Quels secteurs n’intéressent plus les jeunes travailleurs ?
Allons droit au but : les métiers de la vente, de la finance et de l'ingénierie perdent d’année en année de leur éclat auprès des nouvelles générations.
Depuis le mois d'avril 2014, un travailleur a en principe le droit de connaître les raisons de son licenciement. Certaines catégories de travailleurs ne bénéficient toutefois pas de ce droit. En effet, celui-ci n'est pas d'application pour les intérimaires, les étudiants ou les travailleurs ayant été licenciés :
L'employeur ne doit pas spontanément communiquer les motifs de licenciement. Vous devez en faire la demande par vous-même en lui adressant un courrier recommandé dans les deux mois suivant la résiliation de votre contrat. Si ce dernier mentionnait un préavis, votre lettre doit être envoyée dans les six mois.
Votre employeur est tenu de répondre dans les deux mois suivant la réception de votre demande. Cela n'est pas d'application si les raisons sont déjà spécifiquement communiquées dans la lettre de licenciement. Si vous ne recevez pas de motifs valables dans les délais impartis, l'entreprise devra vous payer une indemnité correspondant à deux semaines de salaire.
Une motivation de licenciement n'est uniquement valable si elle mentionne des raisons précises ayant mené à la fin du contrat. Votre employeur ne peut pas se limiter à de vagues descriptions de type "l'employé ne correspondait plus aux exigences de la fonction", "réorganisation" ou "divergence d'opinions". L'employeur doit faire part des raisons déterminantes qui ont causé le licenciement.
Il est généralement rare que vous ne soyez pas d'accord avec les raisons invoquées. Si vous pouvez prouver noir sur blanc que le licenciement est abusif, vous pourrez le contester. Un licenciement est abusif si l'employé travaille pour une durée indéterminée et que :
A moins que votre employeur ne manque d'arguments au niveau de ses motifs, vous devez prouver par vous-même que le licenciement était déraisonnable. Si vous y parvenez, il devra vous verser une indemnité représentant un montant minimum de trois semaines et un maximum de 17 semaines de travail. Le juge déterminera le montant exact en tenant compte du degré d'injustice du licenciement abusif.
Vous avez donc le droit de connaître les véritables raisons de votre licenciement. Si votre employeur ne se conforme pas à votre demande, il payera une amende. Si vous pouvez prouver que le licenciement était bel et bien abusif, il pourrait même vous verser une indemnité bien plus élevée.
(hf/sd/eh/jy) – Tous nos remerciements au cabinet Laga.
2 mars 2016Allons droit au but : les métiers de la vente, de la finance et de l'ingénierie perdent d’année en année de leur éclat auprès des nouvelles générations.
Qui n'a jamais été intéressé par le fait de gagner de l'argent ? Ces sept conseils issus d'un ouvrage de l'auteur Sam Wilkin vous mettront sur la bonne voie.
La première génération qui a fait des études supérieures : cela vous parle-t-il ?
Voici un aperçu de la situation un an après l'instauration du 'droit à la déconnexion'.
Pour les jeunes, bénéficier de chèques repas revêt une importance décisive lorsqu'ils décident d'accepter ou non un emploi...
L'intelligence artificielle et les robots intelligents ne relèvent plus de la science-fiction. Quels sont les métiers d'avenir et ceux qui ne le sont pas ?
L'été va être chaud sur le plan sportif ! Cela commencera tout prochainement avec le coup d'envoi du championnat d'Europe de football.
Il est déconseillé aux travailleurs actifs de chercher un nouvel emploi quand l'actualité fait état de licenciements et de restructurations.
Pour certains d'entre nous, le travail indépendant ou à distance constitue un mode de vie idéal.