Que signifient ces 4 'compliments' émanant de recruteurs ?
Un compliment ou une remarque positive d'un recruteur peut être rassurant et motivant. Toutefois, cela peut parfois être synonyme d'un avertissement.
Soins du visage, massages du corps, manucure, épilations… L’essentiel ? De la psychologie. Mes clientes sont allongées quand je leur fais un soin. Cela me donne sans doute une position de force, debout devant elles. Je reçois beaucoup de confidences, à moi de leur apporter les réponses dont elles ont besoin.
Avec 2200 de revenus bruts par mois en tant qu'indépendante, il me reste 1000 euros net, j’arrive donc juste à couvrir mes frais depuis deux ans. Mais je tiens bon. J’ai des pistes comme prendre le temps de vendre les produits que j’utilise en cabine, développer ma vitrine : la gamme s’étend à 6 types de peau, je pourrai ainsi atteindre la rentabilité. Ma meilleure période a été juillet 2008. Les banques me relançaient alors !
Tout à fait car sans passion, je resterai chez moi. Cela ne paie pas bien, alors pour se lever le matin, et priver mon fils de ma présence à la maison, s’il n’y avait pas cela… Mais j’apprends beaucoup.
L’esthétique est un business cyclique. L’entrée dans l’arrière-saison ne nous est pas favorable, mais en hiver les gens ont froid et sont déprimés, ils viennent se faire masser.
Non. J’ai massé à titre indépendant pour un grand hôtel de Bruxelles. Mais j’avais moins de liberté. Aujourd’hui, je suis fière de gérer ma boutique, c’est mon salon. Et lorsque je reviens de vacances, j’ai hâte de me réapproprier ma clientèle. Ce que je changerais par contre ? J’innoverais, car les clients sont curieux.
Non pas du tout, je n’avais pas de salaire les 2 premières années.
La mode ; normal, n’est-ce pas ? (Rires)
Ma voiture. C’est un luxe inutile en ville, et un signe extérieur de richesse. Ma Twingo jaune reste donc souvent à la maison, le parking y est gratuit. L’assurance me suffit déjà : actuellement je dois payer 246 euros parce que j’ai eu un accident…
Etre une vraie femme autonome, actuellement c’est encore beaucoup mon mari qui me soutient et me guide.
(sc)
24 juillet 2012Soins du visage, massages du corps, manucure, épilations… L’essentiel ? De la psychologie. Mes clientes sont allongées quand je leur fais un soin. Cela me donne sans doute une position de force, debout devant elles. Je reçois beaucoup de confidences, à moi de leur apporter les réponses dont elles ont besoin.
Avec 2200 de revenus bruts par mois en tant qu'indépendante, il me reste 1000 euros net, j’arrive donc juste à couvrir mes frais depuis deux ans. Mais je tiens bon. J’ai des pistes comme prendre le temps de vendre les produits que j’utilise en cabine, développer ma vitrine : la gamme s’étend à 6 types de peau, je pourrai ainsi atteindre la rentabilité. Ma meilleure période a été juillet 2008. Les banques me relançaient alors !
Tout à fait car sans passion, je resterai chez moi. Cela ne paie pas bien, alors pour se lever le matin, et priver mon fils de ma présence à la maison, s’il n’y avait pas cela… Mais j’apprends beaucoup.
L’esthétique est un business cyclique. L’entrée dans l’arrière-saison ne nous est pas favorable, mais en hiver les gens ont froid et sont déprimés, ils viennent se faire masser.
Non. J’ai massé à titre indépendant pour un grand hôtel de Bruxelles. Mais j’avais moins de liberté. Aujourd’hui, je suis fière de gérer ma boutique, c’est mon salon. Et lorsque je reviens de vacances, j’ai hâte de me réapproprier ma clientèle. Ce que je changerais par contre ? J’innoverais, car les clients sont curieux.
Non pas du tout, je n’avais pas de salaire les 2 premières années.
La mode ; normal, n’est-ce pas ? (Rires)
Ma voiture. C’est un luxe inutile en ville, et un signe extérieur de richesse. Ma Twingo jaune reste donc souvent à la maison, le parking y est gratuit. L’assurance me suffit déjà : actuellement je dois payer 246 euros parce que j’ai eu un accident…
Etre une vraie femme autonome, actuellement c’est encore beaucoup mon mari qui me soutient et me guide.
(sc)
24 juillet 2012Un compliment ou une remarque positive d'un recruteur peut être rassurant et motivant. Toutefois, cela peut parfois être synonyme d'un avertissement.
Des robots capables de prédire qui risque de quitter une entreprise ou qui est le meilleur candidat pour un poste ?
Vous avez 18 ans et choisissez la direction que vous allez prendre dans la vie. Vous étudiez, obtenez un diplôme et commencez à travailler.
Tout le monde rêve de trouver un emploi lui convenant à 100%. Mais il est encore plus important de pouvoir travailler dans un endroit où vous vous sentez complètement chez vous.
Vous allez à un entretien et vous trouvez face à une question embarrassante. Etes-vous honnête ou racontez-vous ce que votre interlocuteur souhaite entendre ?
Le vélo a le vent en poupe. Il en est de même pour les métiers de revendeurs et réparateurs de vélos. Siebe Ceurens (19 ans) de Halle est l’un d’entre eux.
Êtes-vous fatigué de votre patron ou de vos collègues qui vous marchent sur les pieds ? Il est temps de vous affirmer davantage.
Le perfectionnisme nous joue souvent des tours. Comment savoir si vous êtes perfectionniste et comment l'utiliser à votre avantage ?
Que se passe-t-il si votre charge de travail est trop élevée et que vous ne pouvez plus supporter la pression ?
Peut-être vous êtes-vous déjà entendu dire : "Je ne suis pas quelqu’un que l’on catégorise dans une case". Votre situation ne se résume pas à un seul intérêt, passe-temps ou métier.
Être licencié peut complètement saper votre moral. Chez certaines personnes, cela peut même conduire à une dépression à long terme.
Emprunter de l'argent, être en négatif ou payer à crédit. De nos jours, même avec un budget limité, vous pouvez encore mener un certain train de vie.
Félicitations, vous êtes invité à un entretien d'embauche. Voici comment éviter les erreurs lors de votre interview.
Considérez-vous le retour au bureau comme un mal nécessaire ? Vous n'êtes pas le/la seul(e).
Adieu le malheureux cliché disant que les femmes parlent beaucoup. En effet, celles-ci se taisent bien plus souvent que les hommes sur leur lieu de travail.
La surabondance d’informations en tout genre, le stress, la course contre la montre, tout cela nous amène des tas de pensées et d’émotions indésirables.
Votre plus grand cauchemar ? Vous faire licencier alors que vous pensez que tout va très bien.
Mauvais joueur un jour, mauvais joueur toujours ? Apparemment oui.