Pourvoir les postes vacants est la priorité absolue
Le marché de l’emploi est sous tension et cela ne facilite pas la tâche des départements RH belges qui doivent dénicher de nouveaux talents.
L'ambassade américaine est un employeur particulier, et ce également pour les Belges. "Chaque jour, nous employons jusqu'à 300 personnes recrutées localement", explique Anthony A. Blenke, responsable des ressources humaines.
"Nous recherchons régulièrement de nouveaux profils pour des postes où aucun 'screening de sécurité' n’est requis. Avec le bon diplôme et les bonnes connaissances, vous pouvez tenter votre chance. Vous devrez juste prouver que vous êtes légalement autorisé à vivre et à travailler en Belgique. Des exemples ? Les candidats ayant une formation en économie ou en finance peuvent travailler comme analystes ou assistants financiers. Il y a des postes vacants dans les équipes de chauffeurs et au sein du service du personnel administratif. Enfin, l’ambassade a besoin de profils qualifiés tels que des techniciens en CVC, des électriciens, des menuisiers ou encore des peintres."
"Nous évoluons dans un environnement de travail diversifié et ouvert où chacun prend ses responsabilités", insiste Anthony A. Blenke, responsable des ressources humaines. "Notre lieu de travail est bien plus informel qu’il n’en a l’air. De nombreux employés travaillent ici depuis des dizaines d'années et nous ne tenons pas compte de votre nationalité, de votre âge, de vos antécédents ni de votre sexe. Il y a une vingtaine de nationalités différentes dans nos équipes et nous essayons de préserver un équilibre entre les Belges francophones et néerlandophones."
"Si vous vous travaillez à l’ambassade des Etats-Unis, votre contrat sera basé sur un salaire et des conditions d’emploi belges. Les heures supplémentaires convenues et approuvées sont toujours remboursées, même pour les profils plus élevés, et vous bénéficiez de nombreux avantages extralégaux. Enfin, il existe une formation assez incroyable. Les chauffeurs ont la possibilité de se former... aux États-Unis! Que demander de mieux ?"
"La croissance et le développement ont toujours priorité. Ce qui est vrai, c’est que votre CV et votre niveau de formation doivent exactement correspondre à la description du poste. Les compétences linguistiques comptent également. Comme il s’agit d’un environnement international, nous attendons au moins une pratique de base de l'anglais, du français et du néerlandais. Le niveau exact requis dépend du contenu de votre fonction. Vous n'avez vraiment pas besoin de 'connaître' quelqu'un pour avoir une chance d’être engagé. Tout le monde suit le même processus de sélection."
(eh/ll) – Plus d'informations : https://be.usembassy.gov/embassy/jobs/
28 janvier 2019Le marché de l’emploi est sous tension et cela ne facilite pas la tâche des départements RH belges qui doivent dénicher de nouveaux talents.
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