La fonction et le salaire d’un Tax Specialist
Le poste de Tax Specialist est une fonction a succès, les candidats sont rares. "C'est cependant surprenant", dit Christophe Paquay de Robert Walters...
La première a deux enfants âgés de 14 et 17 ans, la deuxième des jumeaux de près de cinq ans. Ces 'revenantes' témoignent: les doutes des employeurs face à qui est sorti du circuit pendant une longue période, l'importance des contacts sociaux et de la formation complémentaire, le luxe d'avoir une maman à la maison et l'illusion du carriérisme.
Mieke Van Vlierberghe travaillait pour une compagnie d'assurances depuis sept ans lorsqu'elle décida, en 1981, de quitter son emploi pour se consacrer à ses enfants. Elle fut mère au foyer durant quinze ans. "Je suis restée à la maison plus longtemps que prévu en raison des problèmes de santé de l'un de mes enfants. A partir du moment où il m'a semblé que les circonstances le permettaient, je me suis remise à la recherche d'un emploi. Cela ne fut pas facile. J'avais arrêté de travailler de mon plein gré, je n'avais donc droit à aucune allocation. L'interruption de carrière n'existait pas encore. Recruter quelqu'un de moins jeune n'est guère avantageux pour l'employeur, qui ne bénéficie d'aucune subvention. Bref, le collaborateur en question coûte cher." Dans une première phase, notre candidate envoie sporadiquement quelques lettres de candidature. "Je recherchais un emploi qui m'intéresserait vraiment, je suis trop âgée pour faire les choses contre mon goût. De plus, il n'y avait pas péril en la demeure: je n'allais pas mourir de faim. L'aspect financier n'était toutefois pas entièrement négligeable, car éduquer deux enfants coûte cher." Après un an de recherches intensives, elle décroche un emploi en 1996. "J'ai donc finalement eu ma chance, parce que les gens ont cru en moi: on a beau clamer sa motivation, les employeurs ont tendance à en douter lorsque vous êtes restée si longtemps au foyer. J'ai pu remplacer temporairement quelqu'un à l'hôpital. Au moment où cette personne devait revenir, il s'est avéré qu'elle était trop malade pour pouvoir reprendre la fonction. On m'a rappelée et on m'a proposé un contrat ferme."
Sa collègue Brigitte Buelens fut licenciée en 1995 à la suite d'une réorganisation. La naissance de jumeaux l'incita à prolonger cette période d'inactivité professionnelle. "Ces cinq années ont véritablement filé", confie-t-elle aujourd'hui. Lorsque ses deux bambins sont entrés à la maternelle, l'an dernier, Brigitte s'est subitement retrouvée désœuvrée. "On ne peut pas nettoyer sa maison dix fois par jour! J'avais de plus en plus envie de reprendre le travail. Je voulais revenir dans le monde." Elle s'inscrit à des cours d'informatique à l'Onem, puis elle s'adresse à des bureaux d'intérim dans le but d'obtenir un emploi administratif. "Mais vous n'avez aucune expérience dans ce domaine!, me lança-t-on. Cela me paraissait absurde car, si je m'adressais au secteur intérimaire, c'était justement pour acquérir de l'expérience. Par contre, on voulait bien de moi pour un snack-bar, mais ce n'était pas vraiment ma tasse de thé." Quatre mois plus tard, toutefois, un emploi fixe s'annonce. "Je n'aurais pas réussi aussi rapidement si je n'avais pas suivi les cours d'informatique. Le secteur IT évolue tellement vite… Je continue d'ailleurs d'apprendre chaque jour. Il est impossible de trouver un job administratif sans formation complémentaire. Plus longtemps une femme sort du circuit, plus il lui est difficile de reprendre. Je suis consciente de la chance que j'ai eue. Je connais d'autres personnes qui ont ramé bien plus longtemps que moi avant de retrouver un emploi."
La transition de la maison au bureau s'est effectuée sans problèmes. "Il faut planifier davantage: quand aller chercher les enfants, quand faire les emplettes… J'admets qu'il faut parfois s'en remettre au distributeur automatique de pain. Les journées paraissent plus courtes. Mes collègues sont très chouettes et je suis bien intégrée. Il faut que cela marche, sinon on part au travail avec des souliers de plomb et on ne tient pas le coup. Jamais je n'ai regretté d'avoir repris le travail. Certes, nous avons dû acheter une seconde voiture. Si je devais conduire les enfants à l'école à pied, je n'arriverais pas à l'heure au bureau."
Dans le cas de Mieke Van Vlierberghe, ses proches ont eu plus de mal à s'adapter qu'elle. "Je m'étais préparée au changement. J'ai d'ailleurs travaillé à temps partiel en première instance. Je crois que cela n'aurait pas réussi si j'avais du prendre un job à temps plein tout de suite. Il faut réorganiser son existence du jour au lendemain. Cela ne fut pas facile pour les enfants, c'est clair. Car une maman à la maison, c'est un luxe. Ma cadette avait dix ans à l'époque, elle a pu constater autour d'elle qu'il était normal que les mamans travaillent à l'extérieur. Nonante pour cent environ des femmes ont un emploi aujourd'hui, non?" Au travail, les choses se passent relativement bien dès le début. Sauf pour l'informatique, un domaine dans lequel elle accuse un sérieux retard. "J'avais aidé mon mari dans la comptabilité de son commerce, mais ce n'était pas suffisant: j'ai dû faire un sérieux effort dans cette branche."
" La pression du travail a sérieusement augmenté par rapport au passé. Voici vingt ans, les départements administratifs vivaient plus ou moins au rythme de la fonction publique. On ne peut plus se le permettre aujourd'hui, tout s'accélère. Cela ne m'a pas gênée, j'ai des nerfs d'acier. La grande différence, c'est que les autres ont pu suivre cette évolution au jour le jour alors que j'ai dû prendre le train en marche. Je me sens mille fois mieux dans ma peau que lorsque j'étais à la maison, même si à l'époque j'avais décidé en âme et conscience de m'occuper des enfants. Je me sentais parfaitement bien dans mon rôle de mère au foyer, au début, mais cela n'a pas duré très longtemps en fin de compte. Les contacts sociaux me manquaient. C'est bien beau d'aller prendre le café chez des copines, mais cela ne me satisfaisait pas. J'avais malgré tout un sentiment de vide. Et à la fin, je n'étais plus heureuse du tout."
Difficile, toutefois, de répondre à la question de savoir si elle regrette, a posteriori, la décision prise voici dix-neuf ans. "Peut-être à certains égards. L'attitude par rapport aux enfants, par exemple. Je faisais tout pour eux. Comme j'étais toujours là, ils avaient fini par prendre goût à la facilité. Je l'ai regretté par la suite. J'ignore si je recommencerais, si c'était à refaire. Pas pendant quinze ans, en tout cas. "Les enfants deviennent plus autonomes", confirme Brigitte. "Prenons un exemple: dîner à la cantine de l'école. Ils n'aiment pas trop, mais cela les rend plus forts. Ils font moins d'histoires. Mais je suis heureuse d'être restée à la maison pendant ces cinq années. Le fait d'avoir été toujours là pour eux pendant leurs premières années, est un point positif en soi. Elever des jumeaux alors qu'on n'a aucune expérience en la matière, constitue d'ailleurs une tâche assez conséquente. Nous avons traversé une période difficile lorsque mon mari, qui travaillait à l'époque chez Renault-Vilvorde, s'est retrouvé sans emploi. Mais ce n'est pas la raison pour laquelle je me suis remise à chercher du travail. D'ailleurs, il fut le premier à décrocher un nouveau job. Je n'étais donc pas forcée et contrainte de revenir sur le marché de l'emploi. Nous avions convenu à l'avance, mon mari et moi, que je ne reprendrais la vie active à temps plein qu'à partir du moment où les enfants seraient en âge d'aller à l'école. Ce choix me paraît toujours une bonne décision, aujourd'hui."
" J'étais assez exigeante lorsque j'ai commencé à postuler. Je ne voulais absolument pas travailler pendant le week-end, par exemple. Ce n'était pas une opposition de principe, puisqu'il m'est arrivé de travailler le samedi dans le passé. Mais cela devient impossible lorsqu'on a des enfants, car que reste-t-il alors comme moments à partager? De même, je voulais des horaires qui me permettent de ne pas trop laisser les enfants à la garderie. Le fait que mon mari travaille en équipe tombait à point dans cette optique. Elever des enfants en bas âge implique forcément qu'on prenne une série de dispositions pratiques. Heureusement, je peux compter sur l'aide de mes parents pour la garde des enfants. Et pendant les périodes de vacances scolaires, il y a la plaine de jeux." Voilà le genre de soucis auxquels Mieke n'est plus confrontée, avec des 'grands' de 14 et 17 ans. Elle n'en apprécie pas moins la présence d'un mari toujours prêt à donner un coup de main à la maison. "Nous habitons au-dessus du magasin. Autrement dit: la maison n'est jamais vide au retour des enfants. Mon mari travaille dur, six jours sur sept, aussi n'a-t-il guère le temps d'assumer des tâches ménagères. Il fait les courses de temps à autre, il met la main à la pâte dans la mesure du possible. Je crois que c'est impossible à gérer si l'on a un conjoint qui vous met des bâtons dans les roues."
"Nous avons réparti les tâches domestiques", raconte Brigitte de son côté. "La part de mon mari est même un peu plus importante que la mienne car, comme il travaille en équipe, il a davantage de temps libres. J'avoue que lorsqu'on quitte la maison chaque matin à huit heures pour rentrer vers 18 heures, comme moi, on n'a pas toujours le courage et l'énergie de se retrousser les manches le soir. Mon mari m'aide à la perfection. Il sait faire la lessive, nettoyer et cuisiner. La seule chose qu'il ne fasse pas, c'est repasser. La table est mise lorsque je rentre à la maison. Il a été à l'armée pendant neuf ans. C'est là qu'il a appris à se débrouiller. En plus, il s'occupe à merveille des enfants." "Lorsque les deux partenaires ont des horaires chargés et qu'ils font tout en fonction de leur carrière, cela me paraît plus raisonnable de ne pas fonder un foyer", affirme Mieke. "Personnellement, je ne crois pas au fait de combiner une 'carrière' et l'éducation des enfants. Le travail finit toujours par prendre le dessus. Or, les enfants ont besoin de stabilité."
18 septembre 2008La première a deux enfants âgés de 14 et 17 ans, la deuxième des jumeaux de près de cinq ans. Ces 'revenantes' témoignent: les doutes des employeurs face à qui est sorti du circuit pendant une longue période, l'importance des contacts sociaux et de la formation complémentaire, le luxe d'avoir une maman à la maison et l'illusion du carriérisme.
Mieke Van Vlierberghe travaillait pour une compagnie d'assurances depuis sept ans lorsqu'elle décida, en 1981, de quitter son emploi pour se consacrer à ses enfants. Elle fut mère au foyer durant quinze ans. "Je suis restée à la maison plus longtemps que prévu en raison des problèmes de santé de l'un de mes enfants. A partir du moment où il m'a semblé que les circonstances le permettaient, je me suis remise à la recherche d'un emploi. Cela ne fut pas facile. J'avais arrêté de travailler de mon plein gré, je n'avais donc droit à aucune allocation. L'interruption de carrière n'existait pas encore. Recruter quelqu'un de moins jeune n'est guère avantageux pour l'employeur, qui ne bénéficie d'aucune subvention. Bref, le collaborateur en question coûte cher." Dans une première phase, notre candidate envoie sporadiquement quelques lettres de candidature. "Je recherchais un emploi qui m'intéresserait vraiment, je suis trop âgée pour faire les choses contre mon goût. De plus, il n'y avait pas péril en la demeure: je n'allais pas mourir de faim. L'aspect financier n'était toutefois pas entièrement négligeable, car éduquer deux enfants coûte cher." Après un an de recherches intensives, elle décroche un emploi en 1996. "J'ai donc finalement eu ma chance, parce que les gens ont cru en moi: on a beau clamer sa motivation, les employeurs ont tendance à en douter lorsque vous êtes restée si longtemps au foyer. J'ai pu remplacer temporairement quelqu'un à l'hôpital. Au moment où cette personne devait revenir, il s'est avéré qu'elle était trop malade pour pouvoir reprendre la fonction. On m'a rappelée et on m'a proposé un contrat ferme."
Sa collègue Brigitte Buelens fut licenciée en 1995 à la suite d'une réorganisation. La naissance de jumeaux l'incita à prolonger cette période d'inactivité professionnelle. "Ces cinq années ont véritablement filé", confie-t-elle aujourd'hui. Lorsque ses deux bambins sont entrés à la maternelle, l'an dernier, Brigitte s'est subitement retrouvée désœuvrée. "On ne peut pas nettoyer sa maison dix fois par jour! J'avais de plus en plus envie de reprendre le travail. Je voulais revenir dans le monde." Elle s'inscrit à des cours d'informatique à l'Onem, puis elle s'adresse à des bureaux d'intérim dans le but d'obtenir un emploi administratif. "Mais vous n'avez aucune expérience dans ce domaine!, me lança-t-on. Cela me paraissait absurde car, si je m'adressais au secteur intérimaire, c'était justement pour acquérir de l'expérience. Par contre, on voulait bien de moi pour un snack-bar, mais ce n'était pas vraiment ma tasse de thé." Quatre mois plus tard, toutefois, un emploi fixe s'annonce. "Je n'aurais pas réussi aussi rapidement si je n'avais pas suivi les cours d'informatique. Le secteur IT évolue tellement vite… Je continue d'ailleurs d'apprendre chaque jour. Il est impossible de trouver un job administratif sans formation complémentaire. Plus longtemps une femme sort du circuit, plus il lui est difficile de reprendre. Je suis consciente de la chance que j'ai eue. Je connais d'autres personnes qui ont ramé bien plus longtemps que moi avant de retrouver un emploi."
La transition de la maison au bureau s'est effectuée sans problèmes. "Il faut planifier davantage: quand aller chercher les enfants, quand faire les emplettes… J'admets qu'il faut parfois s'en remettre au distributeur automatique de pain. Les journées paraissent plus courtes. Mes collègues sont très chouettes et je suis bien intégrée. Il faut que cela marche, sinon on part au travail avec des souliers de plomb et on ne tient pas le coup. Jamais je n'ai regretté d'avoir repris le travail. Certes, nous avons dû acheter une seconde voiture. Si je devais conduire les enfants à l'école à pied, je n'arriverais pas à l'heure au bureau."
Dans le cas de Mieke Van Vlierberghe, ses proches ont eu plus de mal à s'adapter qu'elle. "Je m'étais préparée au changement. J'ai d'ailleurs travaillé à temps partiel en première instance. Je crois que cela n'aurait pas réussi si j'avais du prendre un job à temps plein tout de suite. Il faut réorganiser son existence du jour au lendemain. Cela ne fut pas facile pour les enfants, c'est clair. Car une maman à la maison, c'est un luxe. Ma cadette avait dix ans à l'époque, elle a pu constater autour d'elle qu'il était normal que les mamans travaillent à l'extérieur. Nonante pour cent environ des femmes ont un emploi aujourd'hui, non?" Au travail, les choses se passent relativement bien dès le début. Sauf pour l'informatique, un domaine dans lequel elle accuse un sérieux retard. "J'avais aidé mon mari dans la comptabilité de son commerce, mais ce n'était pas suffisant: j'ai dû faire un sérieux effort dans cette branche."
" La pression du travail a sérieusement augmenté par rapport au passé. Voici vingt ans, les départements administratifs vivaient plus ou moins au rythme de la fonction publique. On ne peut plus se le permettre aujourd'hui, tout s'accélère. Cela ne m'a pas gênée, j'ai des nerfs d'acier. La grande différence, c'est que les autres ont pu suivre cette évolution au jour le jour alors que j'ai dû prendre le train en marche. Je me sens mille fois mieux dans ma peau que lorsque j'étais à la maison, même si à l'époque j'avais décidé en âme et conscience de m'occuper des enfants. Je me sentais parfaitement bien dans mon rôle de mère au foyer, au début, mais cela n'a pas duré très longtemps en fin de compte. Les contacts sociaux me manquaient. C'est bien beau d'aller prendre le café chez des copines, mais cela ne me satisfaisait pas. J'avais malgré tout un sentiment de vide. Et à la fin, je n'étais plus heureuse du tout."
Difficile, toutefois, de répondre à la question de savoir si elle regrette, a posteriori, la décision prise voici dix-neuf ans. "Peut-être à certains égards. L'attitude par rapport aux enfants, par exemple. Je faisais tout pour eux. Comme j'étais toujours là, ils avaient fini par prendre goût à la facilité. Je l'ai regretté par la suite. J'ignore si je recommencerais, si c'était à refaire. Pas pendant quinze ans, en tout cas. "Les enfants deviennent plus autonomes", confirme Brigitte. "Prenons un exemple: dîner à la cantine de l'école. Ils n'aiment pas trop, mais cela les rend plus forts. Ils font moins d'histoires. Mais je suis heureuse d'être restée à la maison pendant ces cinq années. Le fait d'avoir été toujours là pour eux pendant leurs premières années, est un point positif en soi. Elever des jumeaux alors qu'on n'a aucune expérience en la matière, constitue d'ailleurs une tâche assez conséquente. Nous avons traversé une période difficile lorsque mon mari, qui travaillait à l'époque chez Renault-Vilvorde, s'est retrouvé sans emploi. Mais ce n'est pas la raison pour laquelle je me suis remise à chercher du travail. D'ailleurs, il fut le premier à décrocher un nouveau job. Je n'étais donc pas forcée et contrainte de revenir sur le marché de l'emploi. Nous avions convenu à l'avance, mon mari et moi, que je ne reprendrais la vie active à temps plein qu'à partir du moment où les enfants seraient en âge d'aller à l'école. Ce choix me paraît toujours une bonne décision, aujourd'hui."
" J'étais assez exigeante lorsque j'ai commencé à postuler. Je ne voulais absolument pas travailler pendant le week-end, par exemple. Ce n'était pas une opposition de principe, puisqu'il m'est arrivé de travailler le samedi dans le passé. Mais cela devient impossible lorsqu'on a des enfants, car que reste-t-il alors comme moments à partager? De même, je voulais des horaires qui me permettent de ne pas trop laisser les enfants à la garderie. Le fait que mon mari travaille en équipe tombait à point dans cette optique. Elever des enfants en bas âge implique forcément qu'on prenne une série de dispositions pratiques. Heureusement, je peux compter sur l'aide de mes parents pour la garde des enfants. Et pendant les périodes de vacances scolaires, il y a la plaine de jeux." Voilà le genre de soucis auxquels Mieke n'est plus confrontée, avec des 'grands' de 14 et 17 ans. Elle n'en apprécie pas moins la présence d'un mari toujours prêt à donner un coup de main à la maison. "Nous habitons au-dessus du magasin. Autrement dit: la maison n'est jamais vide au retour des enfants. Mon mari travaille dur, six jours sur sept, aussi n'a-t-il guère le temps d'assumer des tâches ménagères. Il fait les courses de temps à autre, il met la main à la pâte dans la mesure du possible. Je crois que c'est impossible à gérer si l'on a un conjoint qui vous met des bâtons dans les roues."
"Nous avons réparti les tâches domestiques", raconte Brigitte de son côté. "La part de mon mari est même un peu plus importante que la mienne car, comme il travaille en équipe, il a davantage de temps libres. J'avoue que lorsqu'on quitte la maison chaque matin à huit heures pour rentrer vers 18 heures, comme moi, on n'a pas toujours le courage et l'énergie de se retrousser les manches le soir. Mon mari m'aide à la perfection. Il sait faire la lessive, nettoyer et cuisiner. La seule chose qu'il ne fasse pas, c'est repasser. La table est mise lorsque je rentre à la maison. Il a été à l'armée pendant neuf ans. C'est là qu'il a appris à se débrouiller. En plus, il s'occupe à merveille des enfants." "Lorsque les deux partenaires ont des horaires chargés et qu'ils font tout en fonction de leur carrière, cela me paraît plus raisonnable de ne pas fonder un foyer", affirme Mieke. "Personnellement, je ne crois pas au fait de combiner une 'carrière' et l'éducation des enfants. Le travail finit toujours par prendre le dessus. Or, les enfants ont besoin de stabilité."
18 septembre 2008Plus de 440.000 utilisateurs recoivent nos astuces
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