Quel est le salaire d'une éducatrice à l’aide intégrale à la jeunesse ?
Nous avons demandé à Rosa (40 ans) de Gand en quoi consistait son métier d’éducatrice à l’aide intégrale à la jeunesse et combien elle gagnait…
Vous désirez dire à votre collègue qu’il ne respecte jamais ses engagements. Ou à votre belle-mère qui débarque tous les jours que cela ne vous plait pas. On a vite tendance à adopter l’une ou l’autre des tactiques ci-dessous. Vous vous y reconnaîtrez peut-être…
Tactique 1. Plein de colère, on expose à l’autre ce qu’il a mal fait. Qu’on en finisse par se disputer, peu importe. La coupe est pleine !
Tactique 2. A un moment favorable, si tout va bien, on essaie de lui faire passer le message le plus gentiment possible, avec humour et respect.
Quelle est la meilleure approche ? « Aucune des deux ne garantit un résultat », explique Sandra Planjer. « Une sérieuse insulte (tactique 1) peut soulager, mais vraisemblablement cela ne fera qu’escalader le conflit. L’humour et la gentillesse (tactique 2) sont des solutions pour éviter que la situation ne dégénère mais le tout est de savoir si le message sera bien compris et si vous atteindrez votre objectif. »
Même le juste milieu n’est pas la solution. « Pour demander des comptes à quelqu’un de manière appropriée (ou même pour refuser quelque chose) il est important de savoir ce que l’on veut. C’est enfoncer une porte ouverte, penserez-vous peut-être, en réalité, on saute bien trop souvent cette étape. On oublie de rester campé sur ses propres souhaits. Exiger quelque chose de manière saine est l’essentiel d’une bonne assertivité. Et quant à décider quelle approche adopter, il est préférable d’y penser à l’avance. »
Vous cherchez le gros conflit et vous ne redoutez pas les conséquences ? Alors vous n’obtiendrez pas beaucoup. Vous demandez des comptes en espérant que l’autre change de comportement, alors vous êtes dans le bon.
Souvent on décide de régler ses comptes quand cela déborde. Vous en avez assez et cela vous met en colère. Les sentiments aidant, la probabilité d’une communication intelligente s’évanouit.
Imaginons que votre conjoint décide la plupart du temps ce que vous allez faire pendant votre jour de sortie. En insistant tellement que vous finissez par dire oui. Si vous vous laissez submerger par vos émotions, vous risquez de dire quelque chose comme « j’en ai marre de ton comportement égoïste’. Votre conjoint risque fort de se sentir agressé. Une bonne manière de faire digérer la critique sera de dire par exemple : « Quand on pense à notre sortie, tu es toujours le premier à proposer ce que tu as envie avec tant d’enthousiasme et d’arguments que je ne sais plus dire non. »
Beaucoup laissent aller les choses parce qu’ils n’ont pas trouvé la bonne occasion de les arrêter. Mais avouons que l’occasion idéale se présente rarement. Alors, essayons de la créer : contactez l’autre et demandez-lui de vous consacrer un peu de temps pour discuter.
Vous allez peut-être penser : « Mais je ne veux pas en faire tout un plat. » Si vous pensez cela, vous ne vous prenez pas vous-même au sérieux. Concevez que vous valez la peine que l’on mette les choses au point. Beaucoup n’ont pas agi ainsi depuis très longtemps. Ils considèrent leurs sentiments et leurs limites comme de la bagatelle. Si les autres sont plus importants à vos yeux, c’est qu’il vous manque le culot pour obtenir ce que vous voulez.
Une fois que vous avez expliqué votre sujet de conversation, et que vous paraissez tous deux ouverts à la discussion, vous pouvez démarrer. Ne tournez pas autour du pot, en une ou deux phrases, dites ce que vous avez préparé. C’est très important et vous veillez ainsi à ne pas vous faire d’ennemi en entrant dans des discussions inutiles avec escalade du conflit. Donnez ensuite à l’autre l’espace pour avancer ses prétextes et se défendre. N’intervenez pas. Comprenez que l’autre est aussi un être humain avec des sentiments et qu’il lui est difficile d’accepter la critique.
Lorsque l’autre a eu tout le loisir de s’exprimer, on peut penser à fixer des accords. Expliquez-lui concrètement quel comportement vous aimeriez qu’il adopte et demandez-lui si c’est réalisable pour lui (et si pas, ce que l’on peut décider). Enfin remerciez-le pour son ouverture, sa collaboration et le temps qu’il vous a consacré.
26 juin 2012Vous désirez dire à votre collègue qu’il ne respecte jamais ses engagements. Ou à votre belle-mère qui débarque tous les jours que cela ne vous plait pas. On a vite tendance à adopter l’une ou l’autre des tactiques ci-dessous. Vous vous y reconnaîtrez peut-être…
Tactique 1. Plein de colère, on expose à l’autre ce qu’il a mal fait. Qu’on en finisse par se disputer, peu importe. La coupe est pleine !
Tactique 2. A un moment favorable, si tout va bien, on essaie de lui faire passer le message le plus gentiment possible, avec humour et respect.
Quelle est la meilleure approche ? « Aucune des deux ne garantit un résultat », explique Sandra Planjer. « Une sérieuse insulte (tactique 1) peut soulager, mais vraisemblablement cela ne fera qu’escalader le conflit. L’humour et la gentillesse (tactique 2) sont des solutions pour éviter que la situation ne dégénère mais le tout est de savoir si le message sera bien compris et si vous atteindrez votre objectif. »
Même le juste milieu n’est pas la solution. « Pour demander des comptes à quelqu’un de manière appropriée (ou même pour refuser quelque chose) il est important de savoir ce que l’on veut. C’est enfoncer une porte ouverte, penserez-vous peut-être, en réalité, on saute bien trop souvent cette étape. On oublie de rester campé sur ses propres souhaits. Exiger quelque chose de manière saine est l’essentiel d’une bonne assertivité. Et quant à décider quelle approche adopter, il est préférable d’y penser à l’avance. »
Vous cherchez le gros conflit et vous ne redoutez pas les conséquences ? Alors vous n’obtiendrez pas beaucoup. Vous demandez des comptes en espérant que l’autre change de comportement, alors vous êtes dans le bon.
Souvent on décide de régler ses comptes quand cela déborde. Vous en avez assez et cela vous met en colère. Les sentiments aidant, la probabilité d’une communication intelligente s’évanouit.
Imaginons que votre conjoint décide la plupart du temps ce que vous allez faire pendant votre jour de sortie. En insistant tellement que vous finissez par dire oui. Si vous vous laissez submerger par vos émotions, vous risquez de dire quelque chose comme « j’en ai marre de ton comportement égoïste’. Votre conjoint risque fort de se sentir agressé. Une bonne manière de faire digérer la critique sera de dire par exemple : « Quand on pense à notre sortie, tu es toujours le premier à proposer ce que tu as envie avec tant d’enthousiasme et d’arguments que je ne sais plus dire non. »
Beaucoup laissent aller les choses parce qu’ils n’ont pas trouvé la bonne occasion de les arrêter. Mais avouons que l’occasion idéale se présente rarement. Alors, essayons de la créer : contactez l’autre et demandez-lui de vous consacrer un peu de temps pour discuter.
Vous allez peut-être penser : « Mais je ne veux pas en faire tout un plat. » Si vous pensez cela, vous ne vous prenez pas vous-même au sérieux. Concevez que vous valez la peine que l’on mette les choses au point. Beaucoup n’ont pas agi ainsi depuis très longtemps. Ils considèrent leurs sentiments et leurs limites comme de la bagatelle. Si les autres sont plus importants à vos yeux, c’est qu’il vous manque le culot pour obtenir ce que vous voulez.
Une fois que vous avez expliqué votre sujet de conversation, et que vous paraissez tous deux ouverts à la discussion, vous pouvez démarrer. Ne tournez pas autour du pot, en une ou deux phrases, dites ce que vous avez préparé. C’est très important et vous veillez ainsi à ne pas vous faire d’ennemi en entrant dans des discussions inutiles avec escalade du conflit. Donnez ensuite à l’autre l’espace pour avancer ses prétextes et se défendre. N’intervenez pas. Comprenez que l’autre est aussi un être humain avec des sentiments et qu’il lui est difficile d’accepter la critique.
Lorsque l’autre a eu tout le loisir de s’exprimer, on peut penser à fixer des accords. Expliquez-lui concrètement quel comportement vous aimeriez qu’il adopte et demandez-lui si c’est réalisable pour lui (et si pas, ce que l’on peut décider). Enfin remerciez-le pour son ouverture, sa collaboration et le temps qu’il vous a consacré.
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