Guy Martens, d'enseignant à entraîneur de gardiens renommé
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Certaines voix étaient déjà en faveur d'un taxation de l'utilisation d'internet. La Hongrie semble avoir franchi un cap en proposant des actions concrètes pour agir de la sorte. Ce pays serait le premier à introduire une taxe d'octet ou "bit tax". En effet, le Premier ministre Orban souhaiterait faire payer quelque 0,49 euro par gigabyte consommé.
Il n'est pas étonnant de voir la population réagir au quart de tour suite à la suggestion de telles mesures. Non seulement, le Premier ministre Viktor Orban s’adonnerait ainsi à des règles fiscales peu catholiques, dans le sens où une telle proposition jouerait sur la crainte de voir disparaître la liberté d’expression. En outre, cet impôt supplémentaire reviendrait à 25 euros par mois, ce qui est loin d'être négligeable dans un pays où le salaire moyen atteint 680 euros.
Selon bon nombre de personnes, la population a dès lors une raison fondée de sortir dans la rue. Les activistes ont jeté de l’huile sur le feu en comptant ce que certaines activités banales sur internet coûteraient à l’utilisateur moyen : 0,11 euros par heure sur Facebook, 15 euros pour télécharger un film en streaming, 260 euros pour regarder une série télé,…
Les protestataires ne sont pas passés inaperçus. Pour ne pas perdre sa cote de popularité, Orban décida de fixer un plafond au précompte : un particulier n’aurait "que" 2,25 euros à payer par mois, alors que les entreprises ne devraient pas verser plus de 16,32 euros.
Pourtant, il existe certaines personnes défendant l’utilité d’une telle taxe. Celles-ci estiment même que cela pourrait représenter un avantage pour la population.
"Si les autorités choisissent de prélever un impôt sur la consommation normale - ce que la plupart font avec la TVA - il semble parfaitement logique de demander un impôt sur la consommation de données numériques", défend Leonid Bershidsky, journaliste chez BloombergView. "Je ne vois aucune raison pour laquelle une société accepterait d’être imposée sur la téléphonie ordinaire tout en rejetant une taxe sur l’usage d'internet."
Bershidsky admet qu’un tel prélèvement fiscal puisse être considéré comme une manière de garder le contrôle sur la diffusion de l’information, voire de la limiter. Où se situe dès lors la frontière avec la censure ? A quel moment parle-t-on de violation de liberté d’expression ? Voilà sans doute le début d'un nouveau débat mais, selon lui, une telle taxe peut aussi présenter des avantages. En effet, cette mesure éviterait à l’utilisateur d'être noyé par la quantité d’information superflue et indésirable.
A terme, cela pourrait rendre le consommateur plus conscient et le pousser à manier l’information disponible, à savoir les publicités pop-up et les vidéos démarrant toutes seules, avec plus de prudence. "Si nous devions payer pour regarder ce contenu, nous aurions vite fait de le bloquer."
Cela amènerait petit à petit d’autres développements positifs. Les fournisseurs et entreprises de technologie devraient se mettre à chercher des solutions pour un usage plus efficace d’internet et une réduction du trafic de données.
(EH) (SC) Sources : Express.be / Bloombergview.com
16 décembre 2014Avez-vous vu le premier épisode de DAZN All Access ? Vous aurez dès lors appris à connaître Guy Martens...
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