Recruter à l'ère du Covid-19 : 5 tendances
Le coronavirus apporte son lot de changements, et ce notamment dans le domaine du recrutement.
Le sauna L'Equatorial d'Évreux est un établissement libertin de Haute-Normandie. Il souhaite pourvoir trois postes et décide donc de passer une annonce via Pôle Emploi. Il précise qu'il s'agit d'un «établissement libertin» et se borne à définir le candidat recherché comme «résistant aux variations importantes de températures, discret, ouvert d'esprit et à l'écoute».
Pôle Emploi refuse son annonce, invoquant la nature discriminatoire de l’offre : selon sa version des faits, on demanderait au candidat d'être «ouvert aux pratiques libertines», précision démentie par l’établissement. Un des gérants prétend, par souci de transparence, vouloir prévenir les candidats qu’ils mettent les pieds dans un lieu de rencontre, afin de ne pas les choquer à la vue de préservatifs usagés. Aux dires du gérant, « ils ne sont pas là pour participer ».
Le sauna n'en démord pas : c'est le terme «établissement libertin» qui heurte l’administration, celle-ci stigmatisant toute la profession sur le simple fait que l’activité ne lui plaise pas … L’établissement, ouverte aux gays, bi et couples mixtes, s’insurge contre une telle mentalité, se dit «très vexé» d'être accusé de discrimination et envisage une procédure judiciaire… Pas juste pour l'Équatorial mais au profit de toute la profession, argumente-t-on.
Une nouvelle proposition d'annonce plus précise pourrait bien être la plus sage solution et permettre aux candidats de postuler en connaissance de cause. Et puis, mieux vaut sans doute faire bonne presse que faire la guerre. L'Équatorial n’a, grâce au tapage médiatique, pas vraiment eu à se plaindre visiblement du nombre de CV reçus pour les postes à pourvoir..
Si Pôle emploi a refusé l'offre libertine, c’est parce qu'elle l’aurait jugée «discriminatoire». Le Code du travail français interdit en effet aussi que les «convictions» et «l'orientation sexuelle» deviennent des critères à l’embauche. En revanche, Pôle emploi assure ne pas avoir de préjugé quant à la nature du poste proposé, ajoutant pour nous convaincre qu’ils acceptent toutes les offres, comme celle placée demandant une stripteaseuse qui avait justement fait l’actualité. Pourquoi ? Ce n’est pas que l’organisme public ait rejeté l’annonce qui a fait couler de l’encre, mais qu’il l’ait adressée personnellement à une femme de cinquante ans, éducatrice et demandeur d’emploi depuis un an, laquelle avait défini des critères de recherches si vagues que ladite annonce, théoriquement parlant, ne pouvait être exclue des fonctions recherchées. L’éducatrice n’ayant pas sélectionné les activités pour lesquelles elle voulait recevoir des offres, le système automatique de Pôle Emploi, jugeant l’offre suffisamment sérieuse, lui a donc transmis.
Alors quelle est la morale de l’histoire ? Elargir vos critères de sélection pour ne pas passer à côté du job de rêve que vous ne connaissez pas encore mais que vous pourriez occuper en fonction de vos compétences, ou mieux les définir pour ne pas avoir la surprise de l’éducatrice française ? That’s the question…
Sources : lefigaro.fr
21 août 2012Le sauna L'Equatorial d'Évreux est un établissement libertin de Haute-Normandie. Il souhaite pourvoir trois postes et décide donc de passer une annonce via Pôle Emploi. Il précise qu'il s'agit d'un «établissement libertin» et se borne à définir le candidat recherché comme «résistant aux variations importantes de températures, discret, ouvert d'esprit et à l'écoute».
Pôle Emploi refuse son annonce, invoquant la nature discriminatoire de l’offre : selon sa version des faits, on demanderait au candidat d'être «ouvert aux pratiques libertines», précision démentie par l’établissement. Un des gérants prétend, par souci de transparence, vouloir prévenir les candidats qu’ils mettent les pieds dans un lieu de rencontre, afin de ne pas les choquer à la vue de préservatifs usagés. Aux dires du gérant, « ils ne sont pas là pour participer ».
Le sauna n'en démord pas : c'est le terme «établissement libertin» qui heurte l’administration, celle-ci stigmatisant toute la profession sur le simple fait que l’activité ne lui plaise pas … L’établissement, ouverte aux gays, bi et couples mixtes, s’insurge contre une telle mentalité, se dit «très vexé» d'être accusé de discrimination et envisage une procédure judiciaire… Pas juste pour l'Équatorial mais au profit de toute la profession, argumente-t-on.
Une nouvelle proposition d'annonce plus précise pourrait bien être la plus sage solution et permettre aux candidats de postuler en connaissance de cause. Et puis, mieux vaut sans doute faire bonne presse que faire la guerre. L'Équatorial n’a, grâce au tapage médiatique, pas vraiment eu à se plaindre visiblement du nombre de CV reçus pour les postes à pourvoir..
Si Pôle emploi a refusé l'offre libertine, c’est parce qu'elle l’aurait jugée «discriminatoire». Le Code du travail français interdit en effet aussi que les «convictions» et «l'orientation sexuelle» deviennent des critères à l’embauche. En revanche, Pôle emploi assure ne pas avoir de préjugé quant à la nature du poste proposé, ajoutant pour nous convaincre qu’ils acceptent toutes les offres, comme celle placée demandant une stripteaseuse qui avait justement fait l’actualité. Pourquoi ? Ce n’est pas que l’organisme public ait rejeté l’annonce qui a fait couler de l’encre, mais qu’il l’ait adressée personnellement à une femme de cinquante ans, éducatrice et demandeur d’emploi depuis un an, laquelle avait défini des critères de recherches si vagues que ladite annonce, théoriquement parlant, ne pouvait être exclue des fonctions recherchées. L’éducatrice n’ayant pas sélectionné les activités pour lesquelles elle voulait recevoir des offres, le système automatique de Pôle Emploi, jugeant l’offre suffisamment sérieuse, lui a donc transmis.
Alors quelle est la morale de l’histoire ? Elargir vos critères de sélection pour ne pas passer à côté du job de rêve que vous ne connaissez pas encore mais que vous pourriez occuper en fonction de vos compétences, ou mieux les définir pour ne pas avoir la surprise de l’éducatrice française ? That’s the question…
Sources : lefigaro.fr
21 août 2012Plus de 440.000 utilisateurs recoivent nos astuces
Le coronavirus apporte son lot de changements, et ce notamment dans le domaine du recrutement.
Coronavirus ou pas, les travailleurs belges attachent beaucoup d’importance à leur salaire, leurs avantages extralégaux et leurs jours de congé.
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