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Depuis le 1er septembre, les employeurs ont la responsabilité de tout faire pour éviter les causes de stress et de burn-outs chez leurs collaborateurs. Auparavant, la loi sur le bien-être au travail ne concernait que de prévention de la violence, du harcèlement et des comportements sexuels indésirables. A présent, les entreprises doivent établir une politique de prévention globale tenant compte de tous les risques psychosociaux comme le stress et le burn-out.
En 2011, plusieurs cas notables de harcèlement se produisirent et inspirèrent un aménagement de la législation : il s’agit dès lors de contrer fermement de tels comportements se le lieu de travail. Le 1er septembre, la nouvelle loi sur le burn-out est entrée en vigueur. Celle-ci va plus loin que la précédente, dans le sens où il est désormais question de risques psychosociaux au travail.
Il s’agit de lutter contre les impacts nuisibles de l’organisation, du contenu de la fonction, des conditions de travail et des relations interpersonnelles au bureau, éléments sur lesquels l’employeur est à même d’agir et pouvant objectivement constituer un danger.
L’idée est de clarifier le fait que différents comportements semblant à priori ne pas être illégitimes pourraient, une fois combinés, revêtir un caractère abusif susceptible d’être qualifié de harcèlement. La nouvelle législation met l’accent sur la prévention de tous les risques psychosociaux qui englobent davantage que la simple violence, les harcèlements et les comportements sexuels indésirables.
L’employeur va désormais être tenu de prendre des mesures de prévention adéquates pour éviter tout danger ou pour limiter les dommages qui découleraient d’une situation de travail particulière. Concrètement, il peut s’agir par exemple de la charge de travail, de l’autonomie du travailleur, du type de management, de la charge psychique de certaines tâches à effectuer, etc.
Jusqu’à présent un travailleur pouvait uniquement introduire une "plainte motivée" contre son employeur. Il arrivait cependant souvent qu’aucune erreur manifeste ne soit commise, ni par l’employeur, ni par un collègue. Parfois c’est l’organisation de travail qui ne convient pas à quelqu’un ou l’entreprise qui attend trop de son collaborateur en regard de ses capacités.
Depuis le 1er septembre, des modifications ont été établies : les travailleurs peuvent demander à leur entreprise d’intervenir plus rapidement. Les employeurs devront agir plus préventivement afin de garantir le bien-être général au travail : sensibiliser leur personnel et effectuer des analyses de risque, par exemple. Cela veut dire que, si un employeur vient à changer l’organisation du travail, cette modification devra désormais être précédée d’une analyse en profondeur.
L’employeur a la responsabilité finale de la politique de prévention de son entreprise. Ne pas procéder à une analyse de risque peut être sanctionné d’une amende pénale allant de 300 à 3.000 euros, et d’une amende administrative pouvant aller de 150 à 1.500 euros.
Les individus qui se rendent coupables de violence, de harcèlement ou de comportement sexuel indésirable peuvent être sanctionnés d'une peine d’emprisonnement de 6 mois à 3 ans, et/ou d'une amende pénale de 3.600 à 36.000 euros, ou encore d’une amende administrative de 1.800 à 18.000 euros.
Le nombre d’heures de travail est également nuisible pour la santé. Les travailleurs peuvent travailler maximum 6 heures d'affilée. Ensuite, ils ont droit à une pause. La durée de celle-ci est fixée par CCT ou AR. Les pauses qui étaient déjà prévues au règlement de travail peuvent rester d’application. Faute de CCT ou d’AR, la pause sera de 15 minutes minimum et prendra cours au plus tard après 6 heures de prestations.
Les jeunes travailleurs ne peuvent quant à eux pas effectuer de travail ininterrompu pendant plus de quatre heures et demie. Lorsque le temps de travail dépasse une journée complète, une pause d’1/2 heure est octroyée. Et si le temps dépasse les 6 heures de travail ? Le repos sera alors d’une heure au total, dont une ½ heure devra être prise en une fois.
Dans son analyse de risques, l’employeur tiendra compte des exigences de base auxquelles son lieu de travail doit satisfaire. Grande nouveauté : l’employeur fixe au règlement de travail les heures et les modalités d’accès aux équipements sociaux, après avis au Comité pour la Prévention et la Protection au travail.
Quelques exemples de choses dont l’employeur doit se préoccuper :
Avec nos remerciements à SD Worx
(EH) (SC)
1 octobre 2014Portez-vous les bonnes couleurs, le tout avec style ? Vous avez déjà parcouru la moitié du chemin pour faire une bonne première impression.
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