Le team building est de retour
Les employeurs belges organisent à nouveau de nombreux événements physiques ou 'team buildings'.
Le bureau d'enquêtes Motivaction, en collaboration avec la société DAS, a mené une étude auprès de 1300 participants concernant leurs expériences professionnelles. Il apparaît que le nombre de travailleurs prétendant être doté d'un esprit d'équipe a diminué de 8% cette année.
La diminution d'esprit d'équipe est compensée par une augmentation d'engagement sur le terrain. En effet, les employés ont de moins en moins de problèmes avec les longues journées de travail. 37% des personnes interrogées déclarent encore travailler le soir et/ou le week-end, ce qui constitue une augmentation de 7% par rapport à l'année passée. Etant donné que tout le monde travaille en fonction de son propre agenda, de moins en moins d'efforts sont investis dans la dynamique de groupe.
Bien que Pascal Besselink, juriste expérimenté chez DAS, prône la mentalité du "9 to 5", il en souligne également les dangers. "Que le employés soient prêts à travailler plus longtemps et plus intensivement pour leur entreprise est une excellente nouvelle. Mais le fait de s'assurer de la cohésion de l'équipe et de ne pas perdre de vue l'employé en tant que tel est également très important".
Besselink met l'accent sur l'attention à accorder à une éventuelle baisse de productivité. Il craint qu'un nombre moins élevé d'employés devant effectuer le travail de toute une équipe engendrera la dissolution de celle-ci ainsi que des frictions diverses. "Avoir moins de personnes pour effectuer les mêmes tâches qu'auparavant conduit non seulement à des rivalités mais également à une augmentation de la pression sur le lieu de travail. La combinaison de ces deux éléments peut mener à une diminution de la productivité".
Selon l'enquête, la productivité est mise à mal tout comme le bien-être des employés soumis à une pression de travail élevée. Une personne sur cinq admet y être confronté. Besselink n'est évidemment pas ravi de ces constatations : "un cercle vicieux dans lequel les employés sont soumis à une pression permanente n'est certainement pas une bonne chose. Les burn-out et autres maladies y feraient légion".
Ces tendances sont de plus en plus présentes, et il accuse les employeurs d'en être les principaux responsables. "Les employeurs ne s'en rendent pas compte, mais ils sont obligés de prendre des mesures pour préserver leurs employés des maladies psychiques qui pourraient les atteindre. Un employeur peut être tenu responsable d'un burn-out s'il n'a pas pris les mesures nécessaires pour s'assurer du bien-être de ses employés. A partir d'un certain moment, cela peut coûter beaucoup d'argent".
(EH) – Source : managersonline.nl
27 août 2014Plus de 440.000 utilisateurs recoivent nos astuces
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