.fe, research.vtc.vt.edu
6 avril 2012Plus de 440.000 utilisateurs recoivent nos astuces
En tant que technicien, vous n’avez pas à vous soucier de votre métier ni de votre avenir.
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