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C’est à cette conclusion que les enquêteurs du Norway's National Institute of Occupational Health et de l’Université d’ Oslo sont arrivés. Ils ont réalisé une étude auprès de 48 volontaires afin d’analyser comment expérimenter, avec ou sans mal chronique, les tâches de bureau.
Dans l’étude, les participants devaient pendant une heure et demi vaquer à de vraies fausses tâches informatiques connues pour provoquer des douleurs aux épaules, au cou, aux avant-bras et aux poignets. L’objectif était de reproduire le travail de bureau. Avant que l’expérience ne commence, les participants pouvaient choisir de prendre d’abord du café. Les scientifiques voulaient ainsi éviter qu’un nombre d’effets indésirables dus au manque de caféine comme un éveil moindre, de la somnolence et de la fatigue n’interviennent et influencent négativement les résultats.
Qu’ont remarqué les enquêteurs en analysant les données à l’issue de l’expérience ? Les 19 personnes qui ont pris un café avant le test déclarent avoir moins mal pendant leurs tâches de bureau que les 29 restantes qui n’en ont pas bu. Les amateurs de café indiquaient par exemple à concurrence de 41% un mal d’épaule ou de cou alors que les personnes n’en ayant pas pris indiquaient en souffrir à hauteur de 55%. Sur tous les domaines, les amateurs de café semblaient avoir moins mal que ceux qui n’en avaient pas bu, peu importe que les participants souffraient ou non de douleurs chroniques.
Avant de sauter au plafond si vous aimez le café, prenez en compte les réflexions que les scientifiques ont émises lors de leur étude. Car cette dernière n’était originellement pas menée avec l’intention de sonder l’influence du café sur la douleur, ce qui peut donner une image tronquée aux résultats.
Les enquêteurs ignorent par exemple pas quelle dose de café les participants ont absorbée avant leur test informatique. En outre, ils se demandent aussi si la comparaison entre buveurs de café et non consommateurs tient bien la route étant donné qu’ils n’ont pas investigué toutes les caractéristiques de ces individus. Il peut par exemple y avoir des raisons sous jacentes pour lesquelles certains souffrent moins. Une enquête plus approfondie s’impose donc.
(sc) - Sources : Latimes.com
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