11 astuces pour composer avec un patron incompétent
Sympathiques, mauvais, drôles, malhonnêtes, telles sont les qualités que peuvent revêtir les patrons.
Dans les entreprises de ce type, lorsque les collaborateurs plongent dans leur méditation, c’est moins pour raison de spiritualité que pour se déconnecter du net. Afin de mieux se reconnecter… aux autres.
Dernier truc à la mode ? Non, dans la Silicon Valley, où la coupe de l’info déborde, il est désormais admis de faire une pause pour méditer. Ceci dit, au pays des geeks, impossible d’arrêter la machine à inventer !
Le ‘mindfulness’ (méditation en pleine conscience) prend son envol en entreprise dans la Silicon Valley, le royaume du toujours plus d’info et du toujours plus vite.
Tout part du constat que les collaborateurs de Google n’arrivent plus à se concentrer. En cause, le trop plein de choses à faire. L’employeur qui paie cher le coût du stress de ses salariés - 60 millions de dollars par an - fait appel en 2007 à une psychologue pour mettre au point un plan de croissance personnelle. Interdit bien sûr de parler de spiritualité. Le combat est intense, mais elle parvient à imposer, chiffres et dommages à l’appui (tension, anxiété, dépression, insomnie…), que son programme soit financé.
Aujourd’hui, le Search Inside Yourself (cherchez en vous-même) est ancré dans la culture. Son objectif ? Rien de moins que « éclairer les esprits, ouvrir les cœurs, créer la paix mondiale ». A la Google.
Les autres grands noms qui y fleurissent (Facebook, Twitter, et autres) ont emboîté le pas à Google. Mais ce n’est pas tout, du besoin à présent conscientisé de lever la tête de nos écrans lumineux ont émergé de nouvelles start-ups… technologiques évidemment.
Le cofondateur de Twitter lance Medium, un antidote aux tweets qui propose des articles longs à lire qui nous contraignent donc à prendre notre temps et offre à ses employés des séances de méditation guidée.
En 2010, un fan de méditation organise à partir de son mobil home au fin fond du Nouveau Mexique des conférences Wisdom 2.0 (Sagesse 2.0). La première conférence réunit à peine 325 originaux, la troisième attire 2000 visiteurs autour du thème ‘vivre notre ère numérique avec sagesse, conscience et compassion’. La version européenne de Sagesse 2.0 aura lieu à Dublin (http://wisdom2europe.com/).
Spire est un outil technologique inspiré de cette nouvelle conscience. Le contrôle de la respiration nous permettant de faire face à la dispersion, à la fatigue, au manque de concentration, l’utilisateur a désormais un petit appareil à la ceinture relié à son portable via Wifi, qui le prévient qu’il est stressé depuis 45 minutes. Une alarme l’invite à respirer lentement jusqu’à ce qu’il récupère son calme (Spire lui envoie alors un autre signal).
Autre phénomène récent à connaître du succès dans la vallée : les camps de désintoxication pour hyperconnectés. Dans ces retraites, le participant a l’obligation de débrancher. Et s’il se déconnecte d’internet c’est pour se reconnecter aux autres et à soi-même.
La Stanford University n’est pas en reste, puisqu’elle a créé son Centre pour la Compassion et l’Altruisme et son Laboratoire de Technologie calmante.
Pas difficile d’imaginer que les geeks de la Vallée auront tôt fait de rebondir sur ce malaise pour débiter de nouvelles idées de start-up, réussissant le curieux mariage de la technologie et du calme. Mais l’empire du high-tech remettra-t-il pour autant son business si florissant en question ?
(SC) - Sources : nouvelobs.com
31 mars 2014Sympathiques, mauvais, drôles, malhonnêtes, telles sont les qualités que peuvent revêtir les patrons.
La moitié des personnes qui décident de changer d’emploi le font dans les deux ans suivant leur embauche.
De plus en plus de travailleurs échangent leur droit à une voiture de société contre un budget de mobilité durable.
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Imaginez que les rêves deviennent réalité et que vous puissiez prendre autant de congés que vous le souhaitez au travail.
Coronavirus ou pas, les travailleurs belges attachent beaucoup d’importance à leur salaire, leurs avantages extralégaux et leurs jours de congé.
Pouvez-vous tout de même aller travailler malgré un certificat médical ? Y a-t-il des risques associés à une telle démarche ?
Le fait de passer une bonne ou une mauvaise journée de travail ne dépend pas de vos collègues ou de vos clients. Vous en êtes le/la principal(e) responsable.
Peut-être avez-vous déjà vécu des situations similaires : vous ne vous sentez pas bien, vous êtes stressé et vous vous dirigez vers un en-cas sucré...