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À qui pouvez-vous faire confiance ? 4 conseils utiles

7 phrases à ne jamais prononcer devant le patron

Vous avez envie d’avoir de bons rapports avec votre chef ? Ne l’incitez pas à croire que vous n’aimez pas votre travail, qu’on ne peut pas compter sur vous ou que vous trouvez votre job complètement nul.
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C’est pourtant logique, non ? Et pourtant, il y a tous les jours et partout des collaborateurs qui n’obéissent pas à ces règles de base. Ou font des remarques à priori tout à fait inoffensives… Mais si vous vous mettiez à la place de votre employeur quelques instants, vous comprendriez vite les effets désagréables que le moindre soupir peut avoir.

Règle de base : ne prononcez jamais ces 7 phrases en présence de votre chef

1. « Ce n’est pas mon job. »

A ne pas faire car la plupart partent du principe que votre travail consiste dans ce qu’ils vous demandent de faire. Ne dites donc jamais qu’un job déterminé ne relève pas de vos fonctions mais plutôt que ce n’est peut-être pas la meilleure solution dans l’intérêt de l’entreprise. Précisez tout de suite qui vous verriez bien exécuter le job en question et pourquoi ce serait mieux pour tout le monde.

2. « Ce n’est pas mon problème. »

A éviter car chez votre employeur cela sera perçu comme si vous n’étiez pas concerné par votre boulot. Un malentendu que vous pouvez éviter, notamment en n’intervenant pas lorsqu’un problème se présente où vous ne pouvez rien changer. Encore mieux naturellement, faire tout ce que vous pouvez pour aider, car un problème sur le lieu de travail est souvent le problème de tous dans une équipe.

3. « Ce n’est pas ma faute. »

Pourquoi ne pas dire cela ? Parce qu’au plus fort vous criez que ce n’est pas votre faute, au plus on vous soupçonnera. Bannissez ces 5 mots et prenez plutôt la situation en mains. Ce n’est pas un coupable qui fera avancer les choses, mais une solution.

4. « Je n’ai que deux mains. »

Ne dites pas cela : parier que votre patron ne voit pas qu’il vous en donne trop ? Il pourrait au contraire en chercher la cause chez vous et vous soupçonner de ne pas être capable de faire votre travail.

5. « Je suis surqualifié pour ce job. »

Ne faites pas cela, car vous vous êtes engagé. Vous plaindre sur vos diplômes perdus ou les compétences gaspillées dans l’exercice de ce travail ne vas pas être fort apprécié par vos collègues et votre patron pensera que vous êtes un vantard. Ce n’est pas la meilleure manière d’obtenir une promotion.

6. « Trop facile ! »

Eviter de dire cela. C’est comme si vous trouviez le job en question trop facile (donc sans vrai défi voire bête ). Alors que vous vouliez juste convaincre vos collègues ou votre chef que vous êtes si bon dans votre travail que vous le faites en deux temps trois mouvements. Mais, comme pour beaucoup de choses, c’est mieux de le prouver par des faits.

7. « Cela ne va pas. »

A éviter : ces mots font l’effet d’un tissu rouge que l’on agite sous le nez d’un taureau, en l’occurrence, votre patron. Et si un projet vous semble mission impossible, vous n’avez tout de même pas envie que votre employeur pense que vous n’en êtes pas capable ? Essayez de savoir pourquoi vous avez reçu une tâche quasi irréalisable et mettez-vous en action pour vous rapprocher du but autant que possible. Votre énergie sera décuplée et vous en serez chaudement remercié.

Et une dernière règle d’or pour terminer : en cas de doute, taisez-vous. Le silence est d’or…

(sc) - Sources : finance.yahoo.com/news

7 juin 2013
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