Qu'attendent les jeunes diplômés de leur premier emploi ?
Comment ont-ils fait leur choix ? MARK magazine a interviewé trois jeunes diplômés travaillant actuellement pour l'entreprise de stratifié Unilin.
Plus de 5.000 répondants originaires de treize marchés internationaux importants ont participé à l’enquête. Celle-ci se concentrait sur les perspectives de croissance, les priorités stratégiques et les plans de recrutement des directeurs généraux, financiers et informatiques ayant des responsabilités de recrutement. Petites (50-249 employés), moyennes (250-499) et grandes entreprises (500+ employés) de secteurs privés, cotés en bourse et publics ont été passées en revue. Il apparaît que 96% des répondants sont optimistes quant à la croissance économique actuelle.
Les dirigeants belges (95%) indiquent qu'ils sont (de 'un peu' à 'très') optimistes quant à la croissance de leur entreprise au premier semestre 2020. En réalité, quatre sur dix (39%) se disent très confiants, et ce grâce aux opportunités croissantes, à la conjoncture économique actuelle et à leur capacité à attirer des talents adaptés. Notez toutefois que la confiance est plus élevée auprès des directeurs généraux (55%) que des directeurs financiers (44%) et surtout des directeurs informatiques (19%).La confiance des entreprises internationales est déterminée par des facteurs tels que le climat économique actuel (54%), l'expansion des opportunités commerciales (51%) et le recrutement de talents appropriés (50%). Bien que le rythme de la numérisation, les modifications des lois et des réglementations et la stabilité politique restent des considérations importantes pour de nombreux cadres dans les différents pays de l'étude, les votes des entreprises prévalant en 2020 sont généralement positifs.
Les gestionnaires belges placent également le climat économique actuel au sommet (54%) lorsqu'ils évaluent les facteurs les plus importants qui influencent leur confiance en la croissance de leur entreprise. Les managers wallons (59%) y attachent plus d’importance que les Flamands (49%). Ces derniers citent plus souvent l'attraction de nouveaux talents (58% contre 44%) en première position.
Les priorités stratégiques pour le premier semestre 2020 sont d'une part l'accent mis sur la sécurité de l'information et les nouvelles technologies et, d'autre part, la gestion des talents, l'automatisation et le Big Data. Ces priorités visent à accroître l'efficacité et la productivité de l'entreprise.
Les 5 principales priorités de l'étude sont :
Pour la moitié des entreprises belges interrogées, la capacité à attirer des talents adaptés reste un facteur déterminant pour leur confiance en 2020. Malgré la 'guerre des talents', la Belgique est toujours aux prises avec un taux de postes vacants élevé. Au deuxième trimestre de l'année oassée, elle comptait encore 139.000 postes inoccupés. Cela équivaut à un taux de vacance de 3,4% alors que la moyenne européenne n'est que de 2,3%.
Pour les compétences dans les secteurs de l'informatique, des finances et de la comptabilité, de l'administration de bureau et des services financiers, les pénuries restent aiguës selon les répondants internationaux, notamment en raison d'un manque de formation interne et/ou de programmes d'apprentissage externes spécifiques. Le déficit de compétences inquiète également les managers belges.
"Bien que le rythme de la numérisation, les changements de lois et les considérations géopolitiques sur certains marchés restent une préoccupation pour de nombreux dirigeants, les impressions des treize marchés étudiés au sujet du monde des affaires en 2020 sont relativement optimistes. De plus, les compétences commerciales et technologiques et la planification future restent vitales pour la poursuite de la croissance de l'entreprise", poursuit Joël Poilvache. "Plus que jamais, attirer les talents est une priorité pour les entreprises belges."
"2020 est l’année des candidats. Cette étude montre que le manager belge l'a bien compris. Pour pouvoir continuer à croître dans un environnement de plus en plus technique, les entreprises doivent constamment se concentrer sur les compétences, la formation et le mentorat, les nouvelles descriptions de fonction et l'adaptation de leur culture d'entreprise à une nouvelle réalité. Enfin - et nous ne le soulignons jamais assez - la capacité d'attirer et de retenir les talents est le facteur déterminant pour continuer à croître en 2020."
La demande de personnel technique et informatique expérimenté reste particulièrement élevée dans les pays analysés. Les directeurs informatiques interrogés à l'international par Robert Half indiquent une demande élevée à urgente de spécialistes du cloud computing (86%), d'intelligence/reporting (79%) et de virtualisation (75%), ainsi que de développeurs mobiles (77%).
La comptabilité (16%), la gestion financière (15%), la fiscalité (15%) et la gestion du crédit (13%) sont les domaines fonctionnels dans lesquels les directeurs financiers ont du mal à trouver des candidats qualifiés à l'international. De plus en plus de services financiers sont confrontés à l'automatisation, la digitalisation et la transformation numérique.
La finance (36%), la comptabilité (21%), le risque (19%) et la comlpiance (17%) sont les spécialités les plus recherchées par les directeurs des services financiers à l'international. En effet, ce secteur voit une concurrence croissante pour dénicher les meilleurs candidats à l'échelle internationale - en particulier ceux ayant une expertise en Fintech, en gestion d'actifs et sur le marché de la dette.
Le service à la clientèle (17%), le soutien financier (14%) et les assistants de direction/personnels (13%) sont très recherchés à l'échelle internationale par les directeurs généraux qui souhaitent soutenir les activités de base et le service client.
(ev/kv/eh/ll) – Source : Robert Half
8 janvier 2020Plus de 5.000 répondants originaires de treize marchés internationaux importants ont participé à l’enquête. Celle-ci se concentrait sur les perspectives de croissance, les priorités stratégiques et les plans de recrutement des directeurs généraux, financiers et informatiques ayant des responsabilités de recrutement. Petites (50-249 employés), moyennes (250-499) et grandes entreprises (500+ employés) de secteurs privés, cotés en bourse et publics ont été passées en revue. Il apparaît que 96% des répondants sont optimistes quant à la croissance économique actuelle.
Les dirigeants belges (95%) indiquent qu'ils sont (de 'un peu' à 'très') optimistes quant à la croissance de leur entreprise au premier semestre 2020. En réalité, quatre sur dix (39%) se disent très confiants, et ce grâce aux opportunités croissantes, à la conjoncture économique actuelle et à leur capacité à attirer des talents adaptés. Notez toutefois que la confiance est plus élevée auprès des directeurs généraux (55%) que des directeurs financiers (44%) et surtout des directeurs informatiques (19%).La confiance des entreprises internationales est déterminée par des facteurs tels que le climat économique actuel (54%), l'expansion des opportunités commerciales (51%) et le recrutement de talents appropriés (50%). Bien que le rythme de la numérisation, les modifications des lois et des réglementations et la stabilité politique restent des considérations importantes pour de nombreux cadres dans les différents pays de l'étude, les votes des entreprises prévalant en 2020 sont généralement positifs.
Les gestionnaires belges placent également le climat économique actuel au sommet (54%) lorsqu'ils évaluent les facteurs les plus importants qui influencent leur confiance en la croissance de leur entreprise. Les managers wallons (59%) y attachent plus d’importance que les Flamands (49%). Ces derniers citent plus souvent l'attraction de nouveaux talents (58% contre 44%) en première position.
Les priorités stratégiques pour le premier semestre 2020 sont d'une part l'accent mis sur la sécurité de l'information et les nouvelles technologies et, d'autre part, la gestion des talents, l'automatisation et le Big Data. Ces priorités visent à accroître l'efficacité et la productivité de l'entreprise.
Les 5 principales priorités de l'étude sont :
Pour la moitié des entreprises belges interrogées, la capacité à attirer des talents adaptés reste un facteur déterminant pour leur confiance en 2020. Malgré la 'guerre des talents', la Belgique est toujours aux prises avec un taux de postes vacants élevé. Au deuxième trimestre de l'année oassée, elle comptait encore 139.000 postes inoccupés. Cela équivaut à un taux de vacance de 3,4% alors que la moyenne européenne n'est que de 2,3%.
Pour les compétences dans les secteurs de l'informatique, des finances et de la comptabilité, de l'administration de bureau et des services financiers, les pénuries restent aiguës selon les répondants internationaux, notamment en raison d'un manque de formation interne et/ou de programmes d'apprentissage externes spécifiques. Le déficit de compétences inquiète également les managers belges.
"Bien que le rythme de la numérisation, les changements de lois et les considérations géopolitiques sur certains marchés restent une préoccupation pour de nombreux dirigeants, les impressions des treize marchés étudiés au sujet du monde des affaires en 2020 sont relativement optimistes. De plus, les compétences commerciales et technologiques et la planification future restent vitales pour la poursuite de la croissance de l'entreprise", poursuit Joël Poilvache. "Plus que jamais, attirer les talents est une priorité pour les entreprises belges."
"2020 est l’année des candidats. Cette étude montre que le manager belge l'a bien compris. Pour pouvoir continuer à croître dans un environnement de plus en plus technique, les entreprises doivent constamment se concentrer sur les compétences, la formation et le mentorat, les nouvelles descriptions de fonction et l'adaptation de leur culture d'entreprise à une nouvelle réalité. Enfin - et nous ne le soulignons jamais assez - la capacité d'attirer et de retenir les talents est le facteur déterminant pour continuer à croître en 2020."
La demande de personnel technique et informatique expérimenté reste particulièrement élevée dans les pays analysés. Les directeurs informatiques interrogés à l'international par Robert Half indiquent une demande élevée à urgente de spécialistes du cloud computing (86%), d'intelligence/reporting (79%) et de virtualisation (75%), ainsi que de développeurs mobiles (77%).
La comptabilité (16%), la gestion financière (15%), la fiscalité (15%) et la gestion du crédit (13%) sont les domaines fonctionnels dans lesquels les directeurs financiers ont du mal à trouver des candidats qualifiés à l'international. De plus en plus de services financiers sont confrontés à l'automatisation, la digitalisation et la transformation numérique.
La finance (36%), la comptabilité (21%), le risque (19%) et la comlpiance (17%) sont les spécialités les plus recherchées par les directeurs des services financiers à l'international. En effet, ce secteur voit une concurrence croissante pour dénicher les meilleurs candidats à l'échelle internationale - en particulier ceux ayant une expertise en Fintech, en gestion d'actifs et sur le marché de la dette.
Le service à la clientèle (17%), le soutien financier (14%) et les assistants de direction/personnels (13%) sont très recherchés à l'échelle internationale par les directeurs généraux qui souhaitent soutenir les activités de base et le service client.
(ev/kv/eh/ll) – Source : Robert Half
8 janvier 2020Comment ont-ils fait leur choix ? MARK magazine a interviewé trois jeunes diplômés travaillant actuellement pour l'entreprise de stratifié Unilin.
Dans certains pays, avoir de l'argent fait rapporter encore plus d’argent. Bonne nouvelle pour les personnes qui sont déjà fortunées.
Nous avons demandé à Danny Bruggeman (58 ans) de Dendermonde en quoi consistait son métier et combien il gagnait.
Entre 2010 et 2017, le nombre d'hommes actifs dans le secteur des soins de santé a augmenté de plus de 5%.
Quel est le point commun entre les entreprises les plus prestigieuses au monde telles Facebook, Apple, Amazon, Google et Microsoft ?
L'économie japonaise est regardée avec beaucoup d'admiration par de nombreux experts économiques.
Les données font partie des nouvelles matières premières dont raffole notre économie.
Il existe un moyen original de mesurer l'activité et la croissance économique d’un pays : son degré d'éclairage la nuit et en soirée.
Les journées au bureau défilent et votre portefeuille s’amincit : vos habitudes ont en effet un coût. Comment pouvez-vous épargner jusqu’à 1.500 euros par an ?
Les journées au bureau défilent et votre portefeuille s’amincit : vos habitudes ont en effet un coût. Comment pouvez-vous épargner jusqu’à 1.500 euros par an ?
Les données font partie des nouvelles matières premières dont raffole notre économie.
L'économie japonaise est regardée avec beaucoup d'admiration par de nombreux experts économiques.
Entre 2010 et 2017, le nombre d'hommes actifs dans le secteur des soins de santé a augmenté de plus de 5%.
Il existe un moyen original de mesurer l'activité et la croissance économique d’un pays : son degré d'éclairage la nuit et en soirée.
Nous avons demandé à Danny Bruggeman (58 ans) de Dendermonde en quoi consistait son métier et combien il gagnait.
Quel est le point commun entre les entreprises les plus prestigieuses au monde telles Facebook, Apple, Amazon, Google et Microsoft ?
Comment ont-ils fait leur choix ? MARK magazine a interviewé trois jeunes diplômés travaillant actuellement pour l'entreprise de stratifié Unilin.
Dans certains pays, avoir de l'argent fait rapporter encore plus d’argent. Bonne nouvelle pour les personnes qui sont déjà fortunées.