Dois-je aller travailler après un accident de ski ?
Vous revenez couverts de bleus de vos vacances au ski et avez la jambe cassée… Devez-vous aller travailler ?
Sylvaine Pascual, coach en reconversion professionnelle, nous fait part sur son blog de sa vision, de ses conseils et nous confie des trucs de rugbyman, pour nous aider à mieux comprendre.
La plupart d'entre nous sommes attachés à ces marques de reconnaissance, particulièrement dans le milieu professionnel. C'est même selon une récente étude Regus, la seconde raison de satisfaction au travail. Elles nous distinguent des autres et sont si bonnes pour notre égo, n'est-ce pas ?
Perdre notre statut en cas de reconversion professionnelle ou transition de carrière est une épreuve douloureuse, qui peut freiner bien des passages, notamment vers des métiers ou des fonctions moins prestigieuses. Exemples :
Lorsqu'on nous demande ce que nous faisons dans la vie, on répond d'abord et avant tout par notre fonction "Directeur marketing d'une société de conseil" ou "plombier chauffagiste" et non pas « citoyen du monde passionné de danse acrobatique et collectionneur de tickets de métro". Pourquoi ? Parce que nous sommes braqués sur le faire plutôt que sur l'être ?
L'importance du statut socio-professionnel, c'est surtout celle que nous lui attribuons. Si nous sommes dépendants du regard des autres quant à celui-ci, cela revient à leur passer le pouvoir de décider à notre place de notre avenir professionnel. Après tout, nous devrions faire nos choix en fonction de nous-mêmes et non des autres, n'est-ce pas ? En bref, nous laisser guider par notre nature profonde, par ce que nous aimons faire plutôt que par ce que nous devinons que les autres aiment nous voir faire… Non ?
Comment gérer une perte de statut visiblement douloureuse pour beaucoup ? Sylvaine Pascual nous relaie la réponse donnée par l'ancien international de rugby Gérald Merceron, rencontré lors des Journées des Ambassadeurs de Rugby : « Mieux vaut du temps de jeu en pro D2 que le banc en Top 14 ». Et Gérald Merceron sait de quoi il parle : c'est exactement le choix qu'il a fait en fin de carrière. Ce qu'il dit, en substance, c'est qu'il a été plus important à ses yeux de conserver le plaisir de jouer, même un niveau en dessous, que de conserver le prestige du statut.
Quel est le décryptage de la spécialiste en reconversion professionnelle ? En accordant la priorité au plaisir, Gérald Merceron est passé de la reconnaissance externe - les autres me reconnaissent un statut qui me renvoie une image positive de moi - à la reconnaissance interne - je reconnais l'importance de mes propres besoins. C'est ce qui nous permet de sortir de l'emprise de la peur du jugement et d'écouter ses propres désirs. Nous sommes alors libres du regard des autres, nous pouvons nous autoriser à reconstruire la vie professionnelle que nous voulons. That's it.
La magie de la démarche, c'est que si nous sommes en phase avec nos besoins et notre désir de satisfaction personnelle, alors nous ferons bien mieux qu'avant. Ce qui fait que l'image que nous renvoient les autres a de grandes chances d'être positive ! Donc si nous n'avons plus peur de perdre notre statut, non seulement nous avons moins besoin de la reconnaissance des autres, mais en plus, nous en recevons davantage qu'auparavant. Génial, n'est-ce pas ?
Sources : Ithaque Coaching, Sylvaine Pascual
(sc)
Sylvaine Pascual, coach en reconversion professionnelle, nous fait part sur son blog de sa vision, de ses conseils et nous confie des trucs de rugbyman, pour nous aider à mieux comprendre.
La plupart d'entre nous sommes attachés à ces marques de reconnaissance, particulièrement dans le milieu professionnel. C'est même selon une récente étude Regus, la seconde raison de satisfaction au travail. Elles nous distinguent des autres et sont si bonnes pour notre égo, n'est-ce pas ?
Perdre notre statut en cas de reconversion professionnelle ou transition de carrière est une épreuve douloureuse, qui peut freiner bien des passages, notamment vers des métiers ou des fonctions moins prestigieuses. Exemples :
Lorsqu'on nous demande ce que nous faisons dans la vie, on répond d'abord et avant tout par notre fonction "Directeur marketing d'une société de conseil" ou "plombier chauffagiste" et non pas « citoyen du monde passionné de danse acrobatique et collectionneur de tickets de métro". Pourquoi ? Parce que nous sommes braqués sur le faire plutôt que sur l'être ?
L'importance du statut socio-professionnel, c'est surtout celle que nous lui attribuons. Si nous sommes dépendants du regard des autres quant à celui-ci, cela revient à leur passer le pouvoir de décider à notre place de notre avenir professionnel. Après tout, nous devrions faire nos choix en fonction de nous-mêmes et non des autres, n'est-ce pas ? En bref, nous laisser guider par notre nature profonde, par ce que nous aimons faire plutôt que par ce que nous devinons que les autres aiment nous voir faire… Non ?
Comment gérer une perte de statut visiblement douloureuse pour beaucoup ? Sylvaine Pascual nous relaie la réponse donnée par l'ancien international de rugby Gérald Merceron, rencontré lors des Journées des Ambassadeurs de Rugby : « Mieux vaut du temps de jeu en pro D2 que le banc en Top 14 ». Et Gérald Merceron sait de quoi il parle : c'est exactement le choix qu'il a fait en fin de carrière. Ce qu'il dit, en substance, c'est qu'il a été plus important à ses yeux de conserver le plaisir de jouer, même un niveau en dessous, que de conserver le prestige du statut.
Quel est le décryptage de la spécialiste en reconversion professionnelle ? En accordant la priorité au plaisir, Gérald Merceron est passé de la reconnaissance externe - les autres me reconnaissent un statut qui me renvoie une image positive de moi - à la reconnaissance interne - je reconnais l'importance de mes propres besoins. C'est ce qui nous permet de sortir de l'emprise de la peur du jugement et d'écouter ses propres désirs. Nous sommes alors libres du regard des autres, nous pouvons nous autoriser à reconstruire la vie professionnelle que nous voulons. That's it.
La magie de la démarche, c'est que si nous sommes en phase avec nos besoins et notre désir de satisfaction personnelle, alors nous ferons bien mieux qu'avant. Ce qui fait que l'image que nous renvoient les autres a de grandes chances d'être positive ! Donc si nous n'avons plus peur de perdre notre statut, non seulement nous avons moins besoin de la reconnaissance des autres, mais en plus, nous en recevons davantage qu'auparavant. Génial, n'est-ce pas ?
Sources : Ithaque Coaching, Sylvaine Pascual
(sc)
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