Comment gérer la culture de la peur sur votre lieu de travail ?
Menacer, manipuler, rabaisser. Cela se produit dans plus d'entreprises que vous ne le pensez.
Le langage corporel, c'est bien plus qu'une affaire de grimaces et de mains moites. Bien que nous n'en soyons généralement pas conscients, 70 pour cent au moins de notre communication passe par le langage corporel. Celui qui, grâce à une formation efficace, parvient à détecter plus rapidement dans les divers mouvements du corps ses propres signaux et ceux des autres, communiquera mieux. Ces connaissances peuvent être utiles dans plusieurs situations, que ce soit un entretien d'embauche, un exposé ou même une argumentation de vente. Le langage corporel est indispensable pour établir des contacts. Etre conscient de certaines différences liées aux cultures, aux personnes ou aux situations, peut nous guider dans la bonne voie.
La distance que nous observons à l'égard de notre interlocuteur est un excellent baromètre de la relation que nous entretenons avec lui et du contact que nous souhaitons à ce moment. Nous adaptons en permanence cette distance selon la fonction, aussi est-elle révélatrice du degré d'intimité ou du sujet de conversation, d'une part. La distance joue d'autre part un rôle très efficace au niveau de la régulation de la conversation. Lorsque nous voulons terminer une conversation, nous agrandissons la distance afin que tout le monde reçoive le même signal. La notion de 'distance' est toutefois sujette à une série de différences culturelles. Les Japonais et les Arabes acceptent un contact plus 'intime' que les collègues européens, qui se sentent plus facilement menacés. Des différences personnelles, comme l'éducation, le vécu ou le caractère, influencent également les relations interpersonnelles. Quelles 'zones' distingue-t-on dans le monde occidental?
Cette distance, définie par une longueur de bras, est idéale pour une relation familière. Il suffit de chuchoter pour se comprendre mutuellement. La proximité est physiquement perceptible: le niveau d'adrénaline augmente, on transpire, le rythme cardiaque s'accélère. Lorsqu'un inconnu s'immisce malgré tout dans cette sphère (dans un bus plein à craquer, par exemple), on va essayer d'échapper à cette intimité non désirée par tous les moyens: détourner la tête, éviter le contact visuel, ne pas parler, …
La plupart des conversations se déroulent dans un espace tel qu'on peut facilement échanger une poignée de mains. Il est possible de tenir une conversation normale sans crier. On a tout loisir de regarder l'autre ou de détourner le regard.
Tous les contacts survenant lors de fêtes, cocktails, repas et réunions, se situent dans cette zone. On se parle sans se toucher. Souvent, un objet sépare les interlocuteurs - une table, par exemple - pour souligner la distance.
On peut, dans cette zone plus étendue, s'adresser à un plus grand groupe de personnes. On se contente de saluer les gens avec qui on ne souhaite pas converser. La distance publique est généralement maintenue dans les lieux publics, qui requièrent une attitude neutre et réservée.
Les yeux sont le reflet de l'âme. Le fait de regarder et de fixer quelqu'un est régi par des règles tacites et inconscientes, mais nous observons tous une série de modèles en la matière. Cela ne nous empêche pas de nous poser des questions. Quand commencer à regarder? Le moment où l'on commence à regarder son interlocuteur dépend de la relation qu'on entretient avec lui et du délai depuis lequel on ne l'a plus vu. Fixer quelqu'un et agiter la main dans sa direction se fait pendant un bref instant, encore faut-il s'approcher mutuellement. De plus, le regard détermine aussi le temps que l'on veut consacrer au contact.
Si l'on ne veut pas 's'attarder', on sera le dernier à regarder l'autre. Parler et regarder sont indissociablement liés. Lorsqu'on veut entamer une conversation, on regarde brièvement son futur interlocuteur. S'il répond par un regard, on sait qu'il est prêt à écouter. Dès qu'on commence à parler, on détourne le regard. Tant que le regard reste détourné, l'autre sait qu'on veut poursuivre son discours. Lorsqu'on veut souligner certaines choses, on le fixe brièvement. Histoire de vérifier s'il est attentif. Lorsque le récit est terminé, on regarde un peu plus longuement son auditeur. Si celui-ci est resté assis à écouter avec intérêt, tout va bien. Dans le cas contraire, il faut se poser des questions. Le contact visuel joue un rôle important dans la formation d'une première impression. Les premières minutes sont d'ailleurs cruciales pour la survie d'une relation. Une série d'indices quasi invisibles, de microsignaux, reflètent nos émotions via d'infimes changements. Comme nous ne contrôlons pas ces petits mouvements, ils trahissent nos pensées à la perfection. Ainsi, la peur ou l'excitation agrandissent les pupilles et augmentent les clignements des yeux. Nos paupières se ferment légèrement lorsque nous nous méfions. Par ailleurs, l'importance du contact visuel se répercute directement sur l'échelle de valeur. En dessous d'une certaine valeur, on appréciera davantage une personne qui nous regarde beaucoup et longtemps. Si cette personne dépasse cette valeur, on l'appréciera moins.
Ceci est un extrait d'un site web dédié au langage corporel. Outre un syllabus en ligne décrivant tous les aspects du langage corporel, les personnes intéressées pourront y découvrir une vaste bibliographie et une liste de sites. Sujets abordés: la communication, les attitudes, la distance, la démarche, les mouvements, les signes et les gestes, la voix, l'espace, le temps, le regard, les expressions du visage, le toucher, se saluer, écouter, la tenue vestimentaire, les hommes et les femmes, s'exprimer en public, etc.
18 septembre 2008Le langage corporel, c'est bien plus qu'une affaire de grimaces et de mains moites. Bien que nous n'en soyons généralement pas conscients, 70 pour cent au moins de notre communication passe par le langage corporel. Celui qui, grâce à une formation efficace, parvient à détecter plus rapidement dans les divers mouvements du corps ses propres signaux et ceux des autres, communiquera mieux. Ces connaissances peuvent être utiles dans plusieurs situations, que ce soit un entretien d'embauche, un exposé ou même une argumentation de vente. Le langage corporel est indispensable pour établir des contacts. Etre conscient de certaines différences liées aux cultures, aux personnes ou aux situations, peut nous guider dans la bonne voie.
La distance que nous observons à l'égard de notre interlocuteur est un excellent baromètre de la relation que nous entretenons avec lui et du contact que nous souhaitons à ce moment. Nous adaptons en permanence cette distance selon la fonction, aussi est-elle révélatrice du degré d'intimité ou du sujet de conversation, d'une part. La distance joue d'autre part un rôle très efficace au niveau de la régulation de la conversation. Lorsque nous voulons terminer une conversation, nous agrandissons la distance afin que tout le monde reçoive le même signal. La notion de 'distance' est toutefois sujette à une série de différences culturelles. Les Japonais et les Arabes acceptent un contact plus 'intime' que les collègues européens, qui se sentent plus facilement menacés. Des différences personnelles, comme l'éducation, le vécu ou le caractère, influencent également les relations interpersonnelles. Quelles 'zones' distingue-t-on dans le monde occidental?
Cette distance, définie par une longueur de bras, est idéale pour une relation familière. Il suffit de chuchoter pour se comprendre mutuellement. La proximité est physiquement perceptible: le niveau d'adrénaline augmente, on transpire, le rythme cardiaque s'accélère. Lorsqu'un inconnu s'immisce malgré tout dans cette sphère (dans un bus plein à craquer, par exemple), on va essayer d'échapper à cette intimité non désirée par tous les moyens: détourner la tête, éviter le contact visuel, ne pas parler, …
La plupart des conversations se déroulent dans un espace tel qu'on peut facilement échanger une poignée de mains. Il est possible de tenir une conversation normale sans crier. On a tout loisir de regarder l'autre ou de détourner le regard.
Tous les contacts survenant lors de fêtes, cocktails, repas et réunions, se situent dans cette zone. On se parle sans se toucher. Souvent, un objet sépare les interlocuteurs - une table, par exemple - pour souligner la distance.
On peut, dans cette zone plus étendue, s'adresser à un plus grand groupe de personnes. On se contente de saluer les gens avec qui on ne souhaite pas converser. La distance publique est généralement maintenue dans les lieux publics, qui requièrent une attitude neutre et réservée.
Les yeux sont le reflet de l'âme. Le fait de regarder et de fixer quelqu'un est régi par des règles tacites et inconscientes, mais nous observons tous une série de modèles en la matière. Cela ne nous empêche pas de nous poser des questions. Quand commencer à regarder? Le moment où l'on commence à regarder son interlocuteur dépend de la relation qu'on entretient avec lui et du délai depuis lequel on ne l'a plus vu. Fixer quelqu'un et agiter la main dans sa direction se fait pendant un bref instant, encore faut-il s'approcher mutuellement. De plus, le regard détermine aussi le temps que l'on veut consacrer au contact.
Si l'on ne veut pas 's'attarder', on sera le dernier à regarder l'autre. Parler et regarder sont indissociablement liés. Lorsqu'on veut entamer une conversation, on regarde brièvement son futur interlocuteur. S'il répond par un regard, on sait qu'il est prêt à écouter. Dès qu'on commence à parler, on détourne le regard. Tant que le regard reste détourné, l'autre sait qu'on veut poursuivre son discours. Lorsqu'on veut souligner certaines choses, on le fixe brièvement. Histoire de vérifier s'il est attentif. Lorsque le récit est terminé, on regarde un peu plus longuement son auditeur. Si celui-ci est resté assis à écouter avec intérêt, tout va bien. Dans le cas contraire, il faut se poser des questions. Le contact visuel joue un rôle important dans la formation d'une première impression. Les premières minutes sont d'ailleurs cruciales pour la survie d'une relation. Une série d'indices quasi invisibles, de microsignaux, reflètent nos émotions via d'infimes changements. Comme nous ne contrôlons pas ces petits mouvements, ils trahissent nos pensées à la perfection. Ainsi, la peur ou l'excitation agrandissent les pupilles et augmentent les clignements des yeux. Nos paupières se ferment légèrement lorsque nous nous méfions. Par ailleurs, l'importance du contact visuel se répercute directement sur l'échelle de valeur. En dessous d'une certaine valeur, on appréciera davantage une personne qui nous regarde beaucoup et longtemps. Si cette personne dépasse cette valeur, on l'appréciera moins.
Ceci est un extrait d'un site web dédié au langage corporel. Outre un syllabus en ligne décrivant tous les aspects du langage corporel, les personnes intéressées pourront y découvrir une vaste bibliographie et une liste de sites. Sujets abordés: la communication, les attitudes, la distance, la démarche, les mouvements, les signes et les gestes, la voix, l'espace, le temps, le regard, les expressions du visage, le toucher, se saluer, écouter, la tenue vestimentaire, les hommes et les femmes, s'exprimer en public, etc.
18 septembre 2008Menacer, manipuler, rabaisser. Cela se produit dans plus d'entreprises que vous ne le pensez.
Avec la prime bénéficiaire, versée en fonction des bénéfices de l’entreprise, et le bonus salarial collectif, l'employeur dispose de deux manières pour récompenser ses employés.
Pour un manager, l'efficacité professionnelle est une source de motivation et de réussite. Le succès de l'entreprise peut en dépendre.
Tout le monde a de temps en temps besoin de considération, et ce également sur son lieu de travail.
Si un directeur financier d'une entreprise avait le choix, il enverrait ses collègues féminines en voyage d'affaires.
Votre plus grand cauchemar ? Vous faire licencier alors que vous pensez que tout va très bien.
Plus d'un employé sur trois déclare ne pas être suffisamment motivé et engagé dans son travail.
Nous connaissons déjà le quotient intellectuel (QI) et le quotient émotionnel (QE). En revanche, le quotient d’adaptabilité (QA) semble moins connu.
Des recherches montrent qu’une journée de travail peut facilement être réduite à six heures, et ce sans affecter la productivité générale de l’entreprise.
La campagne de vaccination de la dose 'booster' bat son plein et les enfants reçoivent de plus en plus rapidement leur invitation à se faire vacciner.
Vous sentez-vous parfois esseulé(e) lorsque vous travaillez à domicile ? Vous n’êtes pas le/la seul(e) ! Beaucoup de gens aspirent à retourner sur le lieu de travail.
Selon le Baromètre des salaires Jobat, le Belge gagne en moyenne 3.783 euros brut par mois.
La Belgique se situe dans la moyenne européenne en matière d'accidents du travail.
Menacer, manipuler, rabaisser. Cela se produit dans plus d'entreprises que vous ne le pensez.
Chaque année, c'est la même chose : les étudiants sont en compétition pour décrocher les meilleurs stages au sein des entreprises les plus prestigieuses.
A première vue, la question est très étrange, mais nos deux hémisphères cérébraux ont effectivement un mode de fonctionnement différent.
Nous n’aimons pas nous dire que notre avenir sera fait d’incertitude. Avez-vous envie de savoir à quoi ressemblera votre travail en 2100 ?
Le payroll</a> et le recrutement sont les deux disciplines les plus recherchées dans le secteur des RH en Belgique.