8 façons d'apprendre rapidement une langue étrangère
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De prime abord, il s’agit de manquements évidents auxquels chaque responsable remédierait bien volontiers, mais les mauvais chefs sont à peine conscients de leurs médiocres prestations. Pire encore ; les tout mauvais s’attribuent même de bons scores.
Jack Zenger et Joseph Folkman, managers de Zenger/Folkman, une société de consultance, ont mis à nu les points faibles des leaders. Leurs découvertes ont été publiées dans la Harvard Business Review. Pour leur enquête, ils ont réuni deux études. Ils ont sondé 11.000 leaders et ont cherché des points communs entre les 10% de mauvais managers. Dans la seconde étude, ils ont enquêté auprès de plus de 450 leaders et ont défini les traits de caractère de 31 leaders qui ont été licenciés en 3 ans.
C’est ainsi que les enquêteurs ont trouvé les 10 plus grands manquements des responsables. Chaque mauvais manager a au moins un de ces traits de caractère, souvent, ils en ont plusieurs en même temps.
1. Manque d’énergie et d’enthousiasme
Ils voient les nouvelles initiatives comme une charge et ont peur d’être dépassés. Ou très joliment dit en anglais : ‘they suck all the energy out of any room’ (Ils bouffent toute l’énergie ambiante).
2. Pas de vision claire
Ils croient que leur mission se limite à exécuter des tâches, ils manquent de vision claire ou de direction.
3. Ils font des erreurs d’estimation
Leurs décisions font froncer les sourcils. Leurs collègues ou leurs subordonnées se posent des questions, doutant que les décisions prises soient les meilleures pour l’entreprise.
4. Ils se contentent de prestations moyennes à leur égard
Ils considèrent les objectifs exagérément difficiles à atteindre. Et lorsqu’ils les réalisent tout de même, ils font passer leur prestation pour une performance exceptionnelle. Leur slogan : ne pas trop promettre et délivrer plus.
5. Ils ne travaillent pas bien en équipe
Ils agissent seuls, évitent leurs collègues et voient les autres chefs comme des concurrents.
6. Ils ne s’en tiennent pas aux règles émises par les autres
Les travailleurs leur reprochent un manque d’intégrité. Les standards et les attentes qu’ils infligent aux autres, ils ne les respectent pas eux-mêmes.
7. Ils détestent les nouvelles idées
Ils rejettent les suggestions de leurs collègues, patrons et subordonnés. Résultat : les bonnes idées ne sont pas appliquées. Pas étonnant que cela coûte à l’entreprise.
8. Ils n’apprennent rien de leurs erreurs
Les échecs ne sont pas vus comme des opportunités pour s’améliorer. Au contraire, les mauvais chefs dissimulent leurs erreurs.
9. Ils ne sont pas doués dans les relations sociales
Sans commentaire.
10. Ils ne sont pas en état de piloter les autres
Ils sont focalisés sur eux-mêmes et ne s’intéressent donc pas au développement des autres. Avec toutes les conséquences que cela suppose.
(mr/sc)
De prime abord, il s’agit de manquements évidents auxquels chaque responsable remédierait bien volontiers, mais les mauvais chefs sont à peine conscients de leurs médiocres prestations. Pire encore ; les tout mauvais s’attribuent même de bons scores.
Jack Zenger et Joseph Folkman, managers de Zenger/Folkman, une société de consultance, ont mis à nu les points faibles des leaders. Leurs découvertes ont été publiées dans la Harvard Business Review. Pour leur enquête, ils ont réuni deux études. Ils ont sondé 11.000 leaders et ont cherché des points communs entre les 10% de mauvais managers. Dans la seconde étude, ils ont enquêté auprès de plus de 450 leaders et ont défini les traits de caractère de 31 leaders qui ont été licenciés en 3 ans.
C’est ainsi que les enquêteurs ont trouvé les 10 plus grands manquements des responsables. Chaque mauvais manager a au moins un de ces traits de caractère, souvent, ils en ont plusieurs en même temps.
1. Manque d’énergie et d’enthousiasme
Ils voient les nouvelles initiatives comme une charge et ont peur d’être dépassés. Ou très joliment dit en anglais : ‘they suck all the energy out of any room’ (Ils bouffent toute l’énergie ambiante).
2. Pas de vision claire
Ils croient que leur mission se limite à exécuter des tâches, ils manquent de vision claire ou de direction.
3. Ils font des erreurs d’estimation
Leurs décisions font froncer les sourcils. Leurs collègues ou leurs subordonnées se posent des questions, doutant que les décisions prises soient les meilleures pour l’entreprise.
4. Ils se contentent de prestations moyennes à leur égard
Ils considèrent les objectifs exagérément difficiles à atteindre. Et lorsqu’ils les réalisent tout de même, ils font passer leur prestation pour une performance exceptionnelle. Leur slogan : ne pas trop promettre et délivrer plus.
5. Ils ne travaillent pas bien en équipe
Ils agissent seuls, évitent leurs collègues et voient les autres chefs comme des concurrents.
6. Ils ne s’en tiennent pas aux règles émises par les autres
Les travailleurs leur reprochent un manque d’intégrité. Les standards et les attentes qu’ils infligent aux autres, ils ne les respectent pas eux-mêmes.
7. Ils détestent les nouvelles idées
Ils rejettent les suggestions de leurs collègues, patrons et subordonnés. Résultat : les bonnes idées ne sont pas appliquées. Pas étonnant que cela coûte à l’entreprise.
8. Ils n’apprennent rien de leurs erreurs
Les échecs ne sont pas vus comme des opportunités pour s’améliorer. Au contraire, les mauvais chefs dissimulent leurs erreurs.
9. Ils ne sont pas doués dans les relations sociales
Sans commentaire.
10. Ils ne sont pas en état de piloter les autres
Ils sont focalisés sur eux-mêmes et ne s’intéressent donc pas au développement des autres. Avec toutes les conséquences que cela suppose.
(mr/sc)
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