5 choix de carrière que l’on regrette le plus

Entrepreneur à succès et co-auteur de « Passion & Purpose: Stories from the Best and Brightest Young Business Leaders », Daniel Gulati réunit autour d’une table 30 professionnels âgés de 28 à 58 ans. Il leur demande ce qu’ils regrettent le plus dans leur carrière. Quels sont les choix les plus décevants qui sont cités ? Aperçu...
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1. « J’aurais dû arrêter plus tôt »

Presque tous les professionnels interrogés qui ont renoncé à leur job afin de poursuivre leurs rêves ou leur passion regrettent de ne pas l’avoir fait plus tôt. Un responsable des ventes décrit son expérience ainsi : « si j’avais pu au moins travailler tout ce temps à des problèmes fondamentaux pour moi. Je ne retrouverai jamais toutes ces années perdues. »

2. « Je n’aurais pas dû choisir un job parce qu’il payait bien »

Le plus grand regret vient de professionnels qui ont choisi un job bien payé, mais qui s’est soldé par une grosse déception. Surprenant selon Gulati le désespoir auquel ces individus ont été confrontés. « Je rêvais chaque jour de remettre mon préavis mais j’avais bien d’autres obligations », raconte un banquier spécialisé en placements.

3. « J’aurais dû utiliser mon temps à l’école de manière plus productive »

Bien que de plus en plus trouvent logique de suivre le chemin de l’université, peu emploient ces années de manière optimale. Beaucoup des personnes interrogées regrettent de ne pas avoir retiré davantage de leurs années d’études.

4. « J’aurai dû plus croire en moi pour lancer ma propre affaire »

Les professionnels avec qui Gulati s’entretient considèrent une entreprise personnelle comme la solution pour exercer un meilleur contrôle sur leur vie. Mais le fait de le vouloir en soi n’est pas suffisant. Même un CEO regrette de ne pas avoir pu se prouver en créant quelque chose à partir de rien.

5. « J’aurais dû écouter mes sentiments »

Différents individus reconnaissent que pendant leur carrière se sont produits des moments style ‘maintenant ou jamais’ et avoir alors pris la mauvaise décision. Un banquier se voit proposer en 2005 le management d’une petite équipe en Amérique Latine. Même s’il sent que cela représenterait pour lui un grand pas en avant, il laisse sa chance à un autre. Autre qui est assez déterminé et qui risque le saut. Par la suite, ce dernier est promu à la tête d’un département et réussit même à devenir CEO plus tard.

Sources : Express.be 

11 janvier 2013
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