5 conseils pour être productif dans les files
L'automobiliste belge passe en moyenne 21 heures par an dans les embouteillages. Cela correspond à près de trois jours de travail.
Les employés belges sont exigeants vis-à-vis de leurs patrons. En raison d'une nouvelle vision en matière de leadership, 35% d'entre eux sont désormais insatisfaits des compétences managériales de leur patron. Voilà ce qui ressort d'une étude menée par Securex auprès de 1.500 personnes, parmi lesquelles 302 cadres et 1.198 employés.
"L'époque où le patron donnait des instructions sur son lieu de travail est définitivement révolue", conclut Hermina Van Coillie, experte en recherche en ressources humaines chez Securex. De nos jours, la participation, les valeurs, les normes et le contexte gagnent en importance. Les ordres ne viennent plus d’en haut et ce n’est plus une minorité de personnes qui détient le pouvoir.
Bien que les employés belges soient d'avis que leurs patrons peuvent mieux faire, à peine 13% des dirigeants affirment ne pas toujours s'acquitter correctement de leurs tâches. La plus grande différence d'opinion est observée lorsque la thématique de l’inspiration des employés par l’employeur est analysée. En effet, 82% des cadres pensent être capable d'encourager leurs employés avec leur vision futuriste. En revanche, à peine 52% des membres du personnel sont de cet avis.
De plus, les employés ont le sentiment que leur chef a du mal à reconnaître ses erreurs. 79% des dirigeants déclarent pouvoir reconnaître eux-mêmes leurs erreurs et leurs faiblesses, mais les employés ne vont pas dans leur sens... Selon eux, à peine 52% des patrons admettent qu'ils ont commis une erreur.
"Si un responsable lui-même n'ose pas admettre ses erreurs, il contribue à créer un environnement dans lequel les erreurs ne sont pas autorisées. Et ce alors qu’elles sont des opportunités d’apprentissage et permettent de grandir d’un point de vue humain. Cette évolution vers plus d’honnêteté, de vulnérabilité et d’authenticité est fondamentale", affirme Hermina Van Coillie de Securex.
De meilleurs leaders contribuent à de meilleurs résultats d’entreprise. Et non, ce n’est pas parce qu'ils sont plus stricts, exploitent leur personnel ou font planer en permanence une menace de licenciement qu'ils y parviendront. Le contraire semble par contre vérifié : l’empathie et l’authenticité garantissent moins d’absences et de meilleures performances. La recherche a montré que les employés qui avaient évalué leurs patrons de manière négative étaient deux fois plus souvent absents depuis longtemps que ceux qui avaient donné de bons scores à leurs dirigeants. De plus, ils courent deux fois plus de risques d'être victime d’un burn out, de changer d’emploi ou d’avoir le sentiment de devoir à tout prix récupérer après une journée de travail.
"Une gestion inadéquate peut causer beaucoup de dégâts à court et à long terme. Auparavant, un responsable devait donner des instructions et exercer un contrôle mais, de nos jours, les employés ont principalement besoin de soutien et de reconnaissance. Le contexte externe a également complètement changé. Nous constatons aujourd’hui un degré croissant de spécialisation et d’expertise des employés, une plus grande diversité sur le lieu de travail, un besoin d’autonomie ainsi que plus de liberté en matière de lieu et d’horaires de travail", affirme Hermina Van Coillie de Securex.
Il n’est bien sûr pas facile pour un manager de trouver l’équilibre entre le leadership et une certaine forme de sensibilité. Pour ce faire, il est important d'examiner la personnalité de la société, son ADN, sa mission et sa vision. Ces éléments se retrouvent généralement dans la culture de l’entreprise. En trouvant un style de leadership correspondant à vos attentes, vous deviendrez un joueur d'équipe plus productif, flexible et compétitif. L’interaction et la coopération ne sont plus mises de côté par la génération actuelle d’employés. Elles sont devenues des priorités !
(eh/ll)
29 mars 2019Les employés belges sont exigeants vis-à-vis de leurs patrons. En raison d'une nouvelle vision en matière de leadership, 35% d'entre eux sont désormais insatisfaits des compétences managériales de leur patron. Voilà ce qui ressort d'une étude menée par Securex auprès de 1.500 personnes, parmi lesquelles 302 cadres et 1.198 employés.
"L'époque où le patron donnait des instructions sur son lieu de travail est définitivement révolue", conclut Hermina Van Coillie, experte en recherche en ressources humaines chez Securex. De nos jours, la participation, les valeurs, les normes et le contexte gagnent en importance. Les ordres ne viennent plus d’en haut et ce n’est plus une minorité de personnes qui détient le pouvoir.
Bien que les employés belges soient d'avis que leurs patrons peuvent mieux faire, à peine 13% des dirigeants affirment ne pas toujours s'acquitter correctement de leurs tâches. La plus grande différence d'opinion est observée lorsque la thématique de l’inspiration des employés par l’employeur est analysée. En effet, 82% des cadres pensent être capable d'encourager leurs employés avec leur vision futuriste. En revanche, à peine 52% des membres du personnel sont de cet avis.
De plus, les employés ont le sentiment que leur chef a du mal à reconnaître ses erreurs. 79% des dirigeants déclarent pouvoir reconnaître eux-mêmes leurs erreurs et leurs faiblesses, mais les employés ne vont pas dans leur sens... Selon eux, à peine 52% des patrons admettent qu'ils ont commis une erreur.
"Si un responsable lui-même n'ose pas admettre ses erreurs, il contribue à créer un environnement dans lequel les erreurs ne sont pas autorisées. Et ce alors qu’elles sont des opportunités d’apprentissage et permettent de grandir d’un point de vue humain. Cette évolution vers plus d’honnêteté, de vulnérabilité et d’authenticité est fondamentale", affirme Hermina Van Coillie de Securex.
De meilleurs leaders contribuent à de meilleurs résultats d’entreprise. Et non, ce n’est pas parce qu'ils sont plus stricts, exploitent leur personnel ou font planer en permanence une menace de licenciement qu'ils y parviendront. Le contraire semble par contre vérifié : l’empathie et l’authenticité garantissent moins d’absences et de meilleures performances. La recherche a montré que les employés qui avaient évalué leurs patrons de manière négative étaient deux fois plus souvent absents depuis longtemps que ceux qui avaient donné de bons scores à leurs dirigeants. De plus, ils courent deux fois plus de risques d'être victime d’un burn out, de changer d’emploi ou d’avoir le sentiment de devoir à tout prix récupérer après une journée de travail.
"Une gestion inadéquate peut causer beaucoup de dégâts à court et à long terme. Auparavant, un responsable devait donner des instructions et exercer un contrôle mais, de nos jours, les employés ont principalement besoin de soutien et de reconnaissance. Le contexte externe a également complètement changé. Nous constatons aujourd’hui un degré croissant de spécialisation et d’expertise des employés, une plus grande diversité sur le lieu de travail, un besoin d’autonomie ainsi que plus de liberté en matière de lieu et d’horaires de travail", affirme Hermina Van Coillie de Securex.
Il n’est bien sûr pas facile pour un manager de trouver l’équilibre entre le leadership et une certaine forme de sensibilité. Pour ce faire, il est important d'examiner la personnalité de la société, son ADN, sa mission et sa vision. Ces éléments se retrouvent généralement dans la culture de l’entreprise. En trouvant un style de leadership correspondant à vos attentes, vous deviendrez un joueur d'équipe plus productif, flexible et compétitif. L’interaction et la coopération ne sont plus mises de côté par la génération actuelle d’employés. Elles sont devenues des priorités !
(eh/ll)
29 mars 2019Plus de 440.000 utilisateurs recoivent nos astuces
L'automobiliste belge passe en moyenne 21 heures par an dans les embouteillages. Cela correspond à près de trois jours de travail.
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Le Baromètre des salaires Jobat offre un bon aperçu des salaires moyens et avantages proposés dans le secteur des télécoms, des TIC et de l'Internet.
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