Quel est le job qui me convient?
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La SNCB propose des centaines d'emplois

D’ici les cinq prochaines années, la SNCB recrutera pas moins de 5 000 personnes.
Voulez-vous embarquer à bord du train de demain ? La SNCB pourrait vous aider à trouver le job de vos rêves. Pas moins de 5.000 personnes y seront recrutées au cours des cinq prochaines années. D’ici la fin de cette année, la Société Nationale des Chemins de fer Belges recherche encore de nombreux employés, dont une quarantaine rien que sur l'axe Courtrai-Gand.

La SNCB a lancé une campagne de recrutement pendant la semaine de la mobilité. Il s’agissait du moment idéal pour attirer les gens à y décrocher un emploi. Bart Crols, porte-parole de la SNCB, nous fournit de plus amples explications à ce sujet.

Quel type d’emploi propose la SNCB ?

Bart Crols : "Il existe différents postes à pourvoir. Lors d’un salon où nous étions présents, les gens pouvaient, à l’aide de lunettes de réalité virtuelle, se plonger dans le quotidien d'un accompagnateur de train, d’un conducteur ou d’un technicien. Rien que sur l’axe Courtrai-Gand, HR Rail (le fournisseur de services de ressources humaines de la SNCB) recherche encore une quarantaine d’employés d’ici la fin de cette année. Le recrutement pour les cinq prochaines années s’élèvera à pas moins de 5.000 personnes. Rien qu'en 2019, 300 conducteurs de train, 120 accompagnateurs de train et de nombreux profils techniques et ingénieurs seront recrutés."

Pourquoi devrais-je venir travailler pour une entreprise publique ?

Bart Crols: "Au nom de la SNCB, HR Rail fournit un travail de qualité en matière de recrutement et de sélection, de mobilité interne et de paiement des salaires et des avantages extralégaux. Personne ne se plaint de son statut social ou de ses conditions de travail. La formation permanente et les opportunités de croissance sont innombrables, mais ce n’est pas tout. Travailler à la SNCB est attrayant parce que vous contribuez à quelque chose qui a une grande valeur ajoutée d'un point de vue social. S'il y a bien un thème qui a été une des priorités de l'agenda politique ces dernières années, c’est la mobilité. Cela ne changera pas dans les années à venir car, en cas d’embarras de circulation, les gens font directement appel à la SNCB."

Les profils techniques sont les plus difficiles à pourvoir depuis des années car l'offre et la demande sont limitées. Comment pensez-vous résoudre ce problème ?

"Tout le monde pêche dans le même étang, c'est vrai. Mais vous devez interpréter le terme 'profil technique' au sens large. Il ne s'agit pas uniquement d'ingénieurs ou d'électromécaniciens. Cela inclut par exemple aussi le personnel informatique. Nous supposons que, si la passion pour la technologie est présente chez un candidat, il a toutes ses chances au sein de notre entreprise."

Comment la numérisation, la réalité virtuelle ou la robotisation affecteront-elles à l'avenir ce que vous appelez encore des emplois techniques ?

"Il faut aborder la situation avec une certaine perspective. Des emplois qui n'existaient pas il y a dix ans sont désormais le résultat clair et direct de la numérisation constante. Il ne faut toutefois pas penser que tous les emplois seront désormais numériques'. Quoiqu’il advienne, il y aura toujours une demande et un besoin de personnes techniquement qualifiées qui sont actives sur le terrain et mettent leurs compétences au service de l'entreprise. Si les gens devaient se souvenir d’une chose, la voici : quiconque faisant preuve de suffisamment de flexibilité parviendra à faire ses preuves sur le marché de l’emploi, y compris chez nous."

(eh/ll)

11 décembre 2018
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