Chercher et trouver du travail pendant la crise du coronavirus : 9 conseils
Ce n'est un secret pour personne, le coronavirus a un impact non négligeable sur le marché de l’emploi.
« L'école n'était pas vraiment mon truc », dit Giovanni en évoquant son parcours professionnel. « C'est pourquoi j'ai commencé comme ouvrier d'usine à l'âge de dix-huit ans chez Caterpillar à Gosselies. Mon père et d'autres membres de ma famille y ont également travaillé. »
« J'y suis resté 12 ans. Jusqu'en 2018, l’année où Caterpillar a fermé sa succursale belge. Un an plus tard, mon nouvel employeur – une entreprise de transport – a connu des difficultés et j'ai à nouveau perdu mon emploi. J'ai alors décidé de changer de cap et de poursuivre mon rêve. »
« Les voitures sont ma grande passion », explique Giovanni, les yeux brillants. « Lorsque j'étais chez Caterpillar, je travaillais déjà comme vendeur automobile indépendant après mes heures de travail. J'ai acheté en ligne des voitures d'occasion qui me plaisaient, je les ai conduites moi-même pendant un certain temps, puis je les ai revendues. Je n'ai pas fait beaucoup de profits. C’était principalement par amour pour des voitures. »
« Je n'ai pas hésité une seconde quand un ami m'a recommandé la formation de vendeur automobile de Cefora. Mais le premier jour d'information, il s'est avéré qu'il y avait pas moins de 50 candidats pour à peine 12 places. Quelques participants ont immédiatement abandonné, mais j'étais déterminé et je suis revenu le lendemain pour les entretiens avec Le Forem, le partenaire de formation du Cefora. »
« Au début, on m'a dit que je ne serais pas retenu pour la formation parce que j'avais déjà une certaine connaissance du monde de l'automobile. J'ai expliqué que l'on peut toujours apprendre quelque chose et que la formation était très importante pour moi en tant que tremplin vers un emploi. J'avais déjà postulé plusieurs fois pour un emploi dans des garages, mais jamais je n’avais été retenu parce que je n'avais ni diplôme ni expérience. Finalement, j'ai quand même pu participer à la formation. »
« Et je suis content, parce que c'était très intéressant. Nous avons appris les techniques de vente d’un professeur très inspirant avec beaucoup d'expérience. En outre, nous avons eu des cours sur les « soft skills » : rédiger un CV, se préparer à un entretien d'embauche … Pendant la formation, nous avons également eu un certain nombre de jours de congé pour chercher un stage. Et j'en ai trouvé un rapidement. »
« J'étais censé faire mon stage en janvier, pendant la période animée du Salon de l'auto. Jusqu'à ce que, soudain, je reçoive un appel du professeur des techniques de vente. Un autre garage cherchait quelqu'un pour commencer tout de suite. Pas comme stagiaire, mais comme employé à temps plein. Et il fallait aller vite, parce que le Salon de l'auto venait de commencer cette semaine-là. Le professeur pensait que j'étais prêt et il m’a présenté. »
« J'ai eu mon entretien d'embauche le même jour. On m'a donné une demi-heure pour mémoriser toutes les informations sur un modèle spécifique et le recommander ensuite au gérant du garage. Ce test s'est déroulé sans problème. Mais pour pouvoir travailler, je devais encore obtenir mon certificat de vendeur automobile. La pression était donc énorme – il y avait un contrat en jeu – mais j'ai réussi les tests et j’ai immédiatement commencé à travailler au Salon de l'auto pour mon nouvel employeur. »
Giovanni est allé travailler dans un garage plus grand quelques mois plus tard. Il vend à présent des voitures Peugeot depuis plus d'un an. « Je vais travailler avec beaucoup plus de plaisir qu'auparavant », dit-il. « Même si je travaille plus dur maintenant qu'à l'usine. Et je dois être performant tous les jours, car l'entreprise est très compétitive. Si vous ne vendez pas assez, il y aura vite quelqu'un pour vous remplacer. »
« J'avais incontestablement des talents de vendeur avant de commencer ma reconversion. Mais la formation m’a donné les clés pour vraiment ouvrir la porte du monde de l'automobile. J'ai appris à connaître beaucoup de gens – les relations sont très importantes – et maintenant, j'ai un certificat et de l'expérience. Qui sait, je donnerai peut-être moi-même la formation de vendeur automobile plus tard ? Mes professeurs m'ont donné envie de partager ma passion. »
Vous êtes à la recherche d’un emploi et aimeriez travailler en tant qu’employé(e) ?
Vous êtes paré(e) pour un nouveau départ et désirez suivre une formation comprenant un stage pratique et du coaching professionnel ?
Alors nous vous souhaitons la bienvenue chez Cefora ! Ensemble, nous travaillons à votre nouveau départ.
(wv)
28 août 2020« L'école n'était pas vraiment mon truc », dit Giovanni en évoquant son parcours professionnel. « C'est pourquoi j'ai commencé comme ouvrier d'usine à l'âge de dix-huit ans chez Caterpillar à Gosselies. Mon père et d'autres membres de ma famille y ont également travaillé. »
« J'y suis resté 12 ans. Jusqu'en 2018, l’année où Caterpillar a fermé sa succursale belge. Un an plus tard, mon nouvel employeur – une entreprise de transport – a connu des difficultés et j'ai à nouveau perdu mon emploi. J'ai alors décidé de changer de cap et de poursuivre mon rêve. »
« Les voitures sont ma grande passion », explique Giovanni, les yeux brillants. « Lorsque j'étais chez Caterpillar, je travaillais déjà comme vendeur automobile indépendant après mes heures de travail. J'ai acheté en ligne des voitures d'occasion qui me plaisaient, je les ai conduites moi-même pendant un certain temps, puis je les ai revendues. Je n'ai pas fait beaucoup de profits. C’était principalement par amour pour des voitures. »
« Je n'ai pas hésité une seconde quand un ami m'a recommandé la formation de vendeur automobile de Cefora. Mais le premier jour d'information, il s'est avéré qu'il y avait pas moins de 50 candidats pour à peine 12 places. Quelques participants ont immédiatement abandonné, mais j'étais déterminé et je suis revenu le lendemain pour les entretiens avec Le Forem, le partenaire de formation du Cefora. »
« Au début, on m'a dit que je ne serais pas retenu pour la formation parce que j'avais déjà une certaine connaissance du monde de l'automobile. J'ai expliqué que l'on peut toujours apprendre quelque chose et que la formation était très importante pour moi en tant que tremplin vers un emploi. J'avais déjà postulé plusieurs fois pour un emploi dans des garages, mais jamais je n’avais été retenu parce que je n'avais ni diplôme ni expérience. Finalement, j'ai quand même pu participer à la formation. »
« Et je suis content, parce que c'était très intéressant. Nous avons appris les techniques de vente d’un professeur très inspirant avec beaucoup d'expérience. En outre, nous avons eu des cours sur les « soft skills » : rédiger un CV, se préparer à un entretien d'embauche … Pendant la formation, nous avons également eu un certain nombre de jours de congé pour chercher un stage. Et j'en ai trouvé un rapidement. »
« J'étais censé faire mon stage en janvier, pendant la période animée du Salon de l'auto. Jusqu'à ce que, soudain, je reçoive un appel du professeur des techniques de vente. Un autre garage cherchait quelqu'un pour commencer tout de suite. Pas comme stagiaire, mais comme employé à temps plein. Et il fallait aller vite, parce que le Salon de l'auto venait de commencer cette semaine-là. Le professeur pensait que j'étais prêt et il m’a présenté. »
« J'ai eu mon entretien d'embauche le même jour. On m'a donné une demi-heure pour mémoriser toutes les informations sur un modèle spécifique et le recommander ensuite au gérant du garage. Ce test s'est déroulé sans problème. Mais pour pouvoir travailler, je devais encore obtenir mon certificat de vendeur automobile. La pression était donc énorme – il y avait un contrat en jeu – mais j'ai réussi les tests et j’ai immédiatement commencé à travailler au Salon de l'auto pour mon nouvel employeur. »
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« J'avais incontestablement des talents de vendeur avant de commencer ma reconversion. Mais la formation m’a donné les clés pour vraiment ouvrir la porte du monde de l'automobile. J'ai appris à connaître beaucoup de gens – les relations sont très importantes – et maintenant, j'ai un certificat et de l'expérience. Qui sait, je donnerai peut-être moi-même la formation de vendeur automobile plus tard ? Mes professeurs m'ont donné envie de partager ma passion. »
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(wv)
28 août 2020Plus de 440.000 utilisateurs recoivent nos astuces
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